Luka
Les enquêtes de Luka, sociologue en criminologie.
Collection Repérages Denis Lapière
Le meurtre d'une femme, retrouvee nue et mutilee, semble plonger dans le mutisme tout ceux qui pourraient parler. Surtout lorsque Luka vient fourrer son nez dans cette histoire, la ville se recroqueville sur ses secrets... Et en plus ça ne fait que commencer car d'autres meutres vont se suivre, tous avec une mise en scène macabre...
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Date de parution | Novembre 1996 |
Statut histoire | Série terminée (Cycles de 2 tomes) 10 tomes parus |
Les avis
Je poste mon avis après avoir lu le premier cycle de deux tomes. Je ne crois pas que je testerai d’autres cycles, ces deux albums m’ayant déçu. D’abord le dessin de Mezzomo. Techniquement il n’est pas complètement raté (même si quelques erreurs anatomiques). Mais je ne l’ai pas aimé. Il fait un peu bâclé – ma remarque étant valable pour les paysages ou décors, mais surtout pour les visages des personnages (qui parfois varient d’une case à l’autre d’ailleurs). Et la colorisation n’arrange pas les choses je trouve. Elle les aggrave plutôt d’après moi. Quant à l’intrigue, je l’ai trouvée tirée par les cheveux, et son déroulé – sur un rythme trop lent – assez improbable (comme le type qui scrute la ville et ses environs, espionnant tout le monde de sa baraque perchée sur les hauteurs, ou les aptitudes du héros en VTT !). Les rebondissements de la fin sont aussi un peu trop brutaux. A noter un petit clin d’œil à Cosey page 43 du premier tome… Bref, ce diptyque ne me donne pas envie de poursuivre la découverte de cette série dispensable.
Beaucoup de hauts et des bas dans la série "Luka" et je reste globalement déçu tant au niveau du dessin que des intrigues trop mollassonnes. J'aime le trait dynamique de Mezzomo mais ici, on sent qu'il se cherche encore. Tout est perfectible (visages, décors,...) On est loin d'un "Ethan Ringler" ou d'un Mexicana par exemple. Ca s'améliore dès le tome 7. Les histoires sous forme de diptyque ne sont pas très convaincantes et parfois bâclées tant les trous scénaristiques, les invraisemblances, les raccourcis sont énormes (spécialement le 1er diptyque, ça va mieux par après mais ça reste mou du genou) Je trouve aussi que Lapière a donné beaucoup trop d'importance au personnage de la commissaire Ingrid, celle-ci a pris le dessus sur Luka (déjà peu charismatique), le rendant presque sans intérêt au fil des tomes. Dispensable.
J'ai lu quatre albums et je n'ai pas envie de lire la suite. Comme plusieurs l'ont déjà écrit la grande faiblesse de cette série est le dessin. C'est pas mal au niveau du paysage, mais les personnages sont souvent affreux. J'ai eu parfois l'impression qu'il y avait des erreurs d'anatomie, notamment lorsque les corps sont dénudés. Cela ne me donne pas trop envie de lire les histoires. Les scenarii en eux-mêmes ne sont pas totalement mauvais, mais je n'ai pas réussi à m'intéresser aux enquêtes. Tout m'a laissé indifférent y compris le héros quoique je pense que j'aurais peut-être mieux accrocher si j'avais aimé le dessin.
Un jeune sociologue en criminologie enquête et donne son point de vue pour aider la police… A la vue de la première histoire en deux tomes, je m’étais dit : " pas de doute, mon gars, t'es tombé sur une très bonne série ". En effet, même si le dessin laissait à désirer, le scénario quant à lui était fichtrement bien pensé et occupait ces deux tomes de très bonnes manières. Je me réjouissais d’avoir encore bon nombre de tomes à emprunter à ma bibliothèque. Malheureusement dés la deuxième histoire (tome 3 et 4) le scénario tombe en quenouille et fait ressortir par la même occasion les défauts très visibles de ce dessin. Car il faut l'admettre : sans un scénario à la hauteur un dessin pas génial, se repère d’autant plus, dommage. Espoir… Hélas : la troisième histoire (tome 5 et 6) là je déconnecte complètement. L’intrigue est correcte pourtant, mais c’est fini, je n’adhère plus à cette série. Le dessin grossier ne m'aide guère, il me déconcentre vraiment trop dans ma lecture, ce qui n’était pas le cas dans la première histoire. Le scénario est moins bon tout simplement. La suite sera sans moi malheureusement ou alors puisque les tomes ne sont jamais empruntés à la bibliothèque, si j’ai plus rien d’autre, j’y reviendrais Scénario très bien pour la première histoire Dessin : vraiment trop juste Univers ou atmosphère crée : bon dans les 2 premiers tomes, quelques bonnes trouvailles. Développements et psychologie des personnages : il y a des essais mais ils ne sont pas très concluants. (9.5/20)
Une sorte de Largo Winch du « pauvre » qui sous des airs sociologiques se donne un genre. Une déception au niveau du dessin (raide et figé) et du scénario (banal et alambiqué). Rien de transcendant car on oublie très vite! Les traits des différents personnages sont réellement insignifiants… Une grosse déception ! C’est la première fois que je ne termine pas une série que j’avais commencé à acquérir sur des conseils peu avisés (avant que je ne connaisse bien entendu ce site). En effet, je ne possèdais que les 6 premiers tomes. Je viens de commettre un acte presque sacrilège pour un collectionneur de bd : j'ai revendu toute ma collection à 2 euros pièces! Cela prenait inutilement de la place sur mon étagère. Que je suis soulagé de m'en être débarrassé !
Histoires policières en deux tomes qui donnent un dynamisme intéressant sans lasser le lecteur. On suit les aventures d'un jeune sociologue en criminologie de Marseille (assez sportif) qui à travers des meurtres qu'il est sensé observer, va à chaque fois être mêlé activement à l'enquête. Les dessins, classiques et contemporains, rendent bien pour du policier. Les histoires sont pour l'instant (je n'ai lu pour l'instant que les huit premiers tomes) assez variées et cohérentes. Ce n'est pas révolutionnaire mais c'est très distrayant et attirant.
J’ai lu le résumé de l’histoire. J’ai lu les avis. … et je ne savais toujours pas qui est Luka… J’ai voulu connaître. C’est fait !… Luka ?… c’est un étudiant en sociologie. Au début de la série, il mène une étude sur l’ambiance de travail dans un commissariat. Il n’est pas un intervenant direct des faits qui vont se produire, mais est employé en tant que stagiaire ; un « observateur » du métier de flic dans la petite ville de Saint-Noire. Et il faut dire que dès l’installation de « notre » Luka Borshogovochnyy (à vos souhaits !) il va s’en passer de drôles de choses. C’est d’abord une fille nue retrouvée morte plusieurs fois de suite. Ce seront ensuite des magouilles dans un home pour vieillards, la chute d’un alpiniste, des motards qui vouent un véritable culte à la mort… Bien qu’il ne soit ni flic ni détective, Luka va aimer mettre son nez dans ces histoires. Et j’ai aimé le suivre… du moins un peu. Les « aventures » de Luka sont réalisées sous forme de diptyques. Bien, mais les scénarios sont parfois un tantinet emberlificotés. Le dessin ?… un trait réaliste assez curieux ; comme un goût d’inachevé dans les personnages, les décors. Curieusement, c’est ce qui procure une sorte d’attrait à la lecture ; pour autant que l’on entre à fond dans ces histoires. Ce que je n’ai pas su faire. Scénario et graphisme ?… un goût de « trop peu » pour avoir un réel attrait à mes yeux. Dommage, il ne manquait pas grand chose.
Ayant hérité d'un bon nombre de B.D. , j'ai dévoré les Luka, le scénario tient la route et est divertissant. Certains critiquent le graphisme, je trouve que le dessin est clair donnant une meilleure lisibilité de la planche, et permet d'avoir une plus grande légèreté de l'ensemble.
Disons-le d'entrée : cette série n'a rien d'exceptionnel. Parlons d'abord des intrigues. La série est découpée en diptyque de 2 tomes, ce qui permet d'avoir des "enquêtes" relativement bien menées. Je dis bien "relativement", car la plupart du temps, la fin de chaque histoire me semble bâclée, précipitée, un peu ratée. Pour le reste, Lapière essaie de toucher à tout un tas de milieux sans vraiment s'y plonger. Les histoires sont un peu embrouillées, et la lecture ne laisse qu'un vague souvenir de médiocrité. Quant au dessin... Mezzomo est capable de bien mieux que ce qu'il fait dans "Luka", il le démontre dans Ethan Ringler. Mais dans cette série, c'est un peu "facile", comme dessin. Ses personnages ont des proportions et des attitudes parfois étranges, et même si ce n'est pas trop désagréable, ce n'est pas très encourageant non plus. Cette série vaut plus pour la diversité de ses intrigues que pour son rythme de narration. A emprunter en bibliothèque.
Je commence par défoncer une porte ouverte : le dessin est la grande faiblesse de cette série. Je le trouve approximatif, carré et lourd, dès lors qu'il concerne les personnages (hommes ou femmes d'ailleurs), parce que les paysages sont pas trop mal abordés. Niveau scénar, ça passe beaucoup mieux. Les histoires sont pas extraordinaires mais elles sont divertissantes. Ma note est forcément sévére, mais je ne peux pas mettre un 3 à cause du graphisme qui plombe vraiment l'ensemble.
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