Laïyna
Laiyna, fille de serfs, trop tôt orpheline, est recueillie par le peuple de féérie, puis élevée selon les rites magiques des percepteurs elfiques.
Aire Libre Journal Spirou
La bête, qui l'avait sauvée des soudards de Vurthe, maître de la forteresse de pierre, veille sur la sauvageonne. Dès lors, la paix règne au profond des domaines enchantés. Jusqu'à ce que la folie guerrière des hommes ne vienne bousculer l'harmonie du légendaire elfique, jusqu'à ce que les charmes se tarissent et que le crépuscule des elfes se fasse nuit.
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| Date de parution | Janvier 1987 |
| Statut histoire | Série terminée 2 tomes parus |
Les avis
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Coups de coeur (1)
Je vais "essayer", je dis bien "essayer" de donner un avis constructif pas "méchant". Vais-je seulement y arriver car il faut que je sois honnête. Il n'y a rien à faire : je n'aime pas le style "Hausman" même en collaboration avec l'excellent scénariste Pierre Dubois, le maître incontesté de la littérature sur les Lutins. Pardon de le dire mais cette histoire est totalement décousue, soulignant un parfum désuet complètement disparu de la BD moderne. A aucun moment, je n'ai été touché par la grâce et la magie voulue de cet univers elfique, moi qui suis un grand fan du "Seigneur des Anneaux" ou de la Légendes des Contrées Oubliées. Un grand vide scénaristique, un mode narratif ennuyeux, un graphisme totalement décevant expliquent les raisons de mon mécontentement. Laiyna ?... Mais où es-tu ? :?)
Que c'est laid !!! Et en plus on s'ennuie. C'est très début des années 80 / fin 70. Le dessin est plus proche de l'illustration des livres des contes de Grimm que de la BD. Il est vraiment bizarre. Les personnages sont grands et élancés puis deviennent tout petits. Bref ce n'est pas agréable à regarder. L'histoire est terne et sans vie. Il n'y a pas d'humour, tout est trop sérieux. Cette BD aurait plu à ma mère il y a 30 ans.
C’est un peu vide comme BD... Le thème est archi banal (même si à l'époque, fin des 80's, c'est original) et on a l'impression que c'est très peu fouillé, fait un peu vite. Le scenar semble pas abouti. Et le mode narratif est vraiment ennuyeux. Il y a peu de dialogues, tout est expliqué. On a presque l'impression que les dessins ne font qu'illustrer le texte, mais ne participes pas à l'action... Niveau dessin, c'est du Hausman, donc pas sublime, mais rien de racoleur, rien de laid, rien de trop, mais rien de génial. En fait, cette BD a mal vieillie je pense. Loin d'être indispensable...
« Ce que je retiens de l’époque du Trombone Illustré, c'est la rencontre avec des dessinateurs français géniaux : Alexis, Loup et surtout Gotlib. Sinon, une ambiance inoubliable avec ce cher Delporte. »
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