Georgie
Une “nouvelle” série par la dessinatrice de ”Candy”
Adoption Albums jeunesse : 10 à 13 ans Australie Génération Albator La BD au féminin : le manga Océanie Shojo Tonkam
Georgie est une jeune orpheline recueillie par une famille australienne. Elle vit avec sa mère et ses deux frères, Abel et Arthur. Sa rencontre avec Lowell Grey va bouleverser sa vie. Georgie devra suivre un autre chemin, qui la conduira en Angleterre et vers sa vraie famille. Mais aussi briser sa famille d'adoption.
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Date de parution | 06 Décembre 2006 |
Statut histoire | Série terminée 5 tomes parus |
Les avis
Georgie est typiquement l'héroïne de shojo que je ne supporte pas : elle est toujours très gentille et il lui arrive tellement de malheurs que je me demande parfois si elle ne fait pas exprès de se mettre dans le pétrin juste pour que le lecteur ait pitié d'elle. Et je ne parle pas de ses deux insignifiants de frères... Si je n'aime pas les héros, pourquoi je mets 3 étoiles ? Parce que j'ai bien aimé les méchants de l'histoire et particulièrement le duc que je trouve charismatique. Les seuls moments que j'ai aimés dans ce manga c'est lorsque l'on voit comment les méchants font pour mettre des batons dans les roues aux héros de l'histoire. D'ailleurs, je déteste tellement Georgie et ses frères que j'étais du coté du duc !
A l'époque, je considérais déjà le dessin animé Georgie comme étant un ersatz de Candy. Maintenant que je l'ai entamé, je trouve également que le manga Georgie est un mauvais ersatz de Candy Candy. La dessinatrice est la même : le dessin est donc très similaire, reconnaissable notamment aux grands yeux pleins d'étoiles de l'héroïne, dont le physique est d'ailleurs très proche entre les deux séries. Je le trouve un peu plus soigné sur Georgie, qui est plus récente que Candy Candy. Les décors par exemple sont nobmreux et détaillés. Mais je n'apprécie guère ces nombreux fonds tout plein de fleurs et d'étoiles comme dans trop de mauvais shojo. Quant au scénario, c'est du shojo tel que je ne les aime pas. Tout y est cousu de fil (de cable ?) blanc, c'est gnan-gnan à souhait, et sans rien qui puisse captiver ou amuser le lecteur lambda. L'histoire joue à fond la carte du romantisme larmoyant et "tout plein de couleurs". Tout le monde est amoureux de la belle Georgie, ses frères ne sont pas ses frères, c'est une enfant abandonnée dont on devine à peine qu'elle est en fait issue d'une famille très riche, sa mère adoptive est trop trop méchante avec elle (et bête comme ses pieds), le jeune noble est fasciné par elle, les femmes seront toutes jalouses d'elle, etc etc. Cliché et ennui sont au programme pour le lecteur adulte ou simplement mâle que je suis. Bref, j'arrête là ma lecture de Georgie et vous conseille Candy Candy si vous voulez le même type d'histoire en nettement mieux.
À l'heure de cette critique, le premier tome n'est pas encore sorti (on en est à J-7). Mais les scantrad furent accessibles de nombreux mois (années) avant la signature du contrat par Tonkam. Donc, je l'ai lu, relu, et je l'achèterai avec des vraies pages. L'histoire est presque la même que celle que l'on connaît par le dessin animé, mais en encore plus triste, et encore plus tendancieuse. Le dessin est comme toujours avec cette auteur magnifique, et la trame très prenante. C'est bien évidemment dramatique, mais particulièrement prenant et sensible. Bref, une BD exemplaire dans sa narration et son dessin. Et il n'y a pas besoin une femme ou d'être hyper sensible pour en apprécier ses qualités.
Attention, eau de rose ! Bon, je vous préviens, je n’ai jamais apprécié Candy. Je trouvais ça gnangnan. Je n’étais pas une fille, il faut dire. Même maintenant, je n’en suis toujours pas une. Alors du coup, je trouve « Georgie » gnangnan. Chevauchées dans la nature foisonnante, petites fleurs quand un moment de grâce se produit, amours impossibles, prince charmant, secrets familiaux… Ce que c’est romantiiiiique ! Et pas trop chiant, contrairement à ce qu’on pourrait croire. Bon, d’accord, la Georgie, j’ai envie de la baffer depuis le début du bouquin. Ses frères sont des neuneus incapables d’assumer leurs sentiments, et le prince devrait se faire répudier assez vite. Le lecteur lambda ne peut que s’amuser à la lecture de cette série, à réserver à ceux qui ont l’esprit fleur-bleue.
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