Quick et Flupke

Note: 2.56/5
(2.56/5 pour 36 avis)

Quick et Flupke sont deux copains qui n'aiment pas l'école et qui font des bêtises pour s'occuper.


Albums jeunesse : 6 à 10 ans Bruxelles - Brussels Ecole Estienne Paris Journal Tintin Ligne Claire

Quick et Flupke sont deux copains qui n'aiment pas l'école et qui font des bêtises pour s'occuper. Ba plus ils s'embettent, plus ils font des trucs bêtes mais drôles... pis à la fin ça se termine toujourrs par des bobos ou des punitions...

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 1949
Statut histoire Strips - gags 12 tomes parus

Couverture de la série Quick et Flupke © Casterman 1949
Les notes
Note: 2.56/5
(2.56/5 pour 36 avis)
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09/01/2002 | Lucky Luke
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Par JC
Note: 5/5 Coups de coeur expiré

Je ne comprends pas les mauvaises revues. Je trouve qu'il y a pas mal de messages cachés dans cette bande dessinée. Il y a le concept du meneur, suiveur, la relation parents enfants, l’incompréhension entre enfants et adultes, l'opposition avec la police. Pour moi tous ces concepts sont encore d’actualité. Bien sûr les voitures sont datées. Et alors ? Je trouve même intéressant de voir les liens avec l’époque actuelle.

23/04/2020 (modifier)
Par sloane
Note: 2/5
L'avatar du posteur sloane

Le problème des bandes humoristiques qui mettent en scène des enfants c'est qu'elles ancrent dans une époque des faits, des agissements qui dix ans plus tard sont totalement obsolètes. Alors pensez donc une bande des années 30! Les gags ne fonctionnent pas ou plus, nous sommes atterrés par les "bêtises" de ces jeunes gens. Dans un contexte belge particulier avec des codes qui nous échappent, il est très difficile aujourd'hui de s'enflammer pour ces histoire potaches qui ne se déparent jamais d'un côté très correct. Cette bande est typique d'une époque et d'un grand auteur, mais n'est pourtant pas indispensable.

16/11/2014 (modifier)
L'avatar du posteur Noirdésir

Je me rappelle avoir lu les albums en bibliothèque lorsque j’étais enfant, en parallèle des « Tintin », mais je n’en avais pas gardé trop de souvenirs (comme pour ceux de Jo, Zette et Jocko d’ailleurs). Je viens d’en relire deux récemment, et je comprends pourquoi j’avais oublié cette lecture. En effet, si les mômes sont de sympathiques (quoi que) garnements, je suis hermétique à cet humour quand même pas mal daté. Et je me demande si aujourd’hui il se trouve encore des amateurs pour ces aventures ? Le manque d'intérêt que j'y trouve n'est pas seulement une question de génération je pense. En tout cas, si vous n’êtes pas fanatique d’Hergé, vous pouvez vous abstenir de cette lecture. Quant à l’achat…

05/05/2014 (modifier)
Par Tomeke
Note: 2/5

Comme beaucoup d'autres lecteurs, j'ai encore quelques albums de mon enfance. Je pense que cette série fût mes premiers pas dans la découverte de la BD. Et cela en est resté à ce stade car rapidement, je suis passé à autre chose. J'ai essayé voici quelques temps de relire quelques gags et franchement, c'est assez nul. C'est complètement plat et je ne pense pas qu'un jeune lecteur puisse de nos jours y trouver son compte… N'essayez pas de comparer cette série avec Kid Paddle par exemple. À l'époque (oh, le pseudo vieux con!), cela pouvait passer, à petite dose. Aujourd'hui, c'est dépassé, tout simplement. Reste que cela évoque encore chez moi quelques souvenirs...

29/12/2013 (modifier)
L'avatar du posteur Agecanonix

Ces 2 gamins bruxellois naissent en 1930 dans le Petit Vingtième sous forme de gags, un an après Tintin dans ce même journal, et son abandonnés par Hergé en 1940. A travers ces 2 "ketjes" du quartier populaire des Marolles à Bruxelles, Hergé se souvient de son enfance avec nostalgie, une époque à jamais révolue où il met beaucoup de lui-même et porte un regard sur le monde adulte tel qu'il est perçu par les enfants. Ces gags sont constitués par les facéties de ces 2 galopins bien sympathiques et farceurs, mais jamais méchants. En cela, ils sont loin de l'humour cruel des garnements de Pim Pam Poum. Leur champ d'action se limite à leur quartier où ils sont souvent confrontés à l'agent 15 dont le physique est proche de celui des Dupondt. Hergé se sent plus libre que dans Tintin, le trait est Ligne Claire, plaisant à regarder mais moins travaillé, et l'humour plus enfantin aussi. L'ennui, c'est que c'est un humour terriblement daté aujourd'hui ; de plus, les exploits de ces gamins très bricoleurs se situent dans un contexte typiquement belge, avec des allusions qui échappent parfois aux Français, d'où l'audience moyenne qu'ils ont eu en France après la guerre, et même en 1955 dans le journal Tintin lors de reprises. C'est pourquoi avec pourtant tout le respect et l'intérêt que je porte à l'oeuvre d'Hergé, je ne peux pas mettre une note plus favorable à cette bande qui reste cependant une de ses meilleures créations.

01/08/2013 (modifier)
Par Seb94
Note: 2/5

J’ai souvenir que des albums de Quick et Flupke m’avaient été offert dans mon enfance. Même si ces histoires courtes se laissaient lire, elles étaient loin d’arriver à la hauteur des « Astérix », « Tintin », « Les Schtroumpfs » et autres grands classiques intemporels, que je pouvais lire et relire sans jamais me lasser. « Quick et Flupke » semble vraiment datée aujourd’hui et je pense qu’elle fait partie des séries qui vieillissent mal. Même si les petites aventures de ces deux gentils chenapans qui font tourner en bourrique l’agent de police sont plutôt mignonnes, il faut reconnaitre que les gags tombent souvent à plat. Le ressenti actuel est une série un peu mou du genou, qui manque de piquant et de caractère.

09/11/2012 (modifier)
Par zébu
Note: 2/5

Après la lecture de 6 tomes. Commençons par les dessins : du pur style Hergé, tout est dit. Au niveau scénario ça se complique car nous voici devant le type même de la BD qui a très mal vieilli. La série se veut humoristique avec ses histoires courtes en forme de calembours le plus souvent écrites sur une page. Le problème réside dans le fait que l'on ne rit pas une seconde, tout juste un petit sourire sur quelques rares gags. Alors, à quoi peut bien servir une série dite "humoristique" qui ne fait pas rire, à part à rapporter de l'argent ? Et bien si vous connaissez la réponse faites moi signe. En plus la cible principale visée est incontestablement la jeunesse et je vois mal un enfant d'aujoud'hui devenir accro à cette série ou tout bonnement s'y intéresser. Rien que les couvertures des différents albums risquent d'en faire fuir plus d'un. Bref, une série qui ne mérite pas plus qu'un 2/5 (et encore en étant gentil) et qui ne plaira qu'aux nostalgiques d'une lointaine époque maintenant révolue.

02/12/2011 (modifier)
L'avatar du posteur Michelmichel

Déjà quand j'étais petit, Quick et Flupke ne me faisait pas rire...et pourtant, Dieu sait si j'étais prêt à être indulgent avec Hergé, que j'adulais tant pour avoir créé mon premier héros, le célèbre Tintin ! L'ambiance est sympathique, enfantine, mais rien à faire, les gags sont tout simplement plats, même le simple sourire n'est pas assez au rendez-vous à mon goût. (56)

25/08/2011 (modifier)
Par js
Note: 4/5

Une vieille série qui, je crois, ne me lassera pas ! Quick et Flupke est hélas une série qui ne peut plus séduire les jeunes lecteurs car tout est vraiment trop démodé ! Les gags me font toujours rire ; c'est un style simple, gentil, avec un dessin soigné et expressif qui va bien ! Une BD à lire par curiosité ou par nostalgie !

26/04/2011 (modifier)
L'avatar du posteur Mac Arthur

C’était au temps où Bruxelles rêvait, c’était au temps du cinéma muet, C’était au temps où Bruxelles chantait, c’était au temps où Bruxelles bruxellait. Place de Broukère on voyait des vitrines Avec des hommes des femmes en crinoline Place de Broukère on voyait l'omnibus Avec des femmes des messieurs en gibus Et sur l'impériale Le cœur dans les étoiles Y avait mon grand-père Y avait ma grand-mère Il était militaire Elle était fonctionnaire Il pensait pas elle pensait rien Et on voudrait qu'je sois malin (j’écris bien, hein, quand même …) Et oui, Quick et Flupke datent de cette époque que le grand Jacques Brel décrit si gaiement dans une célèbre chanson. Mon grand-père adorait ces personnages, espiègles, moqueurs, frondeurs, inventifs. De vrais kets, symboles du quartier des Marolles, un quartier populaire (pour ne pas dire pauvre) de Bruxelles, et réputé pour son esprit frondeur et indépendant. Ceci étant, personnellement, je ne peux pas dire que les deux personnages m’aient fait souvent rire. Ils datent d’une époque dépassée, leurs gags sont très naïfs et fréquemment du niveau « peau de banane ». Pour le dessin, Hergé (et ses collaborateurs) officie dans une ligne claire qui deviendra de plus en plus aboutie au fil du temps. Il est cependant manifeste que la série est produite à la chaine, et les planches ne bénéficieront jamais du soin le plus maniaque. Cette ligne claire est cependant agréable à regarder (surtout pour les épisodes datant de la seconde moitié des années ’50, soit après les balbutiements du début et avant le trait mécanique de la suite). Restent trois personnages, Quick, Flupke et l’agent 15, symboles d’une certaine époque et d’une certaine Belgique. De vilains garnements plus espiègles que méchants et un agent de police plus compréhensif que répressif. Ces trois personnages sont, à notre époque, totalement anachroniques, et (de ce fait, sans doute) finalement jubilatoires (je parle bien des personnages et non de leurs aventures). Une cote objective de 2/5, malgré les bons souvenirs que je garde de mes premières lectures (j’étais alors encore fort jeune et naïf), mais la série ne conviendra plus au jeune lecteur actuel. … Et on voudrait qu'j'aie le moral C'était au temps où Bruxelles rêvait C'était au temps du cinéma muet C'était au temps où Bruxelles chantait C'était au temps où Bruxelles bruxellait …

16/09/2009 (modifier)