Seven of Seven (Shichinin no nana)
Nana et les sept na...na. Shonen, shonen, et... shonen.
Akita Shoten Les petits éditeurs indépendants Shonen
Un jour, sous l’action d’un cristal magique tout ce qu’il y a de plus « prétexte », la jeune Nana Suzuki se scinde en sept (précisons que le prénom « Nana » signifie « sept » en japonais, voilà pour le jeu de mots) : la Nana originale, et six autres basées chacune une facette de sa personnalité, la sportive, l’intello, la peste, la pleurnicheuse, l’insouciante et la sexy. Voilà qui fait soudain beaucoup de monde à nourrir. Mais l’union fait la force, alors Nana et les Sept Nains, enfin, Nana et les Six Nana, ne pourraient-elles s’unir pour affronter l’adversité, et conquérir le cœur du charmant Yuichi ? Voilà qui fait soudain beaucoup de monde à nourrir. Mais l’union fait la force, alors Nana et les Sept Nains, enfin, Nana et les Six Nana, ne pourraient-elles s’unir pour affronter l’adversité, et conquérir le cœur du charmant Yuichi ?
Scénario | |
Dessin | |
Editeur
/
Collection
|
|
Genre
/
Public
/
Type
|
|
Date de parution | Avril 2005 |
Statut histoire | Série terminée 3 tomes parus |
Les avis
Ouah la déception ! J'avais vu l'anime il y a longtemps et sans être une œuvre indispensable, c'était sympathique à regarder et j'en garde un bon souvenir. C'est donc avec une bonne impression que j'ai commencé la lecture de ce manga. Bon ben encore une fois je trouve que l'adaptation d'un anime est meilleur que le manga, une impression qui revient souvent avec des shojos et des shonens des années 1990-2000. Alors que l'anime a un graphique agréable à regarder, là on est dans du dessin moyen, stéréotypé et sans âme que l'on retrouve dans pleins de séries qui semblent expliquer uniquement pour remplir les magazines qui sortent chaque semaine/mois. Au moins c'est pas totalement illisible, mais ce qui m'a aussi frappé est à quel point il y a du fanservice dans le manga. Dans mes souvenirs il y en avait beaucoup moins alors qu'ici c'est un festival de petites culottes et comme le dessin n’est pas terrible j'ai trouvé que c'était vulgaire et pas du tout excitant. Je pense que même un ado en chaleur va trouver ca pas terrible. Je n'ai pas retrouvé le coté fantastique que j'aimais bien dans l'anime. Après une petite recherche, il semblerait que l'anime a été créé en premier et que le manga a été fait comme truc publicitaire comme cela se fait souvent lorsqu'un anime n'est pas basé sur un manga et encore une fois cela donne un truc torché à la va-vite par un dessinateur qui n'a pas eu de carrière. Oubliable.
Y’a des fois, on reste sans voix... devant le tombereau de machins shonen ou shojo, ou shotruc, ou josei, seinen, etc., qui nous est déversé depuis le Japon. Et dire, qu’a priori, les éditeurs nous font la fleur de ne pas tout traduire... Nan, ils écrèment ! Grand rire nerveux... Bon, soyons honnêtes, lucides, sincères, et tout le tralala, Seven of Seven n’a rien d’une infamie, ne menace pas notre stabilité mentale, ne risque non plus de déclencher une huitième guerre mondiale. Non, rien de tout cela. Seven of Seven est juste un « honnête » shonen, terme équivalent à : « qui s’oublie pratiquement dès la dernière page refermée ». Il y a donc son lot de petites culottes (vous pourriez ouvrir un magasin de lingerie avec le nombre de petites culottes et dessous dévoilés dans ce shonen), de poitrines très rebondies, et de situations conçues uniquement pour justifier qu’on aperçoive, distingue ou contemple les unes et les autres. À part cela, celui qui a produit ce truc semble être un brave gars, et je suis presque désolé de sembler dire tout plein de mal de son petit shonen. Dire qu’il a été superviseur de G Gundam. Dites, je ne connais pas vraiment, mais le G, c’est pour le point G ? Sinon, ce manga se distingue par une impression assez désagréable qui ressort du dessin des Nana : elles ont toutes l’air de gamines. Certes, des gamines avec des gros seins. Mais l’impression d’avoir affaire à des gamines m’a gêné tout du long de cette lecture. On ne peut pas le moins du monde parler de pédophilie, puisqu’elles ont des seins en forme d’obus, et que la pédophilie est l’attrait pour les corps d’enfants. De ce point de vue, donc, il n’y a rien de véritablement malsain, à la différence d’autres manga, tels Lythtis. Mais c’est tout de même gênant. Voilà, c’était donc un nouveau rapport de Katz, votre envoyé spécial sur le front des shonen qui s’oublient avant même la dernière page refermée. (Qui a dit : « mais c’est tous les shonen, ça » ? Qui ? Je sais qu’il a raison, mais demeurons polis... diantre...)
Site réalisé avec CodeIgniter, jQuery, Bootstrap, fancyBox, Open Iconic, typeahead.js, Google Charts, Google Maps, echo
Copyright © 2001 - 2024 BDTheque | Contact | Les cookies sur le site | Les stats du site