Néférou le chat

Note: 2.75/5
(2.75/5 pour 4 avis)

Personne ne comprend entièrement le monde complexe des chats. Ceux-ci se considèrent comme le Peuple Elu. Les humains n'existent que pour les servir et ouvrir les boîtes de poisson. Au commencement de notre histoire, Néférou découvre que le chien de sa voisine est en train de manoeuvrer pour que sa maîtresse tombe amoureuse du propriétaire de notre héros félin.


Auteurs argentins Carlos Trillo Chats Les petits éditeurs indépendants

Il y a de l'invasion de territoire dans l'air. De toute évidence, les Créatures Infernales (autrement dit, les chiens) ont décidé de supprimer les chats de la surface de la terre. Néférou et ses amis prennent le parti de la résistance, et avec l'aide de l'antique déesse égyptienne Bastet, incarnée dans le Grand Chat, ils s'engagent dans la lutte qui décidera de leur place dans ce monde !

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Mars 2004
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Néférou le chat © Erko 2004
Les notes
Note: 2.75/5
(2.75/5 pour 4 avis)
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27/08/2007 | Ro
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Par Gaston
Note: 3/5
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Le chat est mon animal préféré et pour cette raison j'aime bien lire les histoires les mettant en vedette. J'adore comment Trillo nous montre le monde vu par les chats. Cela donne droit à des situations sympathiques comme la manière dont les chats font leurs 'prières' à leur déesse. Dommage que l'histoire ne fasse que 46 pages. C'est triste de quitter Néférou et ses amis si rapidement et puis le rythme du récit était un peu trop lent. Un peu de développement n'aurait pas fait de tort.

18/04/2010 (modifier)
Par Miranda
Note: 3/5
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Une bonne vision du monde des humains vu par les chats et du monde des chats vu par les chats. "Néférou" aurait fait une bien meilleure bd s'il n'y avait eu cette histoire d'amour un peu cul-cul entre les maîtres de Néférou le chat et de Piñon le chien. Heureusement l'histoire est plus axée sur celle des chats, mais je regrette tout de même qu'elle ne l'ait pas été entièrement. Les chats dans leur univers félin se sont rebaptisés avec des noms égyptiens et détestent les noms ridicules que leur ont donnés leurs maîtres ; ils vont prier la déesse Bastet au musée y faisant un beau bordel au passage, qui est une scène d'ailleurs inoubliable ; ils pensent que les humains les vénèrent et leur offrent de la nourriture en offrande… Ce côté très chat de l'histoire est excellent. D'autant plus que le dessin est très beau et très travaillé, les chats sont divinement dessinés, ainsi que leurs attitudes - à noter la panthère qui est sublime ; les décors regorgent de détails et les couleurs sont gaies et vives, tout comme l'étaient celles de l'Égypte ancienne. Une bd à posséder si vous êtes amateurs de chats, d'autant plus qu'on la trouve aujourd'hui pour une bouchée de pain.

13/02/2009 (modifier)
Par Pierig
Note: 3/5
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Je regarde toujours d’un oeil intéressé les albums signés par Carlos Trillo. Scénariste de talent, il montre une maîtrise de la narration assez exceptionnelle. Et c’est encore le cas avec cet album même si le sujet me passionne peu. Sur fond de lutte féline contre l’envahisseur canin, ce récit se laisse lire à défaut d’être réellement prenant. Le final, comme le reste, se révèle assez ordinaire finalement. Pas un mauvais album (bonne narration) mais il est loin de figurer parmi les indispensables. Côté dessin, c’est correct sans être transcendant. Un style passe-partout qui manque singulièrement de personnalité.

17/10/2008 (modifier)
Par Ro
Note: 2/5
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Je croyais que j’allais bien aimer cette BD car le dessin est sympathique. Maîtrisé et dynamique, il est proche d’un banal style franco-belge d’humour mais j’aime bien la façon dont les chats y sont représentés. Et ça tombe bien puisque ce sont eux les héros de l’histoire. L’histoire, quant à elle, est une mise en scène du conflit entre chiens et chats. Mais alors que je m’attendais à une intrigue emplie d’humour, le récit est trop bavard et se prend trop au sérieux avec juste quelques scènes qui amènent un peu le sourire mais sans plus. En outre, le rythme est trop dilué, avec de vraies lenteurs, notamment dès le début avec Néférou qui fait traîner les choses et met trop de théâtralité dans ses dialogues et la narration de ses petits déboires. L’histoire se laisse lire mais est finalement assez vite résumée et sans grande surprise.

27/08/2007 (modifier)