Jazz Maynard
Diagonale 2010 : prix du meilleur album étranger. Barcelone de nos jours. Jazz Maynard et son ami Teo sont ligotés sur des chaises, dans une pièce sordide. Ils ne savent pas pourquoi ni qui les détient.
Auteurs espagnols Barcelone Espagne Prix Diagonale/Victor-Rossel Séries peut-être abandonnées
Barcelone de nos jours. Jazz Maynard et son ami Teo sont ligotés sur des chaises, dans une pièce sordide. Ils ne savent pas pourquoi ni qui les détient. Mais Jazz sort à peine d’une aventure dangereuse. Trois jours plus tôt, à New York, sa soeur, qu’il n’avait plus vue depuis dix ans, lui a fait parvenir une lettre désespérée, un appel au secours, et Jazz n’a pas hésité à pénétrer dans le repaire d’une bande de mafieux pour libérer Laura de ses proxénètes… .
Scénario | |
Dessin | |
Couleurs | |
Traduction | |
Editeur
|
|
Genre
/
Public
/
Type
|
|
Date de parution | 15 Juin 2007 |
Statut histoire |
Série en cours
(Trilogie + One-shot + Diptyque)
7 tomes parus
Dernière parution :
Plus de 3 ans
|
Les avis
Je poste mon avis après avoir lu le premier triptyque, et le one-shot qui l’a suivi. C’est une série sympathique, qui se laisse lire agréablement, c’est très rythmé (en tout cas il y a pas mal de castagne !), mais je ne l’ai pas trouvée aussi extraordinaire que la majorité des lecteurs précédents, je me contenterai de trois étoiles. Si l’intrigue est rythmée, elle est aussi assez classique sur le premier triptyque. J’ai bien aimé le rendu de certains quartiers de Barcelone, la colorisation (qui manque de nuance hélas, mais qui est agréable), mais moins certains visages, certains corps bodybuildés, à croire que Barcelone est remplie d’armoires à glace. Les nombreuses (trop nombreuses !) scène de castagnes sont bordéliques. Mais ça se laisse lire. Concernant le one-shot suivant, si la colorisation est toujours aussi agréable (même si pas assez nuancée à mon goût), j’ai trouvé le dessin meilleur. Par contre c’est un peu plus mollasson, l’action met du temps à démarrer (il y a donc moins de violence, même si ça se déchaine vers la fin). Au final, une série polar inégale, avec des qualités, mais aussi des défauts. Les scènes de baston s’étirent trop et son mal rendues, et il y a quelques facilités un peu grossières, Jazz arrivant à mains nues à dézinguer une dizaine de gros bras surarmés (et lorsqu’il a un flingue, il en descend des douzaines, avec quelques égratignures quand même…). Une lecture d’emprunt, mais ne m’a pas marqué plus que ça.
Voila un récit qui ne fait pas dans la linéarité, j'ai rien contre mais j'aime aussi un peu comprendre de quoi il retourne et j'avoue avoir été largué à de nombreuses reprises. Ou se déroule l'action ? Qui est qui ? Ah oui merde c'est un flashback mais différent de celui d'avant. Pfiou. Je ne reviendrais pas sur les poitrines de ces dames, plantureuses c'est le mot non ? Bon le dessin n'est pas mauvais, la colorisation ne me gêne pas, c'est vraiment le scénario par trop complexe qui a plombé ma lecture. Ensemble trop foutraque quand aux influences Tarantino mouais...
2.5 Je fais partie de ceux qui croyaient que cette série parlait de la vie d'un fan de jazzman et donc j'étais bien surpris de voir que c'était une série d'action. J'ai bien aimé le scénario quoique vers la fin je trouvais que c'était un peu long. Il semblerait qu'il y a un nombre limite de scènes d'actions que je peux lire d'un coup avant que cela m'ennuie. Le scénario n'est pas mauvais, mais il manque quelque chose pour que j'accroche. Cela manque un peu d'originalité et j'ai vu qu'on parlait de Tarantino dans certains avis. J'ai pas vu la plupart de ses films, mais personnellement je préfère 100 fois Pulp Fiction à ce truc. Le dessin est bon quoique je n'aime pas trop les couleurs.
Je n'ai pas simplement aimé Jazz Maynard ; j'ai véritablement adoré ! Au début, on ne sait pas quelle direction va prendre cette histoire entre vengeance, prostitution et vol en haute voltige. Il y a une réelle fluidité du scénario qu'on n'observe que dans les grandes bandes dessinées. Chapeau pour une telle maîtrise narrative ! Et dire que la couverture ainsi que le titre m'avaient un peu rebuté au début. La scène d'ouverture en flash-back du second tome est d'anthologie. Ce second tome arrive à placer la barre encore plus haute que le premier volume déjà excellent. Quelques défauts cependant mais au niveau du dessin : le visage de Jazz est réellement rachitique. Ceux des méchants sont presque dignes d'un film d'horreur genre Frankenstein. On se demande si ce n'est pas fait exprès. Globalement, j'ai bien aimé ce trait particulier qui s'accommode à merveille aux les scènes d'action. La colorisation est d'ailleurs très séduisante... Ah, cette ville de Barcelone by night ! Je dois cependant modérer quelque peu mon ardeur après la lecture des 3 tomes car au fur et à mesure, cela perdait un petit peu en qualité au niveau scénaristique. Cela devient de la baston loin de l'aspect psychologique qui m'avait séduit au premier abord. Je m'étais résolu à m'arrêter au bout du 3ème tome de ce que je considérais comme une trilogie mais voilà que le 4ème tome semble relancer l'histoire de manière un peu inattendue. Je ne me suis pas réconcilié avec la série qui a perdu un peu de son attrait. Note Dessin: 3/5 - Note Scénario: 3/5 - Note Globale: 3/5
Pour précision, je n'ai lu pour l'instant que les trois premiers tomes, qui forment un triptyque sous-titré "la trilogie barcelonaise". Une trilogie étonnante et détonante, qui se caractérise par une originalité sur le fonds et sur la forme. Originalité que j'ai appréciée. Et pourtant, n'étant pas amateur de violence à tout crin ni de gros flingues inutiles, un premier feuilletage de l'un de ces ouvrages m'avait laissé de marbre. En l'espèce, je suis plutôt heureux de m'être laissé convaincre. Sur la forme, cette série est une très grande surprise. La physionomie des personnages tient de la caricature (à se demander parfois s'ils ont ne serait-ce qu'un gène humain) et les prouesses physiques sont tout aussi peu crédibles. Graphiquement, cela ne ressemble à aucun autre style de ma connaissance (limitée, certes, mais quand même !), et une grande part de mon intérêt est directement issue de cette originalité. Au risque de dire une grosse bêtise, c'est le seul comic franco belge qu'il m'a été donné de découvrir. Comme tout style novateur, cela m'a un peu dérangé au premier coup d'œil, mais ce sentiment s'est bien vite estompé à la lecture : les créateurs de la série ont ainsi réussi à donner une véritable identité à leur production. Au niveau du fonds, je trouve que l'ambiance générale a été particulièrement étudiée pour nous faire partager cette Barcelone très noire, lieu de rendez-vous de toutes les organisations criminelles et mafieuses du globe. C'est très bien fait et que l'on aime ou pas l'histoire, on ne pourra être que surpris par cette atmosphère oppressante, qui nous fait presque oublier la situation géographique de cette histoire. Par ailleurs, le graphisme particulier et cette atmosphère sombre s'accompagnent d'un rythme à couper le souffle. La nervosité du dessin s'allie à un découpage des scènes suffisamment intelligent pour donner des scènes dynamiques. Enfin, j'ai également apprécié le travail sur les regards qui comblent les silences, bien plus éloquents parfois que de longs discours. Tout cela nous plonge dans un univers un peu glauque, dans lequel beaucoup de choses sont non dites, laissant au lecteur la possibilité d'imaginer les plus horribles des scènes. Au niveau du scénario en lui-même, en revanche, l'enchaînement des trois tomes n'est pas toujours fluide : le premier nous permet de faire connaissance avec Jazz et son passé aux USA, le deuxième présente un fait d'armes particulièrement réussi de Jazz, et le troisième donne la conclusion de bon nombre d'éléments introduits ici ou là en filagramme dans les tomes précédents. Malheureusement, je trouve que les liaisons de ces différentes idées sont parfois fragiles, et on ne comprend pas toujours bien les raisons de la présence de tel ou tel personnage à un instant précis. Pour exemples, Jazz et Téo reviennent en début de troisième tome mais leur présence n'était pas absolument nécessaire, Cébés et son acolyte asiatique sont un peu sortis du chapeau, l'histoire de l'enquête journalistique a vraiment du mal trouver sa place, etc. Ainsi, si le scénario présente une vraie richesse grâce à la variété des situations et la diversité des personnages, qui donnent une forte impression de dynamisme, l'ensemble peut sembler parfois confus, notamment dans le troisième tome. A bien y réfléchir, cette histoire de quête d'une pièce, à laquelle est consacré l'un de ces trois tomes, pourra sembler obscure en fin de trilogie. Je pense que le manque de linéarité de l'histoire, ainsi que le manque d'explications en toute fin d'ouvrage, contribuent à cette sensation d'inabouti et de confusion que j'ai ressentie en fermant le dernier de ces trois tomes. Et pourtant, loin d'être frustré, j'ai apprécié cet album. Enfin, Jazz Maynard est un trompettiste de jazz : on ne connaîtra pas grand chose de cette vie qui lui vaut certainement son prénom, et surtout, le côté un peu "jazz" est, à mon avis, sous-exploité dans cette histoire. Je n'y ai pas retrouvé l'ambiance un peu enfumée et feutrée que j'imagine lorsque l'on me parle de ce style. Ayant apprécié les capacités des auteurs à créer des ambiances percutantes, je suis un peu surpris que cet aspect de la personnalité du héros ne soit pas plus mise en en avant. Cette série reste une très bonne lecture, une très bonne surprise, dangereusement originale mais étudiée prudemment.
Avec ce quatrième album One shot ?, le duo d’auteurs espagnols Raule et Roger poursuivent brillamment leurs ascensions dans la série noire. Sur une intrigue simple mais toujours efficace, où le héros souhaite réintégrer le droit chemin, Raule nous propose un polar mafieux surprenant, d'un dynamisme d'enfer et d'une écriture parfaite. Dans l'ambiance des rues chaudes du quartier d'El Raval, à Barcelone, le scénariste nous propose des personnages soignés et plus ou moins attachants. Preuve en est avec le héros Jazz, un jazzman aux talents multiples, mais aussi de deux autres protagonistes tout aussi charismatiques qui se défient, les mafieux Judas et Caligula. Dans ce climat catalan, où la pègre s'affronte et les personnages se croisent, le narrateur n'hésite pas d'une manière fluide et crescendo à épicer son récit de scènes de combat musclé, de suspense et d'émotions remarquables. Le tout nous assure d'ailleurs une fin fabuleuse. De ce qui aurait pu être une série en plusieurs tome, Raule en fait un excellent album plein d’événement et on en redemande encore. Au dessin, Roger assure un trait personnel tonique, d'une parfaite maîtrise et d'une énergie incroyable. Tirant le meilleur parti des styles graphiques du manga et du franco-belge dans de remarquables scènes d'actions. A cela s'ajoutent des cadrages et des perspectives magnifiques. Du grand art !
Jazz Maynard s’est mon gros coup de cœur du moment. Je dois dire que j’ai été bluffé, tout d’abord le scénario est béton. Tout est relativement bien pensé, riche en rebondissement, en flash back, en humour et en péripéties. Ensuite l’ensemble est incroyablement fluide, il faut dire que certains scénaristes auraient pu faire traîner la même histoire sur dix tomes, ici il n’en est pas question. L’histoire avance à toute allure sans nous perdre en chemin. De plus le cadrage est vraiment audacieux. La mise en scène est vraiment appréciable. Nous passons d’un endroit à un autre, d’un personnage à un second, d’une époque à deuxieme différente, le tout d’une façon déconcertante. Il n’y a aucune difficulté à suivre le fil des pensées de notre auteur, cela est terriblement bien fait. D’autre part le dessin auquel j'avais tant de reproches à faire au premier abord sert vraiment de bonne façon cette histoire. Il est différent, il a son propre caractère et fluidifie la lecture. Lecture qui peut s’emballer et se faire à toute vitesse dans les périodes de forte activité de nos protagonistes. Bien sûr on pourra reprocher le coté déjà vu mais pour ma part je trouve qu’il s’en passe des choses dans cette série ! Alors déjà vu, effectivement, mais réunis ensemble pas forcement. En général nous n'avons qu’une des « péripéties annoncées » comme par exemple : le sauveur qui vient délivrer sa sœur qui a été enlevé et prostitué de force . Ce qui pourrait chez un autre scénariste faire une série entière, pour le nôtre, de scénariste, en l’occurrence, Raule, cette même péripétie sert de point de départ auquel vient se greffer : des diamants, des amis truands, une sorte de triade, un maire pourri, un policier qui en veut, un casse, des anciens amours, et la liste n’est pas finie ! Apres cette série espagnole (si je ne me trompe pas…) je me suis immédiatement tourné vers l’autre série hispanique au dessin particulier du moment. J’ai nommé Ken Games et bien tout comme pour Jazz Maynard, j’ai été enchanté ! Pas mal ses espagnoles ! Je me suis procuré le tome 4 de Jazz Maynard. Il présenté comme une histoire à tome unique, or, il me semble, ou du moins j’espère, qu’il s’agit plutôt du premier tome d’un nouveau cycle. Trop de pistes sont commencé, trop d’ébauches de nouvelle péripétie sont engagées, il y a là bon nombre d’interrogations… Ce tome pose encore plus de questions qu’il n’apporte de réponses, ce qui n'est pas mal en soi, bien sûr, mais il va nous falloir nous apporter les réponses. S’il s’agit d’un tome d’introduction pour un nouveau cycle celui ci commence vraiment bien. A contrario s’il s’agit réellement d’un one shot, je trouve ce tome parfaitement inutile… L’achat de ce quatrième tome est donc dispensable en attendant l’année prochaine et la sortie éventuelle d’une suite… (17/20)
J’ai trouvé récemment en occasion le premier tome de Jazz Maynard, ayant en souvenir les critiques très positives lues ici, je me laisse tenté. Après avoir tourné la dernière page de ce tome, je suis plutôt déçu. Il ne manque plus qu’une cape et des collants à Jazz, tellement celui-ci semble être doté de super pouvoirs. C’est avec la plus grande facilité qu’il enchaîne les sauts et les galipettes, semblant posséder tout les qualités du ninja ayant été piqué par une araignée radioactive. Tout cela sans aucune explication rationnelle. Je pourrais également parler de la bande des méchants chauves, ressemblant à des clones bodybuildés, et à l’apparence peu humaine, qui pour ma part frise le ridicule. Ce sont également les nombreuses références à Tarantino (Dont je suis fan) qui m’ont attiré vers cette série. Même si le découpage de l’histoire peut nous y faire penser, n’est pas Tarantino qui veut, et les personnages de cette B.D sont loin d’atteindre la profondeur et le charisme de ceux de Quentin. Même chose pour les dialogues, aucune comparaison ne me semble possible, on est loin des répliques percutantes et de l’humour toujours présents dans les films…Bon, assez parlé de cinéma. Ensuite vient le traitement graphique, même si je dois reconnaître qu’il est original et à sa propre personnalité, il ne m’emballe franchement pas. Je n’aime pas les traits des visages et que dire de la couleur vraiment mocharde et triste. Alors, je sais bien que certains vont me dire que je ne juge que sur une partie de la série, soit un tome sur trois, mais si au 1/3 du récit je ne prends pas de plaisir, je ne vois pas l’intérêt de continuer. De plus, je n’ai plus envie de dépenser un centime pour cette série, d’ailleurs mon premier tome a été revendu illico.
A mon avis, si vous n’aimez pas les films de Quentin Tarentino, vous risquez fort de n’apprécier que très modérément ce Jazz Maynard. Car il faut bien avouer que cette série fonctionne avant tout grâce à son dynamisme jamais pris en défaut, par sa structure en multiples flash-back, et par quelques répliques humoristiques servies au bon moment. Personnellement, j’ai eu du mal avec ces multiples scènes de découpage en tranche (à la Kill Bill), mais j’admets que l’ensemble est très bien réalisé et très efficace, à défaut d’être vraiment original. Peu original, parce que le coup du gangster invincible qui revient se planquer au pays, mais que de vieilles connaissances tentent de réactiver, on me l’a déjà souvent fait. Peu original encore parce que la secte de tueurs/gardes du corps maîtres en maniement du sabre, c’est également du déjà-vu. Peu original toujours, ce politicien véreux (mais y en a-t’il d’autres ?), cette journaliste intègre, ce trio d’amis d’enfance dont l’un s’est éloigné des deux autres pour finir par s’opposer à ceux-ci, ou, enfin, cette jeune fille trop naïve qui rêvait de devenir artiste et qui se retrouve … prostituée (houlala … quelle surprise …) La sauce aurait sans nul doute été indigeste s’il n’y avait eu ce côté « assumé » de la part des auteurs. Tout est cliché, tout est exagéré, tout est prévisible, mais c’est volontaire de la part de Raule (du moins je l’espère) et l’ensemble fonctionne à la manière d’un hommage, d’une parodie (façon Tarantino, on y revient). Graphiquement, plusieurs choses m’auront gêné durant ma lecture. Tout d’abord, les poitrines féminines (surtout au début du récit) sont à la fois extrêmement généreuses et incroyablement laides. J’ai conscience que ce dessin est stylisé, mais tant qu’à faire, Roger aurait pu nous offrir de belles poitrines plutôt que ces espèces de gros traversins coincés sous les t-shirt de ces dames. Ensuite, la colorisation (à nouveau très stylisée) est loin d’être à mon goût tant je la trouve terne. Le brun, j’aime bien mais à faible dose (question de goût personnel, et je sais qu’ici, sur bdthèque, certains adorent cette couleur). Enfin, et en règle générale, je trouve décidemment ce trait trop simplifié, trop épuré. Par contre les cadrages et les perspectives « illogiques » sont très bien réussis. Je reste donc d’un avis mitigé sur la série, mais elle ravira certainement le jeune lectorat actuel (de préférence fan de Tarantino en général et de Kill Bill en particulier). Pas mal dans son genre, ... mais pas ma tasse de thé (un petit 3/5).
"Jazz Maynard" a une immense qualité : un graphisme péchu, stylé et dynamique comme on n'en voit que peu en BD, avec un vrai sens du cadre et de la mise en scène. C'est ce qui m'a donné envie de lire cette BD d'ailleurs. Mais je n'ai pas été séduite par le scénario, que j'ai trouvé peu original et finalement un peu ennuyeux. Faut dire qu'au vu de la couverture du tome 1, je m'attendais à lire la vie d'un jazzman, autant dire que j'ai été un peu déçue. C'est cependant une BD vraiment bien faite, bourrée de qualités, mais qui n'a jamais réussi à m'intéresser. Je ne suis pas rentrée dans le trip... je conseille néanmoins de jeter un coup d'oeil attentif, car nul doute qu'elle saura trouver des fans, et elle le mérite.
Site réalisé avec CodeIgniter, jQuery, Bootstrap, fancyBox, Open Iconic, typeahead.js, Google Charts, Google Maps, echo
Copyright © 2001 - 2024 BDTheque | Contact | Les cookies sur le site | Les stats du site