Jenni

Note: 2/5
(2/5 pour 4 avis)

Jenni, jeune chinoise, débarque à 16 ans pour la première fois à Londres, afin d'y faire ses études.


Angleterre Iles Britanniques Les petits éditeurs indépendants Londres Manhua Xiaopan

Jenni, jeune chinoise, débarque à 16 ans pour la première fois à Londres, afin d'y faire ses études. Et la voilà plongée dans un monde étudiant dont elle ne connaît rien, aux coutumes bizarres, et dont elle ne parle même pas la langue. Et ce n'est pas son ami de toujours, son gros mouton en peluche qui va l'aider ! Tirée de faits réels, voici une véritable tranche de vie, pleine de jeunesse et de fraîcheur, d'amour et d'amitiés.

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Mai 2006
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Jenni © Xiao Pan 2006
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 4 avis)
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15/05/2006 | Ro
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Par Mia
Note: 3/5

J'ai aimé ce livre car j'adore les histoires d'amour et je trouve ce scénario super. La seule chose qui ma un peu déçu sont les phrases d'anglais introduite dans le texte. Je trouve aussi un peu dommage que Jenni et 903 ne finissent pas ensemble. Sinon je trouve cette histoire superbe et cela prouve que tout le monde peut réussir à s'intégrer même si l'on ne connaît pas la langue.

23/01/2010 (modifier)
Par Alix
Note: 1/5
L'avatar du posteur Alix

Bon désolé hein, je me doute bien que je ne suis pas le public ciblé par cette BD, mais justement, ça s’adresse à qui exactement ? C’est d’une mièvrerie qui ferait passer Candy pour une dévergondée, et l’histoire dégouline de bons sentiments, j’en avais la nausée. Ajoutons que la narration est épouvantable (voir explication dans l’avis de fonch001 ci-dessous), décousue au possible (on dirait qu’il manque des cases), et que les personnages ajoutent des bouts d’anglais dans leur phrase pour bien nous rappeler que l’histoire se passe en Angleterre (« oh will you forgive me, je t’aime tant »), et on obtient un cocktail encore plus redoutable qu’un mélange de bières belges et de melonade. A fuir…

21/06/2006 (modifier)
Par fonch001
Note: 2/5

Cette manhua n'apporte rien de nouveau. Un format de manga, un dessin des personnages un poil plus européen qu'un manga et en fond ... Soit le vide sidéral, soit une photo... Pas glop. Sans être moche (je trouve les visages bien réussis), c'est vide et fade. Le sens de lecture français est parfois étrange, généralement les bulles se lisent ainsi (dans le sens français): 1 2 3 4 5 6 Mais sur certaines pages, il faut lire ainsi : 1 4 2 5 3 6 Sauf que rien ne mets cela en évidence, il faut donc constamment se demander comment lire. Ce qui rend au final la lecture un peu pénible. Bon j'ai pas encore parlé de l'histoire... Heu quelle histoire au fait? Non parce que j'ai eu beau chercher, je n'en ai pas trouvé (pourtant j'aime bien les Shojô). Voilà c'est une fille qui va l'école, se fait quelques potes, tombe amoureuse et puis voilà c'est fini (mais ça dure + de 200 pages quand même). Bon il y a aucun suspens, on sait qui aime l'héroïne au bout de 2 pages, il ne se passe absolument rien entre eux, il n'y a aucun rebondissement, aucun ressort et le comble : les personnages ne sont pas spécialement attachants... Ha j'oubliais, si vous ne parlez pas du tout anglais, vous ne comprendrez pas grand chose par moment car il y a parfois plusieurs pages de suite en anglais non doublé... Même pour passer le temps, ça le fait pas.

19/05/2006 (modifier)
Par Ro
Note: 2/5
L'avatar du posteur Ro

On ne peut pas qualifier cette BD de shojo car c'est une BD chinoise et non pas un manga, mais c'est à coup sûr une histoire à l'eau de rose en tout cas. Cela commence un peu à la manière d'un épisode de Candy Candy avec une jeune fille qui entre dans un collège anglais strict et traditionnaliste où elle va rencontrer de beaux garçons tout en attisant la haine de certaines rivales jalouses. Mais cela tourne à toute vitesse à la guimauve naïve. Le dessin est dans un style purement manga, purement shojo. Les décors, le plus souvent vides, ajoutent encore davantage à l'aspect fleur bleue quand ils s'emplissent de fleurs, d'étincelles ou de plumes à la façon des mangas les plus irritants du studio Clamp. Techniquement, c'est bien dessiné, mais ce style est trop caricatural dans son genre où tout est beau tout est mignon. En outre, tous les personnages sont dessinés avec le type occidental, ce qui est bien ennuyeux quand on découvre au fur et à mesure de la lecture qu'en fait untel, untel et untel sont en réalité chinois ou du moins asiatiques comme l'héroïne, ce qui explique pourquoi presque tout un collège anglais parle chinois. Quant à l'histoire, elle reste ultra-classique et tout aussi caricaturale tout du long. En principe tirée de la biographie réelle de l'auteur Jennifer Li, elle est racontée en accentuant totalement l'aspect romantisme et les moments "youpi tralala". Sans jamais décoller dans son rythme, elle nous entraine dans les petits bonheurs de l'héroïne : - "oui, grâce à toi nous avons tous réussi à travailler ensemble pour préparer notre interrogation orale" - "oui, grâce à toi on a tous de bonnes choses à boire pour l'équipe de basket" - "oui, c'est à toi que nous allons offrir le plus de roses pour la fête de la Princesse des Roses" L'ennui, par rapport à une histoire fleur bleue réussie, c'est qu'on ne s'attache pas assez à cette héroïne dont on ne comprend même pas comment elle fait pour tout réussir et pour plaire à tout le monde. Alors on ne ressent rien quand on la voit s'interroger entre ses deux amours, deux beaux jeunes hommes amis dans la vie, un musicien un peu rebelle et un basketteur de talent. On n'a pas envie de sourire avec elle quand on la voit sauter de joie parce qu'elle a encore réussi à contrer une adversité aussi dangereuse que d'affronter un lapinot famélique. Bref, il est vrai que, à la base, je ne suis guère friand de shojo et de romantisme à l'eau de rose, mais je crains que cette histoire ci n'aie pas grand chose pour plaire même aux amateurs du genre.

15/05/2006 (modifier)