Green World
Dans le but de réaliser ses pratiques alchimistes ancestrales, le peuple Ghyveldien a depuis longtemps épuisé les ressources naturelles des planètes de la confédération de Calande.
Lanfeust Mag Space Opera
Dans le but de réaliser ses pratiques alchimistes ancestrales, le peuple Ghyveldien a depuis longtemps épuisé les ressources naturelles des planètes de la confédération de Calande. Les peuples opprimés se sont révoltés sous la bannière des druidesses du Greenworld, une religion respectueuse de l’équilibre naturel. Les Cebyllins, de gigantesques créatures élevées au rang de divinités et vénérées par les druidesses, sont apparues à la surface des planètes. Leur pouvoir de contrôle est immense. Mais leur apparition a fortement contrarié les projets du peuple Zeride, qui aspire à la création d’un sur-être capable de prédire les moindres détails de l’avenir. Les Zerides et les Ghyveldiens vont donc pactiser pour récupérer ce que le Greenworld leur a volé : le pouvoir.
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Date de parution | 26 Septembre 2007 |
Statut histoire | Série abandonnée (abandon par l'éditeur) 1 tome paru |
Les avis
Après la lecture du premier tome. Le bilan de cette lecture est peu enviable. Il y a du potentiel chez les auteurs mais on sent qu'ils veulent trop en faire. C'est très chargé et décousu. Le scénario mélange plein de choses sans apporter une réelle cohésion au tout. Le dessin est beau mais manque de lisibilité. C'est très détaillé et les pages explosent de couleurs. Mais, c'est trop et l'intérêt s'en ressent. Je lirai peut être la suite mais je m'en passerai bien. Les dessins trop visuels cachent souvent des défauts de narration et de rythme dans le récit. "Green World" démontre bien que le fond est plus important que la forme. Faire du tape à l'oeil permet de faire ouvrir les porte-monnaie mais donne ensuite des regrets aux lecteurs plus légers financièrement. 09/06/2011 : série abandonnée : passage de la note de 2 à 1.
Une nouvelle série de chez soleil mélangeant Space Opéra et druidisme, qu’est ce que c’est encore que ce truc ? Au milieu d’une guerre intergalactique, on suit les parcours d’une druidesse, un pirate et un ex-commandant alcoolique. D’un côté les ghyveldiens pollueurs et destructeurs de mondes et de l’autre les écolos tout gentils qui grâce à l’aide de divinités et de petites bestioles invisibles aux yeux des simples mortelles, « rénovent » des planètes détruites par les méchants suscités ( houlà ça m’a l’air con-con ce truc ). Une divinité est enlevée pour le compte d’une tierce race et c’est parti, on se fait la guerre. Bon je simplifie mais en gros c’est ça. Et bien malgré tout c’est assez fouillé pour être plaisant malgré le postulat manichéen du début. Pour un premier tome il s’y passe assez de choses pour que cela devienne peut-être assez sympa pour la suite. Les nombreuses scènes d’action sont bien réalisées, les mouvements bien exécutés. Le gros problème c’est que pour que ça devienne vraiment passionnant il faudrait s’attacher aux personnages or comme a pu le faire remarquer Spooky, les visages et les expressions ne sont pas les points forts du dessinateur, ils ont tous la même tronche. Et les couleurs, pouah : beaucoup trop flashy à mon goût.
Une bonne surprise chez Soleil, c'est toujours bon à prendre. Cependant on n'est pas non plus devant un chef-d'oeuvre. Ce qui m'a frappé, dans "Green World", c'est la qualité des dessins. Gabor est un nouveau venu dans la BD, mais il semble avoir déjà une longue carrière d'animateur derrière lui, puisqu'il a travaillé avec Juan Diaz Canales (scénariste de Blacksad) dans ce domaine, et qui signe la préface du bouquin. Bref, Gabor est très à l'aise dans les architectures vertigineuses, les designs de vaisseaux, un peu moins sur les personnages, morphologies et visages compris. Ca manque d'un peu de recherches préliminaires à mon avis... Les couleurs de Daniel Suarez, lui aussi espagnol, permettent de gommer certains défauts, et sont quand même dans l'ensemble assez réussies. Seul regret au niveau graphique, le manque d'unité dans les designs. On a l'impression que Gabor veut essayer tout un tas de formes, de profils différents, et cette trop grande diversité tue un peu son inventivité. N'est pas Philippe Buchet qui veut ! L'univers mis en place par François Debois est intéressant, complexe, et visiblement très préparé en amont. Mais la complexité transpire au travers des pages, et la multiplicité des personnages et des fils d'action est un peu gênante, même si deux intrigues se rejoignent dès ce premier tome. Une série qui intéressera les amateurs de SF, mais qui a besoin de se déployer pour qu'on en saisisse vraiment la portée (et la qualité). Attendons la suite.
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