Seven of Seven (Shichinin no nana)
Nana et les sept na...na. Shonen, shonen, et... shonen.
Akita Shoten Les petits éditeurs indépendants Séries avec un unique avis Shonen
Un jour, sous l’action d’un cristal magique tout ce qu’il y a de plus « prétexte », la jeune Nana Suzuki se scinde en sept (précisons que le prénom « Nana » signifie « sept » en japonais, voilà pour le jeu de mots) : la Nana originale, et six autres basées chacune une facette de sa personnalité, la sportive, l’intello, la peste, la pleurnicheuse, l’insouciante et la sexy. Voilà qui fait soudain beaucoup de monde à nourrir. Mais l’union fait la force, alors Nana et les Sept Nains, enfin, Nana et les Six Nana, ne pourraient-elles s’unir pour affronter l’adversité, et conquérir le cœur du charmant Yuichi ? Voilà qui fait soudain beaucoup de monde à nourrir. Mais l’union fait la force, alors Nana et les Sept Nains, enfin, Nana et les Six Nana, ne pourraient-elles s’unir pour affronter l’adversité, et conquérir le cœur du charmant Yuichi ?
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Date de parution | Avril 2005 |
Statut histoire | Série terminée 3 tomes parus |
Les avis
Y’a des fois, on reste sans voix... devant le tombereau de machins shonen ou shojo, ou shotruc, ou josei, seinen, etc., qui nous est déversé depuis le Japon. Et dire, qu’a priori, les éditeurs nous font la fleur de ne pas tout traduire... Nan, ils écrèment ! Grand rire nerveux... Bon, soyons honnêtes, lucides, sincères, et tout le tralala, Seven of Seven n’a rien d’une infamie, ne menace pas notre stabilité mentale, ne risque non plus de déclencher une huitième guerre mondiale. Non, rien de tout cela. Seven of Seven est juste un « honnête » shonen, terme équivalent à : « qui s’oublie pratiquement dès la dernière page refermée ». Il y a donc son lot de petites culottes (vous pourriez ouvrir un magasin de lingerie avec le nombre de petites culottes et dessous dévoilés dans ce shonen), de poitrines très rebondies, et de situations conçues uniquement pour justifier qu’on aperçoive, distingue ou contemple les unes et les autres. À part cela, celui qui a produit ce truc semble être un brave gars, et je suis presque désolé de sembler dire tout plein de mal de son petit shonen. Dire qu’il a été superviseur de G Gundam. Dites, je ne connais pas vraiment, mais le G, c’est pour le point G ? Sinon, ce manga se distingue par une impression assez désagréable qui ressort du dessin des Nana : elles ont toutes l’air de gamines. Certes, des gamines avec des gros seins. Mais l’impression d’avoir affaire à des gamines m’a gêné tout du long de cette lecture. On ne peut pas le moins du monde parler de pédophilie, puisqu’elles ont des seins en forme d’obus, et que la pédophilie est l’attrait pour les corps d’enfants. De ce point de vue, donc, il n’y a rien de véritablement malsain, à la différence d’autres manga, tels Lythtis. Mais c’est tout de même gênant. Voilà, c’était donc un nouveau rapport de Katz, votre envoyé spécial sur le front des shonen qui s’oublient avant même la dernière page refermée. (Qui a dit : « mais c’est tous les shonen, ça » ? Qui ? Je sais qu’il a raison, mais demeurons polis... diantre...)
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