Yume no Q-Saku
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13 histoires horriblement malsaine, mêlant Sexe gore et folie, forment ce recueil. Un livre réellement dérangeant strictement réservé aux adultes.
Ero-Guro Garo (Editeur Seirindo) Hentai Les petits éditeurs indépendants Seinen Trash
Il m'est impossible de résumer de façon synthéhique ces histoires, le propos va parfois au-delà du compréhensible. Toutes sont profondément malsaines, pornographiques et dérangeantes. En voici les titres : - Le maître d'école - Le petit suceur de flûte - Recette de la soupe au caca - Premier amour - Le paradis de Kawayanosuke le puceau - Senta la branlette - Une saison en enfer - Les beaux jours - De la façon d'empoigner les burnes - Le jeune impuissant - Nuit putride - L'hôpital de l'éclipse de lune - Le rêve de Yukiko-Chan. . .
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Date de parution | Octobre 2005 |
Statut histoire | Histoires courtes 1 tome paru |
Les avis
Mon dieu, que c'est malsain! Pouvoir condenser en un album autant de perversions sexuelles déviantes tient du défi et Maruo l'a relevé avec succès. Des situations que je n'aurais même pas pu m'imaginer m'ont éclaté à la vue, me marquant pour quelques temps. Pourtant j'étais hypnotisé par les explosions graphiques éclatant largement et régulièrement des pages entières. Des tableaux magnifiques dédiés à la concrétisation d'une nouvelle perversité sexuelle surgissant du cerveau atteint de son auteur. Je me suis même surpris à être attiré et tenté de m'immerger dans cette insalubrité, ma raison luttant sans cesse contre mon cerveau reptilien. Et cela, c'est la marque des oeuvres uniques. Ecoeurant mais indispensable. (Attention, âmes chastes et même moins chastes, attendez-vous à l'impensable)
J’ai découvert Maruo grâce à deux histoires courtes publiées dans «Attention on rêve» (édité sous la direction de Moebius) et dans «Bang!». On y trouvait déjà des thèmes sulfureux tels que l’éveil à la sexualité des enfants ou l’inceste et la scatologie. Ces deux histoires sont rééditées dans le présent volume et sont accompagnées d’une dizaine d’autres traitant toujours d’une sexualité perverse – masturbation exhibitionniste, pédophilie, nécrophilie, zoophilie, BDSM, et j’en passe, le tout baignant dans le foutre, l’urine, les excréments, le sang et les mutilations. L’album oscille entre rêve et cauchemar érotique - une lecture extrêmement dérangeante, qui fascine et dégoûte à la fois.
Ecœurant ! Voilà le premier mot qui me vient à l'esprit après lecture de cette BD particulièrement malsaine. Maruo prétend mettre ses phantasmes morbides en scène, pauvre bougre, comme je le plains... Comprenons-nous bien, aucune forme de pornographie ni de violence ne me dérange particulièrement dans la BD, parfois j'aime bien lire une BD de cul ou une BD type slasher bien bourrin. Tant que le fun ou l'aspect divertissant ou intelligent demeure, l'important est d'apprécier la lecture et de voir par ce biais des choses improbables ou amusantes. Par contre un sadisme gratuit si volontairement poussé, je n'en vois pas l'intérêt. Impossible d'aimer ces histoires incompréhensibles et si dérangées du point de vue de la représentation graphique. Comment peut-on se réjouir d'une scène montrant une femme figée sur son lit et subissant le joug d'un médecin porcin l'éviscérant tout en la pénétrant ? Comment ne pas avoir la nausée ? Peut-être Maruo veut-il profondément choquer le lecteur ? En ce cas c'est réussi, mais vu que ses histoires sont dépourvues de sens, c'est creux, c'est gratuit. Ce sont juste des phantasmes minables et inavouables illustrés, avec un talent graphique certain, il faut le reconnaître. Et ce n'en est que plus horrible, car les dessins figés et ultras détaillés, parfois épurés jusqu'à avoir un aspect totalement clinique, renforcent l'aspect malsain de l’œuvre. Une anecdote amusante qui prouve que (à mon avis bien sûr!) ces histoires sont sans queue ni tête : cet album est relié comme si son sens de lecture était occidental, avec le dos à gauche si l'on est face à la couverture... les pages à l'intérieur, sont à l'inverse en sens de lecture japonais, déjà je comprends mal cette conception éditoriale mais bon... quand j'ai commencé à le lire, je ne m'en suis pas aperçu tout de suite ! J'ai lu au moins une dizaine de pages avant de réaliser que je lisais le bouquin à l'envers ! Alors c'est sûr, vous pouvez rire, pourtant cela ne s'est avéré que légèrement plus clair dans son sens de lecture normal (donc japonais). Il est vrai que pas mal de mes lectures en BD font Bang ! Bang ! Paf ! et autres Boum ! Et que de ce fait je suis certainement trop étriqué de l'esprit pour capter le message intelligent et profond, que délivre dans ses sains chefs-d’œuvres un artiste tel que Maruo. Moi je n'y ai rien vu d'autre que l’œuvre d'un dégénéré, et je retourne de ce pas lire une bonne vieille histoire mettant en scène des gus capés, body-buildés et vêtus de spandex, pour enfin me divertir et rêver après l'éprouvante et inutile lecture de ce Yume no Q.Saku. Pour moi c'est une lecture réservée à un public pervers et détraqué.
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