Dicentim le petit franc

Note: 2.71/5
(2.71/5 pour 7 avis)

Les joyeuses aventures de Dicentim, le facécieux petit Franc, qui ont fait la joie de centaines de milliers de lecteurs de PIF gadget.


Albums jeunesse : 6 à 10 ans Les petits éditeurs indépendants Pif Gadget

Les joyeuses aventures de Dicentim, le facécieux petit Franc, qui ont fait la joie de centaines de milliers de lecteurs de PIF gadget. Ca carillonne à poilenville, la cité du bon roi fainéant Poilenpogne, et Bougredane le fanfaron capitaine des gardes, risque de se faire sonner les cloches. Bougredane et bougredandouille ne font qu’un !

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Octobre 1986
Statut histoire Histoires courtes 7 tomes parus

Couverture de la série Dicentim le petit franc © Editions du Taupinambour 1986
Les notes
Note: 2.71/5
(2.71/5 pour 7 avis)
Cliquez pour afficher les avis.

10/07/2006 | Ro
Modifier


Par karibou79
Note: 1/5
L'avatar du posteur karibou79

Une série de Pif Gadget qui a apparemment marqué positivement la majorité des lecteurs. Moi elle me saoulait, les personnages sont têtes à claque à la longue, les scènes de bagarre mal dessinées (j'avais l'impression que l'onomatopée se situait 30cm à côté du point d'impact), le casque de Dicentim ridicule... Bref je la zappais pour lire Rahan et les autres, 3 crans au-dessus.

19/05/2023 (modifier)
Par sloane
Note: 3/5
L'avatar du posteur sloane

Ah ! se replonger dans de vieux "Pif Gadget", je redécouvre avec délice de vieilles bandes qui ont fait mon bonheur autrefois. "Dicentim le petit Franc" en fait partie. D'abord ce doit être le premier jeu de mots que j'ai capté avec ce titre que je trouvais rigolo. J'aimais bien l'idée de ce pauvre Bougredane qui à la manière d'un vil coyote se faisait toujours avoir par Dicentim. D'accord tout cela ne volait pas bien haut, mais j'avoue qu'entre des lectures plus sérieuses que je lisais dans "Pif Gadget" c'était comme une petite récréation. Mon goût a évolué, fort heureusement, face à ce dessin avouons le un peu moche et je ne parle même pas de la colorisation très fade, mais je ne renie en rien le plaisir que je prenais à lire ces histoires finalement assez semblables. Cette bande a bien sûr beaucoup vieilli et aujourd'hui elle ferait sans doute un flop mais si l'on se replace dans le contexte, c'était pas si nul.

04/05/2020 (modifier)
L'avatar du posteur Agecanonix

Les démêlés du petit malin Dicentim et du gros abruti Bougredane, aussi stupide que ridicule, et dont les complots contre le roi fainéant Poilempogne échouent toujours. C'était un pitch aussi simple que régulier dans cette petite bande au ton joyeux ; Dicentim finissait par ridiculiser ce gros imbécile qui se retrouvait souvent au cachot. Cette série de gags au dessin très caricatural mais agréable, ne m'enchantait pas plus que ça dans Pif-Gadget, je lui préférais de loin Placid et Muzo, "Léo bête à part" ou mieux, Les Tristus et les Rigolus au comique plus subtil. Mais la bande pouvant être comprise par de très jeunes lecteurs fonctionnait bien avec ses gags et ses couleurs vives au service d'une histoire simple. Elle me rappelait une bande très peu connue du journal Tintin, "Amik" de Le Gallo et Moliterni, sur le petit écuyer d'un roi débonnaire dont le pouvoir était convoité par un sorcier crétin. "Dicentim" succédait aussi à Couik, autre Bd au dessin dépouillé de Jacques Kamb qui voyait un curieux oiseau évoluant dans un décor préhistorique, et préfigurant étrangement le célèbre Concombre Masqué de Mandryka. Il faut rendre hommage à toutes ces petites Bd qui ont su charmer l'enfance des sixties et seventies.

15/07/2013 (modifier)
Par zébu
Note: 3/5

Aprés la lecture de quelques aventures dans le magazine "pif gadget". Pour moi une série pas mal mais sans plus ; on assiste à plusieurs histoires courtes dans lesquelles un petit soldat du roi, roublard et malin, fait tourner en bourrique un gros béta orgueilleux. Passons sur les dessins qui ne constituent pas là un atout majeur. Les personnages sont tous très ronds à gros nez, les décors épurés, les couleurs bien criardes et très contrastées. Le scénario s'apparente clairement une comédie moyenâgeuse à l'ambiance très légère et aux gags plaisants, certes on est pas mort de rire tout le long mais l'ensemble reste bien agréable à suivre. Toutefois, même si le nom de cette série restera dans la mémoire de ceux ayant connu le défunt magasine "pif gadget" comme l'une des meilleures ; on ne peut dire que les divers effets comiques employés resteront dans les annales. De plus, on est en droit de se demander si cette série plairai aux enfants de maintenant (à condition d'en trouver les albums, ce qui s'avère surement une tâche ardue) ou simplement à quelques nostalgiques de leur jeunesse passée.

08/06/2013 (modifier)
Par L'Ymagier
Note: 3/5

Une bonne série humoristique avec la confrontation quasi permanente entre deux personnages : Dicentim, un petit soldat franc au service du roi Poilempogne et l’affreux Bougredane ; un gros bêta qui voit tous ses mauvais coups échouer pour immanquablement se retrouver au cachot. Pas mal car Jacques Kamb, sur des idées pourtant simples, parvient à créer des historiettes efficaces et originales. Dicentim ?… pas récent. Il débute sa carrière dans « Pif Gadget » en 1973. Il n’y connaît pas de grandes aventures mais sa présence très régulière a fait qu’une bonne partie du lectorat s’est attachée à ce personnage quand même assez roublard ce qui, je pense, en faisait son succès. Le dessin ?… typique « gros nez », surtout centré sur le comportement des « acteurs » accompagnés de décors simplifiés. Dicentim ?… il est venu, a marqué un peu l’esprit des lecteurs de cet hebdo. Mais j’ai quand même peine à me souvenir de ses gags. Beau travail d’auteur quand même.

09/01/2009 (modifier)
Par Gaston
Note: 3/5
L'avatar du posteur Gaston

Une des meilleures bandes dessinées de Pif Gadget ! Tout d'abord, j'aime beaucoup le style de Kamb. J'aime bien le style gros nez typique de la bd humoristique franco-belge de l'époque. Je trouve que cela donne un côté rétro et sympa au dessin. Quant au scénario, la plupart du temps c'est le même. Bougredane essaie d'impressionner le roi par tous les moyens et Dicentim ruine son plan. Cela semble répétitif, mais Kamb fait preuve d'une grande imagination et les histoires sont le plus souvent sympathiques à lire. De plus, Dicentim pourrait être l'un de ces héros insupportable qui gagne tout le temps alors qu'on voudrait le contraire (je rêve d'un gag avec Jeannot qui casse la figure de Corinne), mais, encore une fois, Kamb fait preuve d'assez de talent pour le rendre un peu attachant.

30/03/2008 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
L'avatar du posteur Ro

C'est avec le plaisir de la nostalgie que j'ai lu l'album "Bougre de Gong" édité en 2003 par la petite maison d'édition Daric. J'avais bien entendu, avant cela, longuement lu les aventures de Dicentim dans Pif Gadget mais aussi dans son plus ancien album cartonné, La clef d'or d'Inator, qui doit toujours être rangé chez mes grands-parents. Dicentim est une série à laquelle je repense toujours avec le sourire. Oh, ce n'est pas une merveille du monde de la BD, mais c'est un bon souvenir de jeunesse et, étant adulte, ce sont nombre de sourires à la lecture. Le dessin de Jacques Kamb n'a rien de vraiment fameux, tant dans le trait franco-belge gros-nez que dans les couleurs désuètes et disharmonieuses. Mais il est efficace, suffisamment expressif, et franchement, étant gamin, je m'en fichais complètement. Les histoires sont assez simples, usant le plus souvent d'un humour clownesque sans grande finesse mais assez drôle néanmoins. Si je devais résumer le type de scénario de Dicentim, ce serait un mélange entre le vaudeville médiéval et l'aventure clownesque. Et même moi que les petits héros qui gagnent toujours exaspèrent (quand est-ce que Titi va se faire enfin bouffer par Gros Minet ??), j'avoue avoir assez d'affection pour le petit Dicentim et rire des tourments du pauvre "méchant Bougredane". Bon, d'accord, l'aspect visuel (et aussi un peu les récits) de cette BD ont pas mal vieilli et ce n'est pas sûr qu'ils plairaient à un jeune lectorat moderne, mais qui sait ?

10/07/2006 (modifier)