Adieu Midori (Sayonoara Midori Chan)
A 20 ans, Yuko mène une vie sans aspérités, entre son emploi d'assistante dans une entreprise et son petit ami Yukata. Décidée à donner un tour plus passionnant à son existence, elle accepte la proposition de Yutaka de travailler à ses côtés, de nuit, comme hôtesse de bar. Mais Yuko déchante vite : ce choix lui apporte davantage d'ennuis que d'agréables surprises, l'amenant à faire face, seule, à des situations pénibles, voire dangereuses. Et surtout, elle ne parvient pas à se rapprocher de Yutaka, qui demeure insaisissable et indifférent à ses marques d'affection. Malgré son infidélité, Yuko persiste à s'accrocher à cette relation vaine et stériel. Va-t-elle réagir avant de ne plus pouvoir sortir de l'impasse ? Jusqu'où est-elle prête à s'abandonner ?
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A 20 ans, Yuko mène une vie sans aspérités, entre son emploi d'assistante dans une entreprise et son petit ami Yukata. Décidée à donner un tour plus passionnant à son existence, elle accepte la proposition de Yutaka de travailler à ses côtés, de nuit, comme hôtesse de bar. Mais Yuko déchante vite : ce choix lui apporte davantage d'ennuis que d'agréables surprises, l'amenant à faire face, seule, à des situations pénibles, voire dangereuses. Et surtout, elle ne parvient pas à se rapprocher de Yutaka, qui demeure insaisissable et indifférent à ses marques d'affection. Malgré son infidélité, Yuko persiste à s'accrocher à cette relation vaine et stériel. Va-t-elle réagir avant de ne plus pouvoir sortir de l'impasse ? Jusqu'où est-elle prête à s'abandonner ?
Scénario | |
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Date de parution | Avril 2006 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
Voici typiquement le genre de manga que j'ai du mal à apprécier... On se retrouve projeté dans une tranche de vie de la jeunesse japonaise qui peine à faire la transition entre post-adolescence et monde adulte. Et ici tout se focalise autour de la vie amoureuse de Yûko, de ses déboires et réflexions au quotidien... Car, "la pauvre", est amoureuse d'un garçon, qui à part coucher avec elle de temps en temps, n'en a vraiment rien à faire... 200 pages pour nous raconter la prise de conscience de cet état de fait de notre héroïne, bon, moi je suis pas fan... Surtout que graphiquement, franchement, je n'ai rien trouvé d'original. On est loin d'un Benjamin transcendant dans le trait et les couleurs. On est dans une style simple, épuré et fin, qui s'il sied bien à l'histoire, n'apporte pas non plus grand chose. Je remarquerais même 2/3 planches ratées de l'édition que j'ai lue, où les colorisations de gris sont décalées par rapport au trait... Dommage. Bref, pour moi, ce n'est pas un manga qui restera.
Typique de la collection Sakka de Casterman, Adieu Midori évoque avec un style épuré aussi bien dans le dessin que dans ses dialogues la jeunesse japonaise. Yuko sort avec Yutaka mais sans que ça soit vraiment sérieux car celui-ci dit avoir une autre petite amie prénommée Midori. Est-ce qu'elle existe vraiment ou n'est-elle qu'un prétexte ? De toute façon cela n'empêche pas Yutaka d'aller voir régulièrement ailleurs sans s'en cacher auprès de Yuko. Minami parle de la difficulté des jeunes à trouver un travail qui les motive et par là à se poser dans cette phase qu'est l'entrée dans la vie active, la "vraie vie" ? L'auteur donne tout au long du récit une grande place à la sexualité de ses personnages, c'est assez bien traité. Les sentiments sont justes, Yuko s'accroche à son amour qui ne lui donne jamais de retour. On est loin de Love Hina ou autres shonen dans lesquels les personnages hyper timides sont secrètement amoureux depuis le début mais on l'apprend que 7 tomes plus tard. A voir.
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