Vaste le ciel (Kokû Monogatari)
Balade dans le Japon médiéval...
Les petits éditeurs indépendants Seinen
Un étrange personnage, mi-philosophe, mi-charlatan, arrive dans une petite auberge de montagne tenue par une femme seule qui s'occupe également de sa jeune sœur Karen et de son petit frère Heikichi. Il les entraîne dans un monde merveilleux, a chercher des œufs de renards parmi les galets de la rivière et à parler avec les anges... Une promenade sans fin...
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Date de parution | 06 Novembre 2006 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
1.5 Un one-shot sans grand intérêt dont la seule qualité que j'ai trouvée c'est que la narration soit assez fluide pour que je n'ai aucune difficulté à lire les pages et c'est pour cette raison que je ne mets pas 1 étoile que je réserve aux œuvres où je ne suis pas capable de lire quelques pages sans que cela soit une torture. Parce que c'est vraiment mauvais. Je n'aime pas du tout le dessin. Les personnages sont vraiment moches et parfois je me demandais s'ils ne souffraient pas de malformations. Les histoires sont d'une banalité affligeante tellement il ne se passe rien d'intéressant et que les personnages ne sont pas du tout attachants.
Attention, oeuvre difficile. Je le dis tout net : j’ai détesté ce manga. Déjà, sur le plan esthétique. Les personnages sont déformés, tous plus moches les uns que les autres, et souvent différents d’une page à l’autre. C’est un aspect qui m’a toujours rebuté, et ça continue. Le dessin, dans son ensemble, n’est vraiment pas celui qui m’attire le plus. Ensuite, sur le plan narratif. Il s’agit là du roman graphique poussé à l’extrême, des histoires des petits riens de la vie, le caca, les papillons, la rivière et les caprices d’un gamin de 5 à 7 ans. Heikichi m’est très vite apparu comme insupportable, et sa relation avec ses deux sœurs (ou demi-sœurs, ou quart de sœurs) un peu étranges. Voire malsaines. La seule originalité de cette œuvre vient de sa temporalité ; une grande partie de l’histoire se passe au cœur du Japon médiéval, comme en attestent les tenues des personnages. Puis, en forme d’épilogue, nous avons un passage avec un Heikichi contemporain, un passage censé faire le parallèle, ou éclairer l’immense majorité du bouquin. L’onirisme est très présent dans "Vaste le ciel", mais j’avoue que je n’en ai rien compris. Peut-être une question de culture. Peut-être suis-je passé à côté d’une œuvre formidable. Je l’assume, ce n’est pas pour moi.
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