Emily the Strange
Voici l'une des vedettes du comics underground, et gothique !
Comix Dark Horse Comics Néo Gothique
La voleuse de chat : La coupable présumée serait une frêle adolescente mesurant 1,40 m et pesant 40 kilos environ. Elle aurait de longs cheveux noirs et serait vêtue d'une simple robe noire. Sur les enregistrements d'une caméra de surveillance, on peut voir une personne suspecte, correspondant à ce signalement, qui libère les animaux de leurs cages et s'enfuit avec eux, en empruntant la sortie de secours. Les témoins ont décrit une personne de petite taille, son visage dissimulé par une cagoule noire, qui quittait les lieux en laissant derrière elle une traînée d'étincelles. Parmi les preuves ADN recueillies sur les lieux du crime, les enquêteurs ont retrouvé des poils de couleur noire qu'ils ne pensent pas être d'origine humaine mais animale.
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Date de parution | 26 Septembre 2007 |
Statut histoire | Histoires courtes 3 tomes parus |
Les avis
Bon ben y a des fois, vaut mieux pas chercher à comprendre... Soit il n'y a rien à comprendre, soit mon cerveau n'a pas toutes les connexions pour cela . C'est un truc que j'ai déjà vu avec la physique quantique... Bon, je ne pense pas être la cible donc mon jugement en est faussé je pense, mais globalement, c'est moche, sans intérêt que ce soit du point de vue graphique, scénaristique, humoristique ou lacrymal... Rien de rien, juste du délire pour le délire, mais dans ce genre là, je préfère vraiment Kafka.
Je voyais « Emily the strange » partout, dans tout les magasins, tee-shirt, tasse, porte-clef, etc. Ce jolie petit minois me donné donc envie........... de lire bande d'obsédé. Alors j'ai essayé et je suis malheureusement tombé de très haut. Je n'y ai rien trouvé d'intéressant. Je ne suis pas du tout rentré dans ce monde noir à la Tim Burton, pourtant j'aime beaucoup m'évader dans ce genre d'univers, mais là rien. Des petites histoires courtes qui n'ont ni queue ni tête, les dessins et les couleurs (enfin le noir et le rouge) sont dans n'importe quel sens, à la fin du livre j'avais mal au crâne et j'avais les yeux rouges et non je ne fume pas de cigarette qui font rire...... Pour trancher un peu mon jugement, je pense surtout que ce type de littérature s'adresse plutôt aux jeunes adolescentes de 15 ans et non à un garçon deux fois plus vieux, merde déjà 30 ans.... Bref, je suis donc peut-être passé à côtés du phénomène de l'année, mais mon avis et sans appel.
Cette histoire est... euh.... bah en fait, il n'y a pas vraiment d'histoire à proprement parler, pas à mon avis du moins. C'est une succession de petites histoires, insaisissables, difficilement compréhensibles à mon goût, j'en suis à supposer que le thème d'Emily the strange a plutôt besoin d'être lu en anglais, et d'avoir une bonne maîtrise de la langue et de la culture gothique pour pouvoir être abordé. Le dessin, composé exclusivement de noir et de rouge, est lui aussi très « space », reprenant des images gothiques à souhait. J'ai eu beaucoup de mal à finir la lecture de cette histoire. Bref, si vous avez l'intention d'acheter Emily the Strange, faites-le en connaissance de cause, c'est à dire qu'il vaut mieux être fan du genre.
Tiens, j'avais entendu parler de cette petite héroïne très populaire aux Etats-Unis, mais jamais encore lu ses aventures. Visiblement sortie de l'esprit très inventif de Rob Reger, la série "Emily the Strange" est une suite de récits à l'ambiance bizarre, gothique, torturée. Le rocker Marilyn Manson en a fait l'une de ses muses. Personnellement j'ai un peu de mal avec ce type d'histoires, ou avec ce genre. Je trouve que ça va un peu trop loin dans le délire, ou plutôt qu'on tombe souvent dans le n'importe quoi, voire la facilité. Ce n'est pas un jugement universel, c'est juste mon impression. Résultat, j'ai fini certaines histoires en faisant "pffff !". Ce qui m'a gêné aussi, c'est la disparité des styles graphiques, due à une collaboration multiple. Certains styles, comme celui de Buzz parker, ou Brian Books, sont cependant assez agréables. Mais cela ne suffit pas pour emporter mon adhésion. Cependant je reconnais l'originalité du concept (même si je préfère Lenore dans un genre voisin), et l'imagination de l'auteur des histoires.
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