James Boon 07
Retournez aux sources des agents secrets anglais...
Histoires d'espions Parodies et pastiches
Le royaume d’Angleterre est inquiet. Son réseau de surveillance, Échelon, se désagrège : les bateaux intercepteurs disparaissent les uns après les autres. D’où vient l’attaque ? Et si ce n’était qu’une première phase ? L’Angleterre sera sourde et aveugle si elle réagit trop tard... Elle sera offerte à ses ennemis de toujours : les pirates ! En réponse à cette agression d’un nouveau genre, on décide de former un corps d’élite approprié : les agents secrets. Inconscient de ce qui le guette, un jeune pensionnaire va devenir l’un d’entre eux. Son nom : James Boon. Son numéro de lit : 07. Il sera le premier d’une célèbre lignée d’agents.
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Date de parution | 02 Mai 2007 |
Statut histoire | Une histoire par tome (série abandonnée) 2 tomes parus |
Les avis
Une série qui ne m’a pas trop emballé, bien que je lui reconnaisse de nombreux atouts. C’est d’abord un scénario souvent abracadabrantesque, parfois assez confus quand même, qui mêle la parodie à l’humour assez débridé. Il m’est arrivé de bien m’arrêter sur une case pour y découvrir l’un ou :l’autre clin d’œil à certaines références du cinéma. Et c’est vrai que transposer l’univers policier de James Bond à une BD de pirates pouvait donner quelque chose « d’hénaurme »… Ce n’est pas le cas. C’est marrant… euh… oui… mais l’ensemble –à mon humble avis- aurait pu être beaucoup plus explosif encore. Côté dessin : c’est vraiment pas ma tasse de soupe. C’est créatif… oui… imaginatif… oui… MAIS : je n’aime pas. C’est comme ça. Je n’ai ressenti aucun atome crochu avec le travail d’Audibert. Mais j’ai peut-être raté quelque chose… Tout ça pour : ben… euh… une série plaisante, marrante, imaginative, mais qui ne m’a pas emmené avec elle. Ca arrive…
Et voilà le duo gagnant des Mesures du temps ! Mais cette fois-ci, dans un registre différent, celui de la parodie multi-référentielle. Un genre il est vrai en adéquation avec le trait d'Anthony Audibert, proche de celui de Cyril Pedrosa. Mais une adéquation ne fait pas forcément un chef d'oeuvre. Ici Mathieu Gabella (par ailleurs scénariste d'autres séries de qualité) nous livre une histoire un peu tarabiscotée, censée nous livrer le secret de la création de la célèbre agence secrète anglaise, le MI5. A coups de nombreux jeux de mots (le pensionnat de santa Jill, le nom du héros...), mais aussi des clins d'oeil dans le dessin, c'est un vrai tourbillon d'humour qui déferle. Mais l'ensemble de l'album est assez confus, très dense, et on a du mal à suivre, par moments. Mais cette lecture s'avère tout de même plutôt agréable, surtout grâce au talent graphique d'Audibert, très inspiré. Cependant je ne conseille pas l'achat d'une série aussi compliquée pour le genre humoristique. Attendons la suite pour juger plus avant.
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