Triton (Umi no Triton)
Qui est ce mystérieux Triton, qui développe des pouvoirs surhumains à mesure qu'il grandit ? Et qu'est-ce que le clan Poséidon ?
Akita Shoten Shonen Sirènes Tezuka
Un soir, Kazuya Yazaki trouve un bébé et le ramène chez lui. Mais ceci va entraîner sa famille dans une étrange affaire...
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Editeur
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Genre
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Public
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Type
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| Date de parution | 25 Juillet 2007 |
| Statut histoire | Série terminée 3 tomes parus |
Les avis
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Encore du très bon Tezuka. J'avais emprunté les trois tomes sans grand intérêt. Je pensais que j'allais lire un manga pour enfant du genre Unico, mais ce ne fut pas le cas. Les premiers chapitres ne sont pas très intéressants et ressemblent à un manga pour enfant ou familial comme le dit cac. Il aura fallu l'arrivé de Tairin pour que je commence à accrocher... et ne plus être capable de m'arrêter de lire ! Cette saga maritime est vraiment captivante. Les personnages sont bien faits et il y a beaucoup d'humanisme comme Tezuka l'aime. On a droit à de grandes leçons de valeurs et certains personnages sont moins méchants qu'on le pense.
Un nouveau titre de Tezuka, l'un des seuls auteurs que je peux acheter les yeux fermés. Triton est un nom qui parlera à ceux qui ont un peu de culture (comment ça je suis condescendant ;)), car il évoque la mer et la mythologie grecque, truc que j'aimais bien étudier quand j'étais jeune. Tezuka prend ce contexte pour mettre en place un jeune Triton en guerre pour on ne sait quelle raison oubliée depuis des générations contre un fameux clan, non pas corse, mais celui de Poséidon, le dieu de la mer. Je rapprocherai ce titre de Tezuka de Prince Norman, par son côté "familial" et gentil. Triton est un bon fils adopté, un autre fils est mis en scène mais a fait des erreurs et préfère s'effacer pour ne pas être un poids pour sa famille. Triton est fondamentalement bon malgré le mal qu'on peut lui faire, et va jusqu'à sauver un ennemi. Ce premier tome est assez manichéen mais déjà intéressant, je suis preneur de la suite. Rien à dire sur le travail de la part de l'éditeur avec un format bunko d'environ 300 pages (juste s'il pouvait mettre un peu moins de pub pour ses autres mangas à la fin ce serait pas un mal :)). A noter un petit entretien retranscrit en fin d'album qui parle de la boulimie de travail d'Osamu Tezuka. Alors qu'il avait déjà plusieurs séries en cours, il en accepta une nouvelle avec Triton et de surcroît en parution quotidienne !
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