Matilda Clarck
Après le décès de ses parents, Matilda découvre sa famille.
Auteurs espagnols Paquet
Tout commence avec un étrange accident de voiture: Orlando Neri et son épouse Monique Saint-Louis meurent sur la route, écrasés par un piano. À partir de là, nous suivons les aventures de Matilda Clarck, hôtesse de l'air et fille cachée du défunt Monsieur Neri. Elle rencontre ses deux frères, Richard et Walter, la femme de ce dernier, Kaoru, et Antonio, le majordome. Petit à petit, elle va en apprendre un peu plus sur cette étrange famille… Texte : Paquet
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Date de parution | Février 2006 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
Une lecture rapide (peu de texte, une intrigue squelettique, peu de cases). Heureusement. Car rien ne m’a véritablement accroché, au point que, malgré la rapidité de cette lecture, j’ai quand même trouvé le temps de m’ennuyer. Le dessin très simple, est lisible. Disons qu’il fait le boulot. Mais c’est l’histoire qui peine à intéresser. Matilda Clarck apprend par un détective que son père (dont elle ne connaissait pas l’existence, et qui vient de mourir en recevant un piano sur la gueule) l’a couchée sur son testament. Elle découvre ses demi-frères par la même occasion, lors de la lecture du testament. Et voilà. Le reste relèverait presque du polar très mollasson, pour savoir qui aurait tué ce père, puis le détective privé, le tout entrecoupé de flash-backs sur la vie de ce père, passages souvent longuets. Aucun réel suspens, les rares montées en tension étant anesthésiées par un rythme lent, une intrigue franchement peu dynamique et originale, et peu captivante. Bref, on arrive à la fin de l’album content d’en finir. D’autant plus que la « résolution » des questionnements autour des morts frôle le grotesque (et je ne pense pas que l’humour ait été recherché ici). Énorme bof me concernant.
Une vulgaire histoire d'héritage complètement loufoque sur fond d'escrime et de piano volant. Un dessin simpliste avec un découpage en 6 cases par planche d'une platitude monotone... Le scénario emprunte des raccourcis très étonnants et l'ensemble manque singulièrement de coordination. Matilda Clarck, c'est un peu comme du vent... J'ai pourtant souri à quelques répliques tant cela paraissait absurde. Cette BD ne restera pas dans les annales. A lire si votre console de jeux est en panne.
Matilda Clark me laisse une impression de monotonie. Premièrement de par le découpage des cases par 6 (sur chaque page) et ensuite par son scénario. Le dessin est assez simple mais convient parfaitement à l'histoire. La coloration est également basique mais soutient bien l'ambiance qui ressort du graphisme et du scénario. Oui, il n'y a pas de baisse de régime dans la narration mais à mon goût il ne se passe pas grand chose dans cette BD... Dans la même collection et du même auteur, il y a Voleurs de Chien qui est à mon avis d'un bien meilleur niveau. Ma note : 2,5/5
Je suis espagnole, mais j'ai eu la chance de lire cette fabuleuse bande dessinée. C'est amusant, j'ai bien rigolé et en plus le dessin est fantastique ! Je recommande de l'acheter. Vous ne le regretterez pas. Indispensable.
Matilda Clarck est un album dont la lecture se fait sans accroc, sans aucune baisse de régime notoire. Cette intrigue centrée sur cette jeune femme qui redécouvre ses demi-frères est amusante. Un humour doux-amer nous poursuit tout l’album. Le trait n’est pas sans rappeler Tardi, Matilda a des traits qui rappelleront la mine boudeuse d’Adèle Blanc-Sec. Sur le plan de la mise en page, c’est moins fin que du Tardi, malheureusement. Ces planches sous forme de gaufrier en six cases sont un peu visuellement monotones. Un bon petit album sans grande prétention.
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