Ichigo 100 %

Note: 2.8/5
(2.8/5 pour 5 avis)

Mais qui est la fille avec la culotte aux fraises ?


Adolescence La BD au féminin : le manga Pantsu ou Shonen Harem Shonen Shueisha Tonkam

Junpei Manaka est un collégien un peu rêveur se destinant à devenir réalisateur. Un soir, alors qu’il monte sur la terrasse de l’école pour admirer la vue, le ciel lui tombe sur la tête. Ou plus exactement, une jeune fille ! Cette dernière, passablement surprise de tomber sur quelqu’un s’enfuit. Manaka reste coi, avec pour seul souvenir l’image gravée dans son coeur d’une culotte à l’imprimé de fraises. Le lendemain, il est bien décidé à retrouver son “ange”. Et ses amis sont formels, si c’est une jolie fille ça ne peut être que Tsukasa, c’est la plus jolie fille du collège. Mais dans ce cas, pourquoi a-t-il retrouvé le cahier de Aya Tôjo ?

Scénario
Dessin
Traduction
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 12 Juillet 2006
Statut histoire Série terminée 19 tomes parus

Couverture de la série Ichigo 100 % © Tonkam 2006
Les notes
Note: 2.8/5
(2.8/5 pour 5 avis)
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22/08/2006 | Spooky
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Par Andrea
Note: 4/5

L'histoire n'est pas très originale, mais les personnages sont tous attachants. Il n'y a rien à dire sur ça, ils ont tous un caractère bien à eux, et ils sont très bien mis en avant. C'est un très bon divertissement, avec un bon rythme, ce n'est pas avec ce manga-là qu'on risque de s'ennuyer, mais plus les tomes passent, plus l'histoire se voit devenir répétitive. A voir si la fin en vaudra le coup, ou si celle-ci sera bâclée...

05/02/2010 (modifier)
Par fonch001
Note: 3/5

Voici un manga qui a tout ce qu'il faut pour... passer inaperçu ! En effet, ce manga copie ce qui se fait dans le genre sans avoir aucune originalité propre et sans jamais rien apporter de nouveau. Le graphisme est banal, bien typé manga, sans grosse faute et sans élément notable non plus. Les personnages n'ont aucune originalité, si ce n'est peut-être le héros d'une bêtise qui dépasse l'entendement et que du coup on a du mal à suivre. Et le scénario tellement convenu et simpliste ne surprendra que les jeunes lecteurs. Sans oublier l'indispensable "fan service" lié à ces œuvres d'amourettes adolescentes. Est-ce ce manque total d'originalité qui à poussé l'éditeur à parfumer le tome 1 (et seulement le tome 1) à la fraise ? (Ichigo signifiant "fraise"). En tout cas j'ai trouvé cela marrant, cette originalité, bien qu'inutile, m'a plu. A vrai dire ces émois adolescents ne sont pas mauvais, mais c'est tellement vu et revu dans de meilleurs mangas (Love Hina, Bleu indigo, Maison ikkoku, etc...) qu'il faut vraiment être un inconditionnel du genre et n'avoir rien à se mettre sous la dent pour lire cette œuvre.

09/11/2006 (MAJ le 08/12/2008) (modifier)

Moi je suis pas d'accord avec vous je trouve ce manga très bien c'est vrai qu'il est pas très original mais on s'attache vite au personnage et j'aime bien l'histoire. PS : je suis impatiente de voir qui il va choisir !!

07/12/2007 (modifier)
Par Katz
Note: 1/5

Tout d’abord, les échos que je recevais de ce titre (via les forums d’anime) m’ont laissé penser qu’il s’agissait d’une comédie romantique. Je me suis alors dit : « c’est intéressant, achetons-le donc pour voir... ». Puis, ces échos se précisant, j’ai compris qu’Ichigo se rangeait plutôt dans la catégorie des comédies shonens aux héroïnes aux courbes plus que développées. Je me suis alors dit : « c’est intéressant, achetons-le donc pour voir ! ». L’ayant finalement commandé, qu’elle ne fut pas ma surprise de le recevoir soigneusement enveloppé sous cellophane (c’était un peu du Evergreen avant l’heure...). Étant grand garçon, je savais que le film de cellophane avait pour fonction première de protéger le monde d’une infection de virus pornographiques hautement pathogènes, et pour fonction seconde d’offrir aux pervers frustrés l’extase de déchirer son fin film de plastique... Arghhh.... le déchirement du fin film de l’hym... euh... *raclements de gorge* Bref, remettons-nous. Ce fut donc avec toute la prudence (précipitation moite) requise que je déchirais ce fin film plastique... arghhhh.... Tout en m’exclamant officiellement : « Montjoie Saint-Denis ! où se trouve mon épée, fidèle écuyer, que je boute ces nippons fripons hors du royaume ! ». Et, officieusement, (mais cela restera entre nous, bien sûr) : « chouette, chouette alors... merci, mon dieu ! ». Un grave désappointement attendait néanmoins le censeur qui sommeille en moi. Car de scènes chaudes, ou hot, ou onsenienne, il n’y avait point dans ce manga ! Oh, ces pervers nippons qui nous causent ainsi de fausses joies ! Euh, ahem... de fausses peurs ! Mais vous aurez rectifié de vous-mêmes, bien entendu. Voilà qui me rappelle d’ailleurs la fois où j’avais emprunté à la bibliothèque municipale un roman qui avait été classé par erreur dans les « policiers ». Je suis allé jusqu’à la dernière page en me demandant quand donc le crime allait se produire. Ce n’est que plus tard que j’ai appris que non seulement il ne s’agissait point d’un policier, mais que l’auteure n’en avait même jamais écrit. En attendant, j’avais lu avec intensité et suspense un roman qui en était notablement dépourvu... Plus tard, aussi, j’ai donc appris que le film de cellophane ne servait qu’à protéger le parfum de fraise dont l’éditeur avait embaumé le titre. Rétrospectivement, j’en frémis encore d’horreur, et soupire d’aise d’avoir, par Saint-Denis Montjoie, sut échapper au vil piège ! Non, mais... franchement ! Vous vous imaginez, allongé tranquillement dans votre lit douillet, en train de sniffer ce manga, et soudain, la porte s’ouvre, laissant le passage à... votre mère, votre femme, petite amie, ou votre sœur, ou votre frère, ou un cousin ou une cousine (au choix) ? Qui soudain, ainsi, vous surprend en flagrant délit d’onanisme olfactif ? Comment échapper ensuite à l’infamie d’une réputation, largement méritée, de pervers menaçant la stabilité mondiale ? À la honte intenable qui vous fera quitter votre famille, votre village, votre région, et même votre pays... Malades, ces éditeurs. Complètement malades. Bien qu’en vérité, je soupçonne un complot de la BD franco-belge... Imaginez un instant le scandale qui eut immanquablement éclaté si nous fussions tombés dans le piège ! Mais nous, lecteurs de mangas shonens, comme nous ne sommes pas des pervers, mais des obsédés frustrés, nous avons éventé le piège en attendant des plombes un événement hot qui n’est pas venu. Derrière notre caractère frustre se cache de fait une subtilité, qu’on ne soupçonne parfois pas nous-mêmes... Bref, revenons à nos moutons à gros seins... Euh, à ce manga. Et bien, tout se résume presque dans cette histoire d’événement hot qu’on attend sans le voir venir, ou dans cette histoire de roman qu’on croît être policier, et qu’on lit ainsi avec une grille de lecture qui le rend soudain intense et passionnant. Pour ce qui est de se rincer l’œil, déjà, on repassera. Les filles sont plutôt mal dessinées. Les garçons seraient presque plus réussis (encore que...). Les histoires de petites culottes et gros nichons qui font boing-boing n’ont bien sûr rien de transcendant (vous en doutiez ?). Cependant, il y avait dans ce premier tome l’esquisse d’une relation fondée sur un attrait commun pour l’art entre Jumpei (le « héros »), et Aya, l’une des protagonistes, celle-qui-devrait-finir-dans-ses-bras bien-qu’elle-ait-l’air-moche. Jumpei, en effet, souhaite devenir réalisateur, et faire « son film ». Aya écrit, en cachette, un roman. Ajoutons à cela que la plus jolie fille du lycée s’intéresse malgré tout à Jumpei, et qu’il fait la connaissance d’une peste fort bien roulée. Oui, mais... cette trame qui possédait quelques solides arguments pour elle dépasse rarement le niveau de la gaudriole. La peste rentre sagement dans le rang en tombant amoureuse (comme les autres) du « héros », alors qu’il eut été nettement plus intéressant de laisser planer l’ambiguïté. D’autres personnages féminins pointent leur nez, jeunes filles qui semblent destinées à tomber amoureuses (ou à l’être déjà secrètement) du « héros ». Mêlons à cela une professeur bombesque, comme peuvent en rêver tous les mauvais élèves frustrés. Et les quelques éléments romantiques qui survivent au massacre relèvent à peine le niveau général, qui s’embourbe dans un manga s’étalant sur 19 tomes (je ne suis pas allé au bout). On sait ou l’on soupçonne l’auteur de tirer « à la case » d’un manga qui se vend... Et on conclut tout cela, aux alentours du tome 5 ou 6 par les mensurations de ces demoiselles, que nous fournit, dans sa grande bonté, l’auteure (parce qu’il s’agit d’une femme, en plus) : du B pour Tsukasa (ah bon ? C’est pas du C ? Mince alors...), du D pour Aya, et du G pour Satsuki ! G... Et pourquoi pas Z++, tant qu’on y est, hein ? Là, j’ai décroché, complètement écœuré par cet aspect « femmes-seins-objet ». J’ai trouvé la fin de ce manga résumée sur le net, d’ailleurs plutôt déplaisante. Et j’ai donc cessé là.

13/10/2007 (modifier)
Par Spooky
Note: 2/5
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Euh oui, bon, j'ai pas fait exprès de lire ce truc... Mais bon, j'ai pas pu m'empêcher de chercher de l'originalité dans ce manga. Parce que bon, un collégien qui est ébloui par la beauté d'une fille littéralement tombée du ciel, mais qui ne sait pas de qui il s'agit... Des copains qui lui soufflent plein de trucs, plus ou moins débiles... le garçon, plus gaffeur qu'autre chose... Le triangle amoureux classique : le collégien est coincé entre la beauté et l'intelligence, et ne sait pas qui choisir... Surtout que la déesse de beauté est loin d'être idiote, et que l'intello ne serait pas si mal que ça, si elle enlevait ses lunettes et se coiffait autrement... Bon, vous l'aurez compris, le garçon passe son temps à guetter la moindre occasion pour regarder sous les (très courtes) jupes des filles pour voir si elles ont des culottes avec des fraises dessus. Et uniquement pour ça. Enfin, officiellement. Bon désolé, je n'ai pas trouvé d'originalité. Enfin si, il y en a UNE. L'éditeur français, Tonkam, a eu l'idée de parfumer (très légèrement) le manga à la fraise. Ce n'est pas trop gênant, et se dissipe en quelques semaines. Le dessin est sympathique, mais pas extraordinaire. Les personnages sont expressifs, et même beaucoup par moments, et même si le manga évite l'écueil de la vulgarité (c'est UNE mangaka qui le réalise), tout ça reste très gentillet. Bref, à part ça, il vaut mieux avoir moins de 15 ans.

22/08/2006 (modifier)