Crying freeman
Alors qu'elle peint sur les hauteurs de San Francisco, la jeune Emu O'Hara assiste impuissante au meurtre d'un gangster japonais. Son assassin -- un jeune homme d'une beauté et d'une élégance parfaites -- verse une larme. Cette marque d'humanité n'échappe pas à la jeune femme. Héritière d'une grande fortune, Emu O'Hara se tient depuis l'enfance pour responsable de la mort tragique de ses parents. Recluse et solitaire, elle attend son châtiment...
BDs adaptées en film Gangsters Manga : avant 1995, la préhistoire Seinen Shogakukan Tueurs à gages Yakuzas [USA] - Côte Ouest
Alors qu'elle peint sur les hauteurs de San Francisco, la jeune Emu O'Hara assiste impuissante au meurtre d'un gangster japonais. Son assassin -- un jeune homme d'une beauté et d'une élégance parfaites -- verse une larme. Cette marque d'humanité n'échappe pas à la jeune femme. Héritière d'une grande fortune, Emu O'Hara se tient depuis l'enfance pour responsable de la mort tragique de ses parents. Recluse et solitaire, elle attend son châtiment... De retour à Vancouver où elle réside, Emu est devenue un témoin capital que se disputent la police et le puissant chef yakuza Shimazaki, père du gangster exécuté à San Francisco. Identifié grâce à ses larmes, le mystérieux assassin serait en effet «Crying Freeman», tueur réputé invincible, à la solde d'une société secrète chinoise. Convoquée au Palais de Justice par l'inspecteur Netah, un agent d'Interpol spécialisé dans les affaires asiatiques, Emu est à nouveau plongée dans la violence. Un homme masqué abat Shimazaki en pleine rue avant de s'enfuir en voiture. Seule la jeune femme a reconnu l'assassin sous le masque : le légendaire «Freeman» ! Consciente qu'il doit venir l'éliminer comme il le fait de chaque témoin gênant, Emu décide d'attendre son assassin en victime consentante. Et lorsqu'il apparaît chez elle, en pleine nuit, elle lui demande une faveur : qu'il lui fasse connaître l'amour avant de la tuer. Sans le savoir, Emu scelle leurs destins. Incapable de la tuer, le jeune homme est brusquement délivré du conditionnement hypnotique qui le transformait en assassin. Les amants s'enfuient ensemble, déclenchant ainsi la colère des mystérieux employeurs de «Freeman». Sans compter que les nouveaux dirigeants du clan yakuza, Ryuji Hanada et son épouse Lady Hanada, ont également juré leur mort. C'est dans une île au Japon, où «Freeman» vit sous l'indentité d'un artiste potier, que va avoir lieu le grand face à face...
Scénario | |
Dessin | |
Editeur
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Genre
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Public
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Type
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Date de parution | Janvier 1995 |
Statut histoire | Série terminée (Réédition en cours en albums plus épais) 10 tomes parus |
Les avis
J'adore le dessin réaliste et sensuel de Ikegami (Sanctuary, Nouvelles de littérature japonaise, Strain, Heat), et j'adore le film de Christophe Gans, reprenant les deux premiers tomes du manga. Mais le manga, même après avoir essayé plusieurs fois de le lire posément (à quelques années d'intervalle, dans deux éditions différentes) m'insupporte : je le trouve vulgaire, bête et insipide. Le problème vient vraisemblablement du scénariste (déjà auteur du "culte", miteux à mes yeux, Lone Wolf & Cub) qui ne sait vraiment pas raconter ses histoires (elles ont pourtant l'air bien riche, mais la mise en scène pêche vraiment à mes yeux).
Je ne sais pas trop quoi en penser de ce manga. D’un coté je suis déçu, et je m’attendais à beaucoup mieux compte tenu des avis ci dessous. L’histoire est quand même étrange, et le façon dont elle est écrite est nulle je trouve. Ca s’enchaîne mal, tout va trop vite, on tourne les pages à 100 à l’heure. C’est aussi très répétitif, et la trame de l’histoire semble plus être une excuse à une avalanche de scènes d’action dont l’issue n’est jamais une surprise. Enfin il y a quand même quelques passages d’un goût douteux avec la grosse sœur, notamment quand on la voit pisser ou jouir de mater sa sœur coucher avec Freeman. Vraiment déplacé tout ça je trouve… Bon d’un autre coté je dois avouer que j’ai fini les deux tomes sans me forcer, et que ça passe tout seul. Je ne peux donc pas dire que j’ai détesté. En plus le dessin des femmes est superbe, c’est toujours ça de pris. Un manga correct, qui devrait plaire aux amateurs d’action et d’arts martiaux. Je n’en fais pas vraiment partie, et du coup je regrette un peu mon achat. A mon avis, à feuilleter avant d’acheter.
Je n'ai pas vu le film et le manga ne m'attirait pas : je ne l'ai lu que pour satisfaire ma culture personnelle et je pense que j'aurais facilement pu m'en passer. Le dessin manga réaliste y est vieillot, à l'encrage un peu sale et gras. Les personnages ont des physiques de vieux films policiers de série B des années 70. Bof. Ceci dit, j'étais plié de rire au la lecture de la double page où Emu se souvient avec nostalgie du beau corps nu et tatoué de Freeman, où on le voit courir nu, sauter nu, faire trois petits pas et tourner sur lui-même. Quant à l'histoire, ça transpire le cliché. Freeman est un beau tueur ténébreux mais sensible (oh, il pleure à chaque fois qu'il tue quelqu'un :((). Emu Hino (qu'est-ce que c'est que cette traduction Française en Emu O'hara (qui habiterait à Vancouver ?? Vancouver, ville emplie de Yakuzas comme chacun sait ! ;))), Emu Hino donc est une superbe jeune femme riche mais vierge (à 22 ans, la hoooonte ! ;)). Et bien sûr, en midinette romantique, elle va tomber folle amoureuse du beau gars qui vient de faire exploser la tête d'un homme devant elle (mais elle ne retiendra que son beau visage qui pleure). Et en bonne Japonaise soumise, elle va attendre sagement la venue de cet homme pour se livrer corps et âme à lui. Et naîtra alors un amour puissant et beau (eh oui, Freeman est lui aussi puceau, la hooooonte ! ;)) qui forcera les deux jeunes et beaux amants à fuir ensemble les représailles du méchant monde de la police et de la mafia qui veulent les empêcher de s'aimer et si possible les buter avec beaucoup de souffrance. Romantique à souhait, non ? Malgré ces gros clichés bidons pour amateur d'émotion facile, la narration n'est pas trop mauvaise et le déroulement de l'histoire reste assez réaliste et pas désagréable à lire. C'est juste très moyen, quoi.
Salut à tous, Ce manga, raconte l'histoire d'un pauvre potier, qui devient le super tueur d'un vieux clan de criminels chinois, au fil de la série il bute tout ceux qui se mettent en travers de son chemin et se hisse à la tête de son clan, pour en faire le plus puissant du monde. Ce que j'aime dans ce manga, c'est qu'il est court (10 tomes) et que des sujets très en vogue y sont traités, le sexe hard et des combats très originaux dans leurs déroulement. Le seul petit point qui me dérange un peu, c'est que le héro est un peu trop parfait ! Je conseil d'acheter ce manga, pour les amateurs de sexe et de baston mais surtout parce qu'il n'y a pas beaucoup de tomes.
L'histoire du Freeman tueur infaillible de l'organisation les 108 dragons, par la suite Freeman deviendra la tête de cette organisation, voilà ce que raconte ce manga. Le problème c'est que seulement deux tomes sont parus, on a donc seulement droit à une présentation du personnage. Freeman est élu (contraint) par les aînés pour devenir le tueur le plus parfait et impitoyable des 108 dragons, dans les deux premiers tomes on voit sa formation, puis certaines de ses actions, ensuite certains choix s'offrent à lui et ils auront des conséquences assez dramatiques. Au niveau du scénario je trouve que c'est relativement interessant. Pour les dessins voyez la galerie ou feuilletez avant d'acheter, moi je déteste ce style j'ai peur de ne pas être objectif à ce sujet. En fait si je met seulement 2/5 c'est parce que même si j'aime bien le scénario, il y a pas mal de scènes de sadisme gratuites, et ça pour moi c'est inexcusable j'ai horreur de la facilité. Beaucoup parlent du film dans leurs avis, je ne l'ai pas vu (j'aime bien Gans mais je suis allergique à son acteur fétiche désolé) mais j'ai vu les OAV qui composent la série et c'est très inégal, les graphismes varient, la qualité de l'animation varie également d'un épisode à l'autre. Mais bon j'ai pu en apprendre un peu plus sur l'histoire. Pour les fans du manga c'est à voir, pour les autres...
Rah, c'est fabuleux un tel concentré de clichés kitsch entrecoupés de scènes érotico-mièvres... Non vraiment c'est très mauvais, très mal raconté en plus, avec un dessin stéréotypé, sans âme, brouillon et où les erreurs ne sont pas rares. J'avoue cependant avoir bien ri pendant ma lecture... au second degré certains passages sont croquignolets. Amateurs de nanars désopilants en tous genres, cette BD est faite pour vous !
Voila le type de manga que je déteste, vraiment, brrrr. Ce type d'ouvrages qui s'appuient sur des bons sentiments à la louche pour prétexter tout et n'importe quoi... Déjà, ça commence vraiment mal, avec une définition de la mafia complètement fausse, érronée. La mafia, créée pour se libérer du joug français en Italie ? N'importe quoi. Cinq organisations basées en Italie répondent à l’appellation de « mafia »: la 'Ndrangheta, la Sacra Corona Unita, la Cammora, la Stidda et la Cosa Nostra, basée en Sicile. Ces organisations ont été créées à partir du milieu du XIXe siècle comme force supplétive au service des grands propriétaires terriens soucieux d’assurer la sécurité de leurs domaines, en l’absence d’institutions publiques italiennes encore crédibles suite à la déchéance des Bourbons et au processus d’unification de l’Italie de 1860. Fin du cours d'histoire. :D En fait, Crying Freeman, c'est de la "fausse documentation" de la part de l'auteur, une pelletée d'informations non vérifiées mais qui donnent un poil de crédibilité à l'histoire (du moins, tant qu'on ne se pose pas la question sur la véracité de l'ensemble de tout cela). L'histoire est chiante, sans réel intérêt, a sacrément mal vieilli, et le dessin est affreux, tout laid, tout plein de fautes. Et pourtant, de nombreux lecteurs accrochent à Crying Freeman... pas moi. J'ai terminé le premier tome sans éprouver un quelconque intérêt pour l'histoire, j'ai dû m'y reprendre à deux fois avant de torcher le second tome... A la limite, je préfèrerais presque le film (assez naze lui aussi) pour son esthétisme, que je ne retrouve vraiment pas dans la BD. Berk.
Un tueur a gage balaise en arts martiaux change de camp. Avec une base comme ça les amateurs d'action seront servis. Les pauses dans le recit y ajoute de la profondeur et permettent de s'attacher aux personnages. Dommage que l'editeur français se soit limité aux deux premiers tomes. A lire avant de voir le film (dont on peut se passer).
Une deuxième lecture, et la première impression vole en éclats. Crying Freeman est vraiment ridicule. Un tueur aux apparitions et mouvements théâtraux, une histoire d'amour un peu cul-cul, de la fesse à peu près toutes les 20 pages, sans que ce soit justifié... Bon, le dessin n'est pas trop mauvais, mais c'est vrai que dans le genre réaliste, il y a beaucoup mieux, et en quantité...
Je pense que j'aurais plus apprécié la lecture de ces 2 tomes si je n'avais pas vu le film avant. Mais c'est vrai, je dois l'admettre, c'est un bon manga, avec un vrai scenar, en beton armé. En fait, je crois que c'est surtout l'ambiance de la BD qui m'a marqué. Niveau dessin, j'ai plus de mal quand meme... c'est loin d'etre beau.
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