Golgo 13
Un homme à abattre ? Une oeuvre d'art surprotégée à détruire ? Lorsqu'une tâche est jugée impossible à accomplir, on fait appel à Duke Togo. Nom de code : Golgo 13. Profession : tueur à gages.
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Un homme à abattre ? Une oeuvre d'art surprotégée à détruire ? Lorsqu'une tâche est jugée impossible à accomplir, on fait appel à Duke Togo. Nom de code : Golgo 13. Profession : tueur à gages. Froid et impassible, n'éprouvant aucun remord et prêt à accepter tous les contrats, il vient à bout de toutes les missions qu'on lui confie, moyennant une somme d'argent collossale. Magnats du crime ou de la pègre, politiciens, industriels, tous les puissants font appel un jour à ses services.
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Date de parution | Mai 2006 |
Statut histoire | Histoires courtes 2 tomes parus |
Les avis
2.5 Je n'ai réussi à lire que le tome sur les choix des lecteurs, mais je pense avoir assez lu de pages de Golgo 13 dans ma vie pour me faire une opinion. Je connaissais déjà Golgo 13 pour avoir vu il y a longtemps le film du grand maitre de l'animation japonaise Osamu Dazaki et franchement de tous les classiques du maitre, ce film était le seul où je n'avais pas du tout accroché. J'ai tout de même voulu lire le manga parce que je m'intéresse aux vieux mangas et que Golgo 13 est une institution au Japon. C'est le manga avec le plus de tomes parus (207 et c'est toujours en cours depuis 1968 !) et c'est le second manga avec le plus d'exemplaires vendus après 'One Piece'. Je n'ai pas été surpris par le type d'histoires que propose l'album et aussi par ma réaction durant ma lecture. J'ai trouvé cela moyen. Le héros est typiquement le genre de héros macho qui me laisse indifférent. Notre Golgo montre presque pas d'expressions, il est super fort et finit toujours par gagner et souvent il couche avec des femmes qui bien sûr aiment ce genre de type viril. J'aime mieux mes héros bourrins lorsqu'ils ont des émotions et ont des faiblesses comme n'importe quel humain normal. Dans les années 60, l'auteur avait adapté en manga James Bond et disons que ça se voit, quoiqu'au moins Bond pouvait faire preuve d'humour alors que Golgo est toujours hyper-sérieux. Il y a tout de même des qualités dans ces récits. Le dessin est vraiment bon et la narration est fluide même lorsque c'est bavard. Il y a de bonnes scènes et j'aimais bien lorsque ça parlait de situation géopolitique ou des possibles passés du héros. En fait, généralement, je trouvais l'histoire plaisante à lire lorsqu’il n’y avait pas Golgo dans une scène ! Pour les amateurs de ce genre de thriller qui aiment bien voir comment le héros super-fort va se sortir des pires situations.
J’ai depuis plusieurs années le deuxième tome paru en France “Le choix de l’auteur”, qui comporte 13 histoires complètes dudit Golgo 13 et sélectionnées par son créateur. Avant de donner une note à ce manga qui fait incontestablement partie de la culture populaire japonaise, je voulais lire “le choix des lecteurs”, paru auparavant et beaucoup plus difficilement trouvable. Je l’ai emprunté à la bibliothèque en étant sur d’avoir assez de temps pour le lire (j’ai quand même eu du retard), et je peux maintenant donner un avis complet sur Golgo 13. Je dois bien l’avouer, ma lecture du deuxième volume (enfin, du premier quoi, mais le sens de lecture n’a aucune importance) a été, par moments, un peu pénible. Mais c’est dû au fait qu’il y a 1330 PAGES (!!!). Non mais sérieux. On n’a pas idée quand même. En fait, le problème, c’est qu’on a plusieurs histoires assez longues et qui se ressemblent quand même un peu. De plus, la narration est assez lourde. Mais j’ai remarqué que je trouve la narration lourde dans pas mal de mangas, donc je pars du principe que c’est plus un problème général de traduction. Mais il faut bien avouer que la présentation des personnages est parfois un peu cocasse, du style “Oh, je n’y crois pas, c’est Machin Truc, une légende qui n’a jamais raté une seule mission d’élite, un véritable pro!”. Et ce 3 à 4 fois par épisode, avec 13 épisodes par album, ça finit par être un peu lourd. Le dessin, lui aussi, peut être un peu décourageant. Certaines histoires sont très datées, et les mouvements des personnages sont un peu brusques (surtout dans les plus anciennes histoires). Mais en fait, il ne faut pas lire “Golgo 13” comme une bd ordinaire, d’un coup. Il faut plutôt se dire, à l’occasion, “tiens, je vais me lire une petite aventure”. Et là, ça passe très bien. Les histoires, si elles traînent parfois un peu en longueur, sont toujours très bien construites, et on sent que Saito veut donner de la crédibilité à ses histoires, les ancrer dans le réel. Ca ne se résume pas à un mec qui demande au tueur à gages de faire son office, on voit comment le héros fait et paf fin de l’histoire. Il y a toujours un contexte particulier qui est longuement expliqué, détaillé. Alors oui, parfois, certaines histoires se répètent, comme celles qui reviennent sur le passé de Duke Togo. Mais globalement, et si on espace un minimum ses lectures, toutes se laissent bien lire, et j’ai trouvé certaines vraiment passionnantes. Si ça marche, c’est aussi grâce au héros. Duke Togo est un grand taiseux, on ne sait jamais trop ce qu’il pense et il réussit tout ce qu’il fait. Ce genre de personnage est à double tranchant. Il n’est pas très attachant et le lecteur aura du mal à s’identifier à lui, vu qu’il est quasi parfait et presque antipathique. Mais d’un autre côté, tout ça en fait un personnage hyper charismatique, classe et badass à souhait. Duke Togo est très classe. Et dans ce type de manga, c’est essentiel d’avoir un personnage crédible. C’est une sorte de James Bond piqué aux hormones et tout le temps de mauvaise humeur, mais du coup à chaque histoire on a envie de savoir de quelle façon hyper abusée il va s’en sortir, parce qu’il est trop fort. Ca fait très super héros au final, mais ça ne me gène absolument pas. Et si le dessin peut être critiquable, que les personnages secondaires se ressemblent souvent et ont des têtes bizarres, le graphisme de Golgo 13 est parfait. Il a une coupe de cheveux hyper classique et commune, mais pourtant on le remarque tout de suite au milieu des autres, il est totalement différent des autres personnages. Duke Togo est impressionnant physiquement, et ça ne fait que rajouter à son aura. Les décors sont aussi très bien réussis, et je trouve que les histoires les plus récentes sont vraiment graphiquement mieux réussies, ça les rend encore plus agréables à lire. FInalement, Golgo 13 est un manga que j’affectionne tout particulièrement. Jamais il ne me viendrait à l’idée de me taper l’intégrale d’un coup (chose que je peux faire avec d’autres bds), mais il peut très bien m’arriver de relire quelques histoires qui m’ont plu, et toujours avec plaisir. Il est aussi intéressant de constater l’ampleur du truc au Japon, au travers des différentes interviews qui sont dans les albums. Et, selon moi, cette grande popularité est bien méritée.
‘Golgo 13’ est au manga – et, finalement, à la bande dessinée dans son sens le plus large – ce que ‘Léon’ est au cinéma et ce que 47 (‘Hitman’) est aux jeux vidéos, à savoir un exécuteur d’élite, un tueur à gages de premier ordre ! Après avoir lu les avis précédents, j’avoue avoir été agréablement surpris par ma lecture. Les différents récits rassemblés dans cet ouvrage sont en effet bien plus variés que certaines chroniques le laissent entendre. Je m’attendais à retrouver systématiquement le schéma linéaire suivant : Golgo 13 rencontre son client, reçoit ses instructions, organise son coup et, finalement, élimine sa cible. Mais la narration varie sensiblement d’une histoire à l’autre (parfois l’on n’apprend l’identité du client de « G » qu’à la fin du récit, parfois il n’a pas de contrat à exécuter, parfois, le héros n’intervient même qu’après la moitié, voire à la fin, du récit, etc.) Cependant, des traits communs existent inévitablement entre les différentes histoires : Golgo 13 intervient systématiquement dans le cadre de missions à la limite du possible, il est quasiment invincible, il mène toujours sa mission à terme, etc. Mais les auteurs parviennent tout de même à garder pas mal de suspense ! Il y a, par exemple, des enquêtes policières en parallèle, des épidémies, ainsi que quelques récits où l’on essaie d’en apprendre davantage sur les origines du tueur (‘Les dernières volontés de Mao Ze Dong’, p.ex.) Par ailleurs, le héros n’est pas le robot que l’on pourrait imaginer. Si certaines histoires (‘Eva, errant vers l’océan’, p.ex.) le présentent comme un tueur impassible et dépourvu du moindre remords, d’autres – certes plus rares (‘Agent pathogène de niveau 4’, p.ex.) – laissent penser qu’il demeure une once d’humanité à « G ». La quantité importante de données techniques (au sujet de produits dopants dans ‘Une seconde parmi 36000’, ou de tir à longue distance dans ‘At Pine Hole’, p.ex.) et politiques (l’occupation d’Okinawa par les USA dans ‘Le syndrome Okinawa’, ou Pol Pot et le Camboge dans ‘Le soldat bionique’, p.ex.) font vraiment gagner en crédibilité à ce manga. Le découpage en chapitres est généralement bien pensé et ne contrarie en rien la fluidité de la lecture. Le dessin est un peu trop caricatural à mon goût, mais ça ne m’a pas dérangé outre mesure. Je pense qu’avec un graphisme plus réaliste, ‘Golgo 13’ pourrait franchement prétendre au titre de bd culte ! Je me réjouis en tout cas d’acquérir et de parcourir le deuxième volume de ce best of ! -------- M.A.J. 20.XII.2010 – après lecture du tome 2 Je confirme la première version de mon avis : ‘Golgo 13’, c’est « franchement bien » ! Il faut avoir parcouru les nombreuses interviews parsemées entre les différentes histoires tout au long des deux volumes de ce best of, pour saisir l’ampleur du phénomène culturel qu’est ‘Golgo 13’ au Japon. Les récits choisis pour le deuxième opus du best of sont peut-être légèrement moins convaincants que ceux du premier, mais la qualité est quand même franchement au rendez-vous. À lire !!! Et à acheter d’ailleurs (surtout vu le prix…) !
Ah la vache, c’est rude… moi qui avais tant aimé « Survivant » du même auteur malgré son ton un peu professoral par moments et son dessin un peu vieillot, avec Golgo 13 (j’ai tenté de lire le tome 2, celui avec les 13 histoires choisies par l’auteur, le rouge quoi) je suis tombée de bien haut… Bon, déjà le format du machin est une hérésie à lui tout seul… Sous prétexte de vouloir publier 13 histoires, comme le 13 de Golgo 13, on se retrouve avec un pavé de 1180 pages et de 1,752 kg (marque page compris) à se trimbaler… c’est n’importe quoi ! J’aurais pu en dire autant pour « From Hell » d’ailleurs… Le dessin est toujours aussi démodé, il rappelle bien celui de « Survivant », mais cette fois ce sont des occidentaux et/ou souvent des russes qui sont mis en scène (enfin, pour les histoires que j’ai réussi à lire) et ils ont presque tous un ENORME nez !! Désolée, mais les histoires sont tellement barbantes et bavardes, que j’ai fini par ne plus voir que ça :-/ Les histoires donc… et bien en fait, elles m’ont assez peu passionnée : un tireur d’élite, sombre et mystérieux, musclé comme s’il avait abusé de la K2000, à qui rien ne résiste (un peu comme James Bond), investi d’une mission impossible mais pas pour lui parce qu’il est le plus fort, bref… tout ceci me passe à des kilomètres au dessus de la tête (comme James Bond en fait...). Le pire je crois, c’est de ne pas savoir la raison pour laquelle telle ou telle personne est la cible. « La Poupée Russe » en est le plus bel exemple, et pas de bol, c’était la première histoire qui parvenait à m’intéresser un peu par son contenu… Et puis le contexte politico-machin de la guerre froide, bof. Enorme déception pour ma part, même si je ne m’attendais pas à accrocher autant que pour « Survivant », je pensais au moins trouver mon compte sur quelques histoires dans le lot, mais l’esprit et la forme ne me conviennent pas du tout (sans parler de l’édition…).
13 histoires, 1300 pages, 30 euros (pourquoi pas 13 ?), qui dit mieux ? [NdW : Moi ! Ce bouquin coûte en effet 20 euros] Une bonne occasion de se plonger dans l'univers de ce surhomme pour qui rien n'est impossible. Ce tueur est la fusion de James Bond (la classe, les femmes), Schwarzenegger et Ogami Itto (un mental d'acier) qui lui permet de venir à bout de n'importe quel contrat. La situation et l'intrigue paraît toujours très réaliste même si elle est parfois énorme comme un éléphant. On prend plaisir à chaque fois à découvrir la manière adoptée par le mystérieux Golgo 13 pour dégommer sa cible. Malheureusement, la série, qui perdure depuis 40 ans, recèle du bon (notamment celles tentant de dévoiler le passé de Duke Togo) et du moins bon (comme ce pastiche de western spaghetti).
Critique après lecture du tome 1 C'est sans enthousiasme que j'ai emprunté cette bd dans la bibliothèque près de chez moi. Je ne connaissais "Golgo 13" que par l'anime sorti en France il y a quelques années (queen bee d'après mes souvenirs) et qui n'était qu'un concentré de voyeurisme et de violence ne présentant pas un gros intérêt. Malgré tout j'ai décidé de donner une deuxième chance à notre héros. Et j'en suis bien récompensé. J'ai pris beaucoup de plaisir à lire les treize histoires qui émaillent ce gros bouquin. Elles sont vraiment toutes différentes et l'ensemble donne un tableau d'ensemble du personnage très intéressant. Personnellement, ma préférée est "Eva, errant vers l'océan". Le dessin est vraiment bon et le découpage des pages donne un très bon rythme. La grosse épaisseur du livre donne une très bonne durée de lecture (environ 1 400 pages et au moins trois ou quatre heures de lecture). Une bonne surprise, pas non plus l'énormité génialissime que je vais acheter dès demain pour le déposer fièrement dans ma bibliothèque, mais une bonne lecture empruntée dans une bibliothèque ou une bonne occasion pas chère.
Le manga, en général, n'est pas ma tasse de thé. Pourtant, j'en apprécie certains... dont celui-ci. Il faut dire que "Golgo 13" aura bientôt 40 ans et que, surtout, son style graphique s'apparente à la BD dite "européenne". Alors, Golgo 13 ?... Un samouraï solitaire, un véritable tueur qui oeuvre tout aussi bien pour la C.I.A. américaine que le K.G.B. soviétique. Un véritable arsenal de puissance, ce gars : tireur d'élite, multilingue, expert en arts martiaux, sachant utiliser n'importe quelle arme ou véhicule existants. Un être vraiment sans remords, froid, glacial même, qui n'a aucune pitié pour ses adversaires. Les histoires ?... vraiment réalistes, qui vous prennent par la main pour ne plus vous lâcher. Un postulat et des développements assez haletants soutenus par une mise en page saccadée qui attire l'oeil. Curieuses histoires d'un assassin pour lequel on se sent pris d'une certaine sympathie. Le cynisme qui entoure ces histoires déborde à chaque coin de page; mais on s'en moque. On est vraiment entraîné dans ce "monde de l'ombre" si proche de nous... et pourtant si éloigné. Costaud.
Etant fan de mangas et connaissant tous mes classiques shonens, je me permets de conseiller cet imposant volume regroupant les 13 histoires préférées des lecteurs de golgo 13. J'ai lu ce manga avec passion. Golgo 13 est un tueur à gages. C'est un personnage trouble solitaire aux capacités surhumaines. On ne connaît pas précisément ses motivations qui le poussent à agir, ce qui rend le personnage très mystérieux. Au travers de ces histoires, on découvre les possibles causes de sa force (l'entraînement, la volonté, la génétique, l'envie de revanche...). On se demande si l'auteur lui même avait envie d'élucider ce mystère… ce qui donne une dimension quasi-mystique à ce personnage. Golgo13 est précurseur de beaucoup de personnages dans la lignée de City Hunter ou Cobra. Il y a beaucoup d'action. Les dessins m'ont plu et le manga aussi.
Depuis le temps que j'en entends parler de ce Golgo 13... La série comporte au total plus de 170 épisodes, Glénat nous sort un album dictionnaire regroupant 13 des meilleures aventures de Golgo 13. Golgo 13 alias Duke Togo est un tueur impitoyable, il ne manque jamais sa cible et rempli tous ses contrats avec succès. Il ne s'exprime que très rarement et ne laisse transparaître aucune émotion. Au vu du postulat de départ on se dit que cela va vite devenir répétitif... Et à la lecture, la surprise est plutôt bonne, car si il est vrai que les histoires se suivent et se ressemblent, le background politique très développé de chaque histoire rend le tout très crédible, avec un personnage infaillible et indestructible, à la limite du surhomme comme Golgo 13, c'est un beau tour de force. La mécanique bien huilée de chacune des nouvelles fonctionne si bien, que même si on sait en lisant, que Golgo 13 s'en tirera d'une façon ou une autre, le suspense fonctionne et on tourne les pages avec intérêt. Sur les treize histoires de l'album, trois parlent clairement des origines du mystérieux Golgo 13, chaque fois les pistes sont différentes et bien construites, elles font partie de celles que j'ai préféré. Les dessins ne sont pas extraordinaires mais c'est correct, le bouquin offre plus de 1300 pages et se lit sans prise de tête, sympa pour se détendre en vacances par exemple. Je conseille. JJJ
1326 pages dans cette anthologie Golgo 13 ! Un ouvrage imposant et qui muscle le bras donc que nous édite Glénat. On retrouve ici 13 histoires du tueur à gages parmi les meilleures suite au vote des lecteurs. Cet ouvrage publié en France est une bonne approche pour l'éditeur et le lecteur de découvrir un manga qui existe depuis 30 ans au Japon et compte déjà des milliers de pages. On comprend qu'il est difficile de s'engager à la publier entièrement, autant montrer ce qu'il y a de mieux. Le personnage est tellement culte que beaucoup de mangakas de la nouvelle génération comme Urasawa y font référence dans leurs mangas. Au niveau du personnage, on comprend vite que Golgo 13 gagne toujours à la fin quel que soit l'impossible mission qu'on lui confie. Face aux difficultés, il sait profiter de son incroyable condition physique mais aussi mentale. Golgo 13 est un peu en tant que tueur ce que James Bond est au cinéma d'espionnage. Mission à tout prix, un homme qui permet de lui fournir le matos spécifique dont il a besoin pour mener à bien sa mission, mystérieux auprès des femmes, passé obscur etc. D'ailleurs, on trouve dans cette compilation 3 histoires toutes aussi crédibles parlant du passé potentiel de Golgo 13. Comment en est-il arrivé à devenir le meilleur tueur du monde, froid et impassible - même quand la cible est une femme chère à ses yeux ? Bref très intéressant, les histoires sont toutes bien ficelées et réalistes, s'inspirant aussi de l'actualité. A voir si l'engouement tiendrait sur une série d'une telle durée, et pour cela je pense que Glénat a fait le bon choix de proposer "seulement" ce Best 13 of Golgo 13.
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