Modeste et Pompon

Note: 3.07/5
(3.07/5 pour 27 avis)

Modeste et Pompon sont deux amis.


Franquin Goscinny Greg Journal Tintin Les chieurs

Il y a aussi Félix, qui tente toujours de vendre tout et n'importe quoi à Modeste, le voisin : prototype du gros chieur pas méchant et les 3 neveux...

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Octobre 1958
Statut histoire Strips - gags 8 tomes parus

Couverture de la série Modeste et Pompon © Le Lombard/Himalaya 1958
Les notes
Note: 3.07/5
(3.07/5 pour 27 avis)
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09/01/2002 | toce
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Par Charly
Note: 2/5
L'avatar du posteur Charly

En lisant Modeste et Pompon, je n'ai pas ressenti de lien fort avec les personnages. Ils m'ont paru assez stéréotypés et peu développés, ce qui a rendu ma lecture plutôt détachée. Les gags, bien que parfois amusants, m'ont semblé répétitifs et datés. L'humour n'a pas vraiment réussi à me faire sourire, et j'ai trouvé que cela manquait de fraîcheur et de dynamisme. Le style graphique ne m'a pas particulièrement marqué. Les illustrations étaient correctes mais sans la finesse et l'expressivité que j'apprécie habituellement dans une bande dessinée. Globalement, cette lecture ne m'a pas laissé un souvenir impérissable. Je n'ai pas été touché par l'histoire ou les personnages, et je ne me vois pas relire cette BD pour le plaisir.

25/06/2024 (modifier)
L'avatar du posteur bamiléké

"Modeste et Pompon" sont-ils les enfants adultérins et peu appréciés de Franquin? La série produite lors de l'escapade de Franquin chez Tintin a pourtant beaucoup de qualités, à mon avis. Je viens de terminer l'intégrale des 183 planches de Franquin complétée par les cinq articles qui décortiquent la genèse et les atouts de la série. C'est un excellent ouvrage, à la fois de BD , d'histoire de la BD et de son intérêt sur la vision d'un moment charnière de notre société. Tout d'abord je renvoie à l'excellent avis de Agecanonix sur les éléments purement gags et graphismes de la série. Monsieur Harcq,alors comptable chez Dupuis et futur Ducrin et futur Boulier, en agissant mesquinement de telle sorte que Franquin excédé signe chez Tintin a-t-il rendu involontairement service à l'histoire de la BD? Peut-être. Modeste préfigure le personnage familial qui va éclore la décénie suivante. Vite considéré comme un fardeau par Franquin, Modeste ne développe pas des qualités extraordinaires. Ni aventurier, ni charmeur, ni engagé il est le stéréotype de la middle-class petite bourgeoise confortablement installée dans son pavillon de banlieue. Son couple avec Pompon, pourtant très séduisante avec ses soquettes, est le plus platonique et le plus sage que je connaisse dans l'univers de la BD - lecture et TV à bonne distance l'un de l'autre, seules quelques promenades installent un peu de romantisme sans oublier le bébé qui apparait en fin de cycle- Franquin ira même jusqu'à pendre Modeste lors d'un safari photo dans la forêt. Alors quoi! " C'est le détail esthétique qui rehausse le schéma sommaire de la vie quotidienne!" dit Modeste en nettoyant sa chaudière. C'est à une aspiration au beau et à la modernité réfléchie auxquelles nous invite Franquin. Ses vases, peintures,sculptures, meubles ou élégances vestimentaires sont pourtant à défendre contre l'inculture de Felix,le sans-gène de Dubruit ou l'irascibilité de Ducrin. Une autre remarque pour finir, chez Tintin Franquin a découvert une autre ambiance de travail qui lui convenait beaucoup moins que la camaraderie qu'il connaissait chez Spirou. Peut être une prise de conscience de la valeur de cette ambiance chaude et amicale que l'on retrouvera chez "Gaston". Comme toutes les oeuvres des grands maîtres, celles qui semblent mineures ont toujours beaucoup de choses à nous apprendre.

05/03/2022 (modifier)
Par Titanick
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
L'avatar du posteur Titanick

Je ne peux nier que l'effet nostalgie de mes jeunes années journal Tintin est pour une part dans mon appréciation de la série. Et il y a deux difficultés pour que j'exprime mon avis sur Modeste et Pompon : les reprises par d'autres auteurs qui, du coup, rendent la série inégale et, même en se concentrant sur la période Franquin, la tentation de la juger à l'aune de ce parangon d'humour qu'est Gaston. Essayons quand même, bien que, même si j'en ai lu beaucoup dans la revue et que je possède pas mal d'albums, je ne crois pas connaître l'intégralité des gags. Par où commencer ? Il s'agit d'un presque « family strip », mais Modeste et Pompon ne vivent pas ensemble, rien ne permet de supposer qu'ils se « fréquentent » comme on disait à l'époque (c'est dans un journal de jeunes, voyons !) mais sont adultes et vivent chacun chez soi dans le même quartier, plutôt pavillonnaire (la banlieue de Bruxelles ?). Pompon est quand même bien souvent chez Modeste dont l'intérieur délicieusement typé seventies est le théâtre principal des opérations. Dès les premiers albums, on reconnaît les qualités que Franquin sait insuffler à cette série. Pour commencer un dessin expressif au possible, une petite merveille de dessin parfaitement adapté à une série d'humour. La galerie de personnages est variée à souhait et s'étoffe au fil du temps. Les gags se concentrent au début surtout sur le couple éponyme et le personnage délirant, bien qu'un peu râleur et surtout satisfait de sa personne, est Modeste lui-même. Mais rapidement le troisième comparse Félix apparaît et devient le trublion de la troupe, préfigurant Gaston. Les trois neveux, l'oncle Symphorien, les voisins Ducrin (ersatz de Lefuneste) et Dubruit ( modèle Séraphin Lampion) viennent enrichir ce petit monde de leurs personnalités bien trempées. Les gags sont à la fois variés et répétitifs, comme sait les fabriquer Franquin, et qu'il fera si bien dans sa série principale. Variés car en plus de son imagination débordante, quelques autres viendront lui prêter main forte, et non des moindres, Greg et Goscinny pour les voisins par exemple, excusez du peu ! Et répétitifs : à l'instar du gaffophone ou des contrats de Demesmaeker, il y aura le coq Jules, l'agent de police, les facéties des enfants, … et surtout les trouvailles diverses et variées de Félix. Ça, vous l'aurez compris, c'était pour la période Franquin. Après, je trouve qu'Attanasio s'en sort franchement bien : l'esprit de la série est conservé, le graphisme reste nerveux, chapeau. J'ai aussi deux albums de la période plus récente de Walli et Bom. Et là, on perd beaucoup à mon goût. L'inventivité n'est plus tout à fait là et les auteurs ont essayé de « rajeunir » la série. Le décor change un peu, mais surtout Pompon a dû troquer sa délicieuse robe vintage et chaussettes en tire-bouchon pour des jeans baskets, et elle perd ses pompons dans les cheveux. Je l'aimais bien moi Pompon, avant. Mine de rien, si elle était l'élément modérateur, elle avait quand même son petit caractère et savait remettre son monde à sa place. Là, c'est bête hein, mais c'est plus vraiment pareil, snif. Bon, … vous ai-je dit que j'aimais bien Modeste et Pompon ? Je viens de relire toute ma collection d'un coup. J'aime bien, presque autant que Gaston. Enfin pas tout à fait, mais presque presque autant.

22/09/2021 (modifier)
Par Josq
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
L'avatar du posteur Josq

Difficile de savoir ce qu'on évalue, quand on doit attribuer une note à Modeste et Pompon : est-ce qu'on doit mettre une note à toute la saga, ou est-ce qu'en fait, on ne note que la période Franquin, la principale et sans doute celle que tout le monde a lu sans forcément aller plus loin ? Pour ma part, même si j'ai lu un peu la période Attanasio et quelques gags de Godard, c'est très essentiellement à la période Franquin que j'attribue cette note, ne connaissant pas assez la suite pour savoir ce que j'en pense vraiment. Il faut dire que cette ère se suffit à elle-même, tant le futur créateur de Gaston Lagaffe y démontre déjà toute l'étendue de son talent comique. Comme on l'a déjà beaucoup dit avant moi, Modeste et Pompon incarne le stéréotype même de la bande dessinée comique des années 50-60. On y trouve tous les ingrédients des classiques de l'époque, de Boule et Bill à Achille Talon : un couple principal, lui impulsif et facilement sujet à la colère, elle spectatrice attendrie et amusée des déboires de son compagnon ; trois petits garçons qui ne ratent pas une occasion de faire un mauvais coup ; un voisin envahissant et un ami représentant de commerce qui se croit tout permis. Bref, de quoi faire un sacré cocktail ! Et de fait, Modeste et Pompon est un régal de tous les instants, en tous cas sous le règne de Franquin (auquel un certain Greg et un certain Goscinny viennent parfois prêter main forte). Les gags suscitent chez moi, presque à chaque page, une irrépressible hilarité, tant la chute parvient à être originale et assez souvent surprenante (certes pas toujours). Certes, on peut trouver que les personnages ne sont pas des plus attachants, mais je trouve que ça n'est pas le plus important pour une BD qui repose sur des gags d'une page. En revanche, l'alchimie entre tous ces personnages fonctionne à merveille, et crée des situations comiques imparables. Témoin d'une époque, Modeste et Pompon survit tout de même bien à son âge, et n'a pas vieilli comme d'autres séries des années 50 peuvent l'avoir fait. Elle tient toujours la route grâce au talent comique de Franquin, qui rôde évidemment ici les codes qu'il réemploiera par la suite dans son oeuvre phare, le cultissime Gaston Lagaffe. Mais pour autant, ce serait une erreur de juger Modeste et Pompon à l'ombre de Gaston Lagaffe, car même si, bien sûr, la saga est un (petit) cran en-dessous, elle développe quand même sa propre personnalité et son propre ton qui en font, non pas un brouillon de la plus grande saga de Franquin, mais une petite pépite tout-à-fait indépendante, qui se goûte pour ce qu'elle est : une série humoristique légère et bon enfant, qui atteint son but à merveille. Détendre et faire rire.

17/06/2020 (modifier)
Par sloane
Note: 3/5
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Si j'avais dû aviser cette série il y a quelques années nul doute que j'aurais mis une note supérieure, mais le temps a passé et il faut bien avouer qu'à la relecture tout cela est un peu désuet. Franquin, notamment dans Gaston, atteindra un sommet dans l'art du gag hilarant. Une bande sympa mais dont je doute qu'elle puisse avoir un écho chez les jeunes lecteurs d'aujourd'hui. Pour autant elle n'est pas à négliger et en posséder un exemplaire ou deux dans sa bibliothèque n'est pas idiot.

29/03/2015 (modifier)
Par pasukare
Note: 3/5
L'avatar du posteur pasukare

"Modeste et Pompon", j'ai lu ça quand j'étais jeune (il y a longtemps quoi...) et ma foi, j'aimais bien ça ! Le style graphique de Franquin reste toujours efficace, avec le souci du détail et un talent incontestable pour croquer des attitudes ou une situation particulière. Côté humour, comme toujours il y avait des des hauts et des bas avec un petit côté Gaston Lagaffe / Spirou et Fantasio pas déplaisant tout de même. Si un tome me retombait sous la main, j'y jetterai certainement un oeil par nostalgie, mais si je devais choisir une série à relire, ce serait plus certainement Gaston Lagaffe.

05/02/2015 (modifier)
L'avatar du posteur Michelmichel

Je n'ai jamais adhéré à cette série...même plus jeune et alors sans doute moins exigeant, je la trouvais poussive, mollassonne, bref, pas drôle. A l'heure actuelle, c'est encore pire, les gags sont vraiment d'un niveau bien en dessous de ceux auxquels Franquin nous avait habitué dans Gaston Lagaffe, ou Spirou et Fantasio. Même le dessin est moins bon dans cette série, beaucoup moins recherché et détaillé de mon point de vue. Enfin, les personnages ne sont pas attachants pour un sou, difficile donc pour cette série de rivaliser avec les autres monstres pondus par leur auteur... (251)

16/08/2013 (modifier)
L'avatar du posteur Agecanonix

J'ai bien souvent ri avec cette charmante série de gags parfois dévastateurs qui annoncent ceux de Gaston Lagaffe, mais je l'ai découverte sous le crayon de Dino Attanasio, qui avec la période Franquin reste la meilleure ; celle de Franquin, je l'ai lue alors que j'étais déja plus âgé, et je ne la trouve pas si exceptionnelle que ça. D'abord graphiquement, elle était très moyenne, et il suffit de se rappeler les premières apparitions de Gaston qui elles aussi n'étaient pas au point, car n'oublions pas que "Modeste et Pompon" a été créée 2 ans avant. Le mérite de Franquin est d'avoir mis en place un univers qu'il a ensuite transmis à Attanasio. Cet univers lui a permis d'essayer des idées et des gimmicks qui lui serviront ensuite pour Gaston. Modeste et son ami Félix forment une fois de plus un duo dissemblable comme il y en a tant dans la BD, et qui sont en fait, les vrais héros de la bande, Pompon n'apparaissant qu'épisodiquement. 1ème idée à roder : Modeste est un employé de bureau, dont le directeur Mr Rugisson ressemble beaucoup au De Mesmaeker de Gaston (un type sérieux qui ne rit jamais). 2ème idée à roder : Modeste vit (ou plutôt pourrait vivre) paisiblement dans un petit pavillon de banlieue bien propret entouré d'un jardinet mitoyen avec celui de l'irascible Ducrin ; on a là le thème du voisin pénible qui sera exploité dans Achille Talon ou Marc Lebut et son voisin, mais ici, Ducrin est un petit vieux amer, rabougri et d'une méchanceté déprimante qui fait penser à ces ronds de cuir besogneux des administrations d'antan. 3ème idée à roder : les neveux de Modeste qui viennent troubler de leur espièglerie la tranquillité de Modeste ; ils seront remplacés chez Gaston par une ménagerie instable. 4ème idée à roder : il y a aussi un agent de police étrangement vêtu d'un uniforme à l'américaine ; une idée à creuser pour créer Lontarin chez Gaston. 5ème idée à roder : Pompon a un rôle secondaire, comparable à celui de M'oiselle Jeanne 6 ème idée à roder, et non la moindre : Félix qui s'apparente à Prunelle, sauf que les rôles seront inversés dans Gaston (le calme et gaffeur Gaston est suggéré par Félix, le vindicatif Prunelle est suggéré par Modeste). Mais Modeste n'est pas si méchant que ça, il est victime d'un prototype de casse-pied infernal aussi crispant que peut l'être le Séraphin Lampion de "Tintin" ; il est harcelé par Félix qui tente de lui fourguer des produits de mauvaise qualité qui générent des catastrophes. C'est bien-sûr cette opposition qui est la plupart du temps source de gags, bien que Franquin se concentre plus sur le couple Modeste/Pompon, où Félix est souvent absent. En 1961, Attanasio prend le relais et s'en sort fort bien en continuant dans la même veine, en utilisant certains rouages mis en place par Franquin, mais en concentrant les gags plutôt sur les 2 compères Modeste/Félix, et en offrant également comme l'a fait son prédécesseur une vision du design des années 50-60, surtout flagrante dans le mobilier. Graphiquement, il prouve qu'il est vraiment à l'aise dans la bande humoristique, son dessin est enlevé et bien mieux que dans ses bandes réalistes ; n'oublions pas qu'il a aussi crée Spaghetti. La plupart des gags, publiés généralement en dos de couverture du journal Tintin, étaient écrits par Lucien Meys ; je me souviens que c'était la première bande que je lisais avant d'ouvrir le journal. La série aurait pu perdre de sa qualité lorsqu'en 1968, elle arrive sous le crayon de Mitteï, mais elle connaît encore de bons moments, avec l'aide de Foal pour les décors et de Godard sur certains gags. Mais pour moi, ça n'a plus la même saveur, car on sent que Mitteï était plus à l'aise avec ses propres créations comme L'Indésirable Désiré. Après 1975, la bande est reprise par d'autres dessinateurs, elle s'étiole et c'en est fini. Voici donc une Bd qui se rapproche du family-strip bien qu'il s'agisse d'une fausse famille, et qui figure parmi les meilleures séries humoristiques du journal Tintin, à condition d'accepter le fait qu'elle est représentative d'une époque, celle des années 50 et 60. Mais aujourd'hui, elle n'est peut-être pas assez "mordante" pour les générations nouvelles. A tester donc pour les non-convaincus.

09/07/2013 (modifier)
L'avatar du posteur Noirdésir

C’est vrai qu’il y a un peu de Fantasio ou du Gaston dans ces personnages. Franquin n’avait pas coupé les ponts avec son univers de chez Dupuis. On y voit aussi quelques voitures sportives comme il adorait en dessiner pour Spirou et Fantasio ou pour le Journal de Spirou. Greg participant à l’aventure, il y a aussi un peu insufflé un air d’ Achille Talon. C’est globalement sympa, parfois drôle. Mais pas toujours, et pas suffisamment pour que je m’enthousiasme pour ce qui est à mes yeux une œuvre mineure du grand Franquin. On y reconnaît tout de même son coup de crayon, déjà très bon ! Au niveau du scénario, ça a moins bien vieilli que l’humour doux dingue de Gaston Lagaffe ou de Spirou et Fantasio par exemple, et les personnages ont souvent une personnalité terne, fadasse (Pompon est ici représentative de la vision de la femme à l’époque, et particulièrement dans la bande dessinée des années 50-60 !). A lire quand même. En tout cas les albums dirigés par Franquin (je suis moins curieux de ceux d’Attanasio, que je n’ai pas lus). Et puis vite passer à Spirou ou Gaston, ce qui nous ôte tout regret concernant l’abandon de cette série par Franquin.

06/01/2013 (modifier)
Par Erik
Note: 3/5
L'avatar du posteur Erik

Une série des années 50 qui préfigurait le personnage de Gaston Lagaffe. Encore une fois, les gags sont sympas et très gentillets pour le contexte de l'époque. Aujourd'hui, c'est un peu dépassé mais les nostalgiques de Franquin s'y retrouveront aisément. Il en faut pour tout les goûts. J'avoue que ce n'est pas mon genre de lecture. Il est d'ailleurs à remarquer que le personnage féminin de Pompon est un peu insipide, naïve et obéissante dans le style des femmes des années 50 avant la libération des moeurs. Fort heureusement, l'image de la femme a changé. Cette série bon enfant a perdu de sa fraîcheur. Les reprises par la suite par différents auteurs auront fini par achever totalement celle-ci.

14/10/2012 (modifier)