Witchblade
Kenneth Irons est un homme riche et puissant. Pourtant la chose qu'il désire le plus ne veut pas de lui, c'est pourquoi il doit trouver cet être que la Witchblade acceptera. La witchblade est un gant qui n'accepte que les femmes, et pas n'importe lesquelles. On dit que Jeanne d'Arc l'aurait porté, et lui aurait permis de realiser les exploits que l'on sait, mais on ne connait pas bien ce dont est capable de gant. On ne sait meme pas d'où il vient.
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Kenneth Irons est un homme riche et puissant. Pourtant la chose qu'il désire le plus ne veut pas de lui, c'est pourquoi il doit trouver cet être que la Witchblade acceptera. La witchblade est un gant qui n'accepte que les femmes, et pas n'importe lesquelles. On dit que Jeanne d'Arc l'aurait porté, et lui aurait permis de realiser les exploits que l'on sait, mais on ne connait pas bien ce dont est capable de gant. On ne sait meme pas d'où il vient. Il organise donc un tournoi dont les règles sont simples : enfiler la Witchblade sans perdre sa main. Au cours du tournoi, Sarah Pezzini, un flic arrive à s'introduire dans la place. Au cours d'une fusillade, blessée à mort, elle enfile la Witchblade sans trop savoir comment (est-ce la witchblade qui se serait enfilée seule ?), et reussit finalement à arreter tous les mechants. La Witchblade a choisi son élue. Elle ne la quittera plus, bon gré mal gré. Sarah ne comprend pas ce gant, et surtout ne le contrôle pas !
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Editeur
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Genre
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Date de parution | Septembre 1997 |
Statut histoire | Histoires courtes (et histoires sur plusieurs tomes) 15 tomes parus |
Les avis
Cela faisait longtemps que j'avais entendu parler de Witchblade et que j'en avais vu des extraits. Mais je n'ai jamais pu accrocher au style de Michael Turner et n'ai jamais réussi à entamer la série pour de bon. Maintenant encore, alors que je venais d'emprunter les 5 premiers tomes, j'ai dû me forcer pour l'entamer tant cela me rebutait. Je déteste le dessin. Je le trouve putassier au possible. Alors ok, les décors sont corrects, dans un style comics qui me rappelle John Romita Jr. Mais alors les personnages, merde, quoi ! C'est quoi ces mannequins aux mamelles siliconées pour TOUTES les femmes et ces athlètes bodybuildés à la mâchoire carré pour TOUS les hommes ? Ils sont tous bâtis sur le même moule, froids, sans saveur, sans personnalité. Et toutes les planches sont prétextes à des poses grandiloquentes pour les mecs et à des tenues aussi dénudées et sexys que possible pour les filles. Putassier et racoleur pour adolescents frustrés. Et les auteurs qui prennent la relève de Michael Turner pour les autres histoires ont un style exactement similaire et tout aussi pénible. La narration graphique est nullissime ! La lecture est presque incompréhensible. La voix-off est envahissante au possible, pénible à lire. Les dialogues sont risibles. Tous les personnages ont l'air de surjouer en permanence leur rôle et leurs comportements sont bien souvent incohérents. Le scénario n'a aucune crédibilité. Quant à toute cette intrigue à base de gant magique surpuissant et de combats des femmes qui le portent contre des méchants messieurs aux super-pouvoirs sortis d'on ne sait où, je n'en avais strictement rien à foutre. J'ai trouvé cette série aussi agaçante qu'illisible.
Je me suis tapé une bonne partie des numéros sortis. Autant j'appréciais les premiers (3 ou 4, je crois), autant les suivants sont décevants. Le dessin est en général alléchant (je sais plus lequel des dessineux est une vraie bête), ça, y a pas de problème :). Mais ça devient rapidement prise de tête: les machins existentiels, la vie, la mort, le libre-arbitre, ça va deux secondes, mais ça soûle vite. Déjà que je goûte guère la narration où on doit se taper toutes les pensées des personnages (et parfois, je sais même pas dans quel sens il faut lire), alors si en plus on doit se farcir leurs états d'âme... mais bon, c'est le genre qui veut ça! Je disais donc que les suivants sont décevants: le méchant qu'on croyait mort est revenu, il a plein d'autres copains méchants mais en fait, ses copains méchants, c'est pas vraiment ses copains, et ils sont pas tous aussi méchants qu'on pourrait le croire... Nan, j'aime pas! ça s'embrouille pour moi, ça n'a ni queue, ni tête.
Je ne vous conseille pas du tout l'achat de ce comics (personnellement j'ai eu les 4 premiers d'occasion pour le prix d'un et ça me suffit). La seule réelle motivation qui m'a poussé à acheter les premiers tomes est la qualité remarquable des images. Par ailleurs cette bd est plus reconnue pour cela que pour autre chose, voilà pourquoi j'ai mis 2/5 et pas 1/5. Mais le problème de cette série est que le scénario est d'une platitude à toute épreuve alors en plus si le scénariste l'étire le plus possible pour sortir 15 tomes plus chiants les uns que les autres (sur les 4 premiers j'ai réellement lu les 2 premiers) c'est vraiment une occasion de faire des économies surtout à 12€ le petit format, sauf si vous êtes fan de Turner (ce qui est compréhensible).
Rooohhh, je trouve ça très beau quand meme... C'est incontestable, la force du Witchblade n'est pas dans son histoire, plutôt dans son apparence... Le style de Turner est déjà excellent (il n'en est que meilleur dans Fathom...), il arrive à conférer une épaisseur et une profondeur à des personnages qui sinon seraient un peu stéréotypés...Il n'y a qu'à voir le résultat avec un autre dessinateur, je ne pense pas que la baisse de niveau de l'ensemble soit du à une faiblesse du scénario qui s'étire en longueur mais plutôt au départ de Turner... Le scénario est ce qu'il est...à savoir pas très spirituel, mais quelque peu original du moins assez pour rendre la lecture intéressante...j'aime beaucoup les multiples crossovers, notamment celui avec The Darkness... Bref, je trouve que l'ensemble est honorable meme si on peut se limiter à l'achat des premiers tomes...
Oh oh oh que c'est c**. pardon (oulah, ca commence bien :)) Non mais sérieusement... au risque de paraître extremiste dans mes propos voici le type même de Comics que je conchie, tout simplement. C'est bien simple, ca n'a ni queue ni tête ! Ok, tout cela partait d'une idée plutot bonne, et la witchblade (espèce de couteau suisse organique, véritable extension du corps de la très belle héroine) aurait pu donner quelque chose d'assez fort si le tout n'avait pas été aussi mal réfléchi... pas exploité à 100%, moi je dis ! Bon, on a affaire à quoi, là, avec un peu de recul ? A du bourrinage pur et dur autour d'un scénario bien moisi auquel on ne comprend de toute façon pas grand chose, et ponctué de pseudo-remises en question existencielles concernant les différents personnages sur la vie, la mort, le charclage et le rock and roll, histoire de dire "nan nan notre série est pas basique du tout au contraire elle est très métaphysique". Bah oui, mais ca ne prend pas, désolé... ca sonne faux, tout simplement. Et c'est bien dommage, car tout cela sera de pire en pire avec le temps... Bon, le dessinateur sait croquer les femmes, ça, y'a pas de problème. Il est meme clair que c'est l'un des facteurs évidents du succès de cette grotesque série. Mais bon... le style Comics, j'ai pas mal de mal, la mise en couleur à l'ordi, aussi, alors les deux l'un dans l'autre... Euh... je continue ou vous avez compris ? :)
Witchblade fait partie des comics parus au cours des années 90, surfant sur la vague "magie" et "phénomènes surnaturels" de l'époque. Fleuron du studio Top Cow (édité par Image) du surdoué Marc Silvestri, Witchblade joue sur un autre phénomène de mode : la bad girl, forte, dangereuse, sexy et indépendante. Tout le portrait de Sara Pezzini, cette inspectrice de la police de New-York, joyau resplendissant dans un monde de brutes. Au cours d'une enquête, elle va tomber sur une arme mystique, un gant tout puissant, qui semble l'avoir choisie et posséder une volonté propre. Sara, dès lors indissociable de son arme, devient l'enjeu de conflits et de manigances qui la dépassent et le caractère très terre-à-terre de son métier de flic est constamment mis en opposition à des évènements paranormaux. Pour dessiner ses aventures, c'est un véritable petit génie du crayon que l'on découvre en même temps que la belle Sara (arggh les cadrages de l'épisode 1 !!). Michael Turner impose son style léché, plein de force, de précision et de sensualité dès la première page. Et c'est là toute la force de la série : son dessin superbe. Force et faiblesse à la fois : la série ne se remettra jamais vraiment du départ de Turner pour un autre petit bijou graphique : Fathom. Passés les premiers épisodes, la série s'enlise petit à petit dans des intrigues un peu répétitives, et sans être mauvais, les remplaçants de Turner ne tiennent pas la comparaison. Quoiqu'il en soit, les premiers numéros sont très réussis, beaux et prenants, et sont en quelque sorte à l'origine de la "marque de fabrique" Top Cow. Ne nous en privons donc pas !
Cette série est tres bien ! L'heroine est impressionnante, le dessinateur est bourré de talent. Attention je dis cela, c'est simplement lorsque que le dessinateur est Michael Turner ! Sinon, sans lui, la bd en elle-même perd de son charme et de sa valeur. A voir absolument.
Quelle déception! Quand j'ai commencé à lire cette BD, j'ai vraiment aimé, je trouve que les dessins sont très beaux et surtout je suis très friand du style narratif à la première personne où on "voit le héros penser", qui se retrouve dans pas mal de Comics. En plus la mise en scène et tout le mystère autour de Kenneth Irons est vraiment très prenant. Et pour cela les trois premiers volumes valent le coup (et je vais même les acheter). Par contre la suite, alors là je comprends plus rien du tout, tout devient n'importe quoi. J'en ai lu que deux (jusqu'au 5) et je vais essayer de voir si la suite rattrape le coup, mais on semble avoir complètement perdu le fil directeur qui donnait tout son charme à cette BD. Dernière mise en garde pour ceux que le genre comics gène: n'essayez même pas, je ne vois pas comment cela peut vous plaire.
Je conseille l'achat des premiers tomes. Non seulement, au fur et à mesure qu'on avance, l'histoire, mystico-manichéenne, devient confuse, voire incompréhensible, mais en plus Turner quitte la série, qui y perd encore de l'intêret.
J'ai longuement hésité entre 3/5 et 4/5. En effet, les premiers albums sont vraiment bons, tant au niveau du scénar qu'au niveau du dessin. Michael Turner est vraiment bon. Apres son départ, ça patine dans la semoule, ça n'avance plus, c'est stérile. C'est dommage, vraiment dommage. J'aime beaucoup les recoupements avec The Darkness, Fathom, ou "Tomb Raider". L'univers fantastique est vraiment fouillé, credible.
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