L'Héritage d'Emilie

Note: 3.31/5
(3.31/5 pour 39 avis)

Une aventure trépidente pour cette jeune femme sortie tout droit du moulin-rouge. Que se cache-t'il donc derrière le chateau Hatcliff au fin fond du Connerama en Irlande, terre de toutes les légendes ?


Iles Britanniques La BD au féminin République d'Irlande

Année 1801, un homme que l'on croyais mort refait surface et créait le chateau Hatcliff dans le Connemara. 1923, Emilie est danseuse au Moulin rouge, suite à une représentation un homme vient lui faire des propositions, celle-ci se refuse à lui et se fait virer du cabaret. Un avocat lui annonce son héritage d'un chateau en Irlande. Elle décide de partir sans en savoir plus. L'avocat lui a remis une montre et le journal de son oncle défunt un siécle et demi plus tôt. Arrivé dans le village proche du domaine Hatchiff Emilie se loge à l'auberge mais les rumeurs courent sur le chateau puis elle est recceuillie par un groupe de romanichels. Le lendemain matin ils la déposent devant les grilles du chateau occupé par d'étranges personnages.

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Janvier 2002
Statut histoire Série terminée 5 tomes parus

Couverture de la série L'Héritage d'Emilie © Dargaud 2002
Les notes
Note: 3.31/5
(3.31/5 pour 39 avis)
Cliquez pour afficher les avis.

11/03/2002 | Ottonegger
Modifier


Par gruizzli
Note: 4/5
L'avatar du posteur gruizzli

Je suis très client de ce genre de récit, alors inutile de dire que la combinaison entre le dessin de l'autrice que j'adore et ce genre d'histoire allait me plaire ! Même si je suis conscient de défauts, je trouve qu'elle se tient et qu'elle a une qualité : elle reste distrayante et légère. En lisant la série, je lui ai reconnu des faux airs de L'Autre Monde, mais aussi des inspirations de bien des sources. Il y a un mélange des genres qui peut paraitre surprenant mais j'ai trouvé personnellement qu'il allait très bien, notamment parce que les inspirations de sources différentes se croisent plutôt bien. Après tout, science-fiction ou fantastique évoquent d'autres mondes. C'est le genre d'histoire assez simple, même si plusieurs fois j'ai du relire attentivement ce qu'il s'était passé. Les débuts de tomes jouent parfois à faire des allers-retours dans le temps, mais le reste se lit globalement facilement. C'est linéaire dans le déroulé, inspiré des légendes irlandaises mais aussi de plusieurs théories autour d'autres mondes. Le seul écueil que j'y vois, c'est que Florence Magnin ne dessine pas de façon dynamique, ce qui tend à donner des scènes rigides lorsqu'il y a de l'action. En dehors de ce bémol, j'ai trouvé dans ce récit ce que je venais chercher. Pour peu que vos attentes ne soient pas trop élevées, la BD ne devrait pas vous décevoir. C'est une lecture distrayante, amusante enrobant une histoire qui se permet d'aller dans plein de sens sans vraiment se perdre. Un genre que j'aime bien et que je note assez large.

24/10/2024 (modifier)
Par Cosme
Note: 3/5
L'avatar du posteur Cosme

Ce fut une grande déception pour moi cette série. Et j’essaye de faire en sorte que ma note ne soit pas le reflet de ma déception, car impulsivement j’aurais mis deux étoiles. Florence Magnin, j’ai adoré dès le début ce qu’elle a fait, Mary la Noire que j’ai découvert en premier adolescent à la fin des années 90, puis L'Autre Monde dans la foulée, ainsi que les cycles suivants mais que j’ai un peu moins appréciés. Alors l’Héritage d’Emilie, c’est une série dont je suis la sortie de loin depuis le début, et que j’ai toujours désiré fortement avoir. Régulièrement je cherchais la série à acheter, mais allez savoir pourquoi je n’avais jamais franchi le pas, comme pour garder en moi tout l’imaginaire que j’avais pu construire autour, et que finalement la lire risquerait de briser ça. Vu les nombreux avis élogieux, à mes yeux ça devait être LA série culte de Florence Magnin. Le scénario avait tout pour me plaire, début du 20eme siècle, un manoir isolé dans les brumes irlandaises, un mystérieux héritage, j’imaginais déjà une ambiance un peu à la manière des romans des sœurs Brontë, une touche de surnaturelle en plus (et l’Irlande offre tout ce qu’il faut pour avoir de la matière là dessus). Et surtout ce dessin, propre à Florence Magnin, que l’on reconnaît au premier coup d’œil, et où j’aime me perdre dans ses planches, les contempler, admirer les unes après les autres, invitant au voyage, à l’admiration, aux rêves. Une très belle intégrale est sortie en cette fin d’année, elle était là en rayon, devant moi, sous mes yeux, dans mes mains, enfin ! Quelle joie j’avais de pouvoir avoir la série entière enfin à portée de lecture. Je l’ai donc ramenée chez moi et ai attendu patiemment d’avoir le soir parfait pour la lire. Une soirée pluvieuse, où il fait bon être enfermé au chaud chez soi, et n’avoir rien de prévu d’autre que de lire sans risque d’être dérangé, et jusqu’à pas d’heure. Le premier tome est génial, j’y retrouve tout ce que j’aime avec cette autrice, et correspond parfaitement à mes attentes. Des dessins, d’une beauté, qui m’impressionneront toujours (je sais pas pourquoi j’aime tellement son dessin, mais son style graphique éveille vraiment quelque chose en moi). Et une intrigue qui se met en place, pleine de mystères, une ambiance telle que l’on ne veut plus partir, ce genre de lecture où l’on voudrait rester dans la BD des heures et des heures, ne plus en sortir et ne plus revenir dans le monde réel. Alors c’est ce que j’ai fait, j’ai continué ma lecture jusqu’à la fin. Et quelle déception, mais quelle déception ! Il y en a trop, trop de tout, Magnin devait avoir pleins d’idées en tête et devait vouloir tout caser dans cette série. Elle en perd tout son sens dès le troisième album à mes yeux. C’est la dégringolade complète. Je n’avais qu’une hâte c’était de finir la série pour pouvoir lire autre chose la prochaine fois et ne plus devoir revenir dessus. Ça part dans tous les sens, dans du surnaturel à tout va, de la science fiction, sans utilité, sans réelle cohérence, c’est confus. Toute l’ambiance du premier tome est vite gâchée. Ce sentiment d’avoir mangé mon entrée dans un grand restaurant étoilé, et que la suite du repas vienne d’un restaurant digne de Cauchemar en cuisine. Cette impression de grandes promesses qui finissent non tenues du tout. Je pense que Magnin a de très bonnes idées, mais qu’elle n’a pas su les canaliser et les sélectionner pour ne se concentrer que sur certaines. Elle aurait mieux fait d’en garder pour plus tard, pour d’autres séries. Vous avez donc compris que la déception a été très grande après tant d’années d’attente, et c’est pour ça que je ne serai pas trop sévère avec ma note, car je l’aurais sûrement appréciée différemment si je ne l’avais pas attendu depuis si longtemps. Au final, ce qui m’a permis de tenir jusqu’à la fin, c’est le talent de dessinatrice de Magnin, et là pour le coup, on ne peut absolument rien lui reprocher. Sans lui, j’aurais mis sans hésiter une seconde 2 étoiles. Une série bien trop surnotée à mes yeux.

13/12/2023 (modifier)
Par Jérem
Note: 4/5

L’Héritage d’Emilie est une série plutôt singulière. En effet, Florence Magnin s’amuse à faire cohabiter différents genres littéraires : fantastique, science fiction, mythologie celtique. Et ça marche ! Le rendu graphique est impressionnant. Les dessins et la colorisation sont magnifiques. Mais c’est surtout l’originalité de l’univers de la série qui m’a frappé. L’histoire est agréable et bien menée même si la multiplication des genres la rend parfois difficile à suivre. Les influences sont nombreuses et habilement utilisées dans le récit. L’univers littéralement enchanteur et foisonnant, créée par Magnin, est le gros point fort de la série qui vaut le détour. L’Héritage d’Emilie est une réussite !

07/04/2016 (modifier)
L'avatar du posteur Agecanonix

Séduit par la découverte du travail de Florence Magnin sur Mary la Noire, j'ai voulu découvrir ses autres travaux. D'emblée, en tournant les pages du tome 1, la beauté stupéfiante de son dessin et des tons de couleurs m'ont sauté aux yeux. Son dessin a pris une forme extraordinaire depuis Mary la Noire, il est plus clair, plus lumineux, sensuel, tout en restant illustratif, avec des décors incroyables et certaines cases remplies de petits détails ; il transcende cette histoire fantastique et lui donne beaucoup de caractère. L'univers au ton celtique englobant le mystère, la magie, l'onirisme, les légendes enfouies dans cette Irlande fascinante est si plaisant que dès ce tome 1, on est conquis, si bien qu'à la fin, ça donne envie de continuer, l'auteure ayant amorcé quelque chose d'indicible. Mais hélas, ce qui avait débuté par du rêve poétique, se complique un peu dès le tome 3, et de plus en plus dans les albums suivants. Le récit devient confus, avec ce mélange hétéroclite de mondes et de divers aspects fantastiques ; j'étais perdu et parfois ne comprenais pas grand chose, si bien que le dernier tome m'a fait décrocher, d'autant plus que ce tome 5 va à toute vitesse. Est-ce pour compenser une lenteur du début ? je ne sais pas, mais j'ai trouvé dommage que l'ensemble se saborde ainsi. J'avais l'impression que Magnin voulait regrouper toutes les facettes du fantastique, le traitement final s'en trouve affecté par ce procédé trop chargé, sans compter un épilogue peu convaincant. Cependant, je ne met pas une note négative car sur la globalité, je trouve cet imaginaire très riche. Et surtout, le dessin magnifie tout cela, il est vraiment merveilleux, certaines grandes cases sont décoiffantes, des cadrages et des mises en page audacieuses, la colorisation... tout ceci laisse un peu pantois, c'est des atouts importants. La seule chose que je regrette, c'est que F. Magnin n'ait pas choisi un traitement de son histoire un peu plus simple. Je pense que j'aurai du mal à relire cette Bd.

18/03/2015 (modifier)
Par Spooky
Note: 3/5
L'avatar du posteur Spooky

Une évidence s'est très vite imposée à moi à sa lecture : Florence Magnin a un talent énorme. "Vieille" routarde de l'illustration (notamment en fantasy), il est évident qu'elle est très attirée par les décors brumeux (donc britanniques), les périodes un peu naïves, rêveuses ; ainsi en atteste une bonne partie de ses planches, aux dominantes vertes et bleues, symbolisant l'espoir et le rêve. En tous les cas, c'est comme cela que je le ressens, car ce sont mes couleurs préférées. Et qu'importe si elle fait des erreurs de perspective ou de proportions ici ou là, on est envoûté par ces tons lumineux. De même pour le scénario, on suit les traces d'Emilie pour parvenir à ce château dont elle hérite, traversant les légendes de l'ancienne Angleterre, avec ses fêtes païennes et ses personnages énigmatiques. Après la lecture du tome 2, l'empreinte rétinienne persiste : c'est vraiment très beau. L'ensemble baigne dans une ambiance onirique vraiment unique. Ce tome 2 pose encore plus de questions que le 1, et l'attente n'en est que plus grande ! La lecture du tome 3 ouvre encore plus de perspectives... Magnin multiplie les pistes, ouvre l'appétit, et prouve (une fois de plus) qu'elle est capable de tout dessiner merveilleusement. La lecture des tomes 3 et 4 permet d'affiner encore l'avis... "L'Héritage d'Emilie" échappe à bien des classifications, puisque la série oscille entre conte, fantasy, fantastique avec des morceaux de SF dedans... Mais après la (re)lecture de l'ensemble, le constat est clair : c'est globalement beau, le traitement des couleurs est curieusement irrégulier, et... je n'ai au final pas compris grand-chose. Je pensais en avançant dans l'histoire que les zones d'ombre trouveraient leur explication au fur et à mesure, mais l'assemblage des briques par Florence Magnin ne donne au final... qu'un pan de mur, avec des trous.

11/05/2004 (MAJ le 14/06/2014) (modifier)
Par Pierig
Note: 3/5
L'avatar du posteur Pierig

Première oeuvre de Florence Magnin de lue me concernant et je suis d’emblée séduit par le talent graphique de celle-ci. Les planches valent surtout le coup d’oeil pour la mise en couleur qui est tout simplement magnifique. Les origines d’illustratrice de cet auteur sont clairement palpables. Par contre, je serai plus mitigé concernant son talent narratif. Certes, c’est bien écrit et agréable à lire. L’histoire se laisse donc suivre tout en gardant son petit lot de mystères mais je trouve qu’elle manque de relief. L’essence de ce récit me fait penser à Balade au bout du monde. Toutefois, le talent de Florence Magnin ajoute une touche de poésie bienvenue. MAJ de 2013 En 2005, la lecture des deux premiers tomes m’avait laissé sur une bonne impression (comme beaucoup d’ailleurs !). La lecture de la série entière est l’occasion de mettre à jour mon avis. Ayant parcouru les avis ci-dessous avant d’entamer la lecture, je savais à peu près à quoi m’attendre. Et je dois dire que le glissement fantastique vers SF entamé dès le 3e opus ne m’a pas choqué outre mesure. Il s’imbrique même fort bien avec les 2 premiers tomes en ajoutant une dimension supplémentaire au récit. Les motivations de chacun se font jour progressivement et sans heurt et ne sont pas capillotractées (ce dont j’avais un peu peur). Par contre, le rythme lent des premiers opus s’accélère brusquement dans le dernier tome en usant allègrement d’allers-retours spatiotemporels où chacun essaie de sauver sa peau. Bref, la confusion règne. Le final brouillon me laisse donc un peu sur ma faim. Côté dessin, c’est très esthétique et détaillé. Je trouve toutefois les décors plats car trop lisses, trop propres. A titre d’exemple, les contours du manoir sont trop rectilignes, comme si dessinés avec la latte d’un architecte. Bref, assurément de belles planches mais qui manquent d’âme … Finalement, aucune série de Florence Magnin ne m’aura convaincu, si ce n’est Mary la Noire. Et encore, c’est certainement mon intérêt pour la flibusterie et la qualité des illustrations qui m’ont porté car le final est un peu rude. Bref, j’ai l’impression d’un talent gâché … On ne s’improvise pas scénariste, mieux vaut se faire écoler.

12/01/2005 (MAJ le 24/10/2013) (modifier)
L'avatar du posteur Little Miss Giggles

Mouais... j'ai été étonnée en voyant que 2 personnes avaient mis "culte" à cette série. Mais j'ai vite compris après avoir lu ces avis qui ont été mis après les 2 premiers volumes de la série. Si toute la série avait été du niveau de ces 2 premiers volumes, j'aurais certainement mis un 4/5 mais malheureusement l'histoire chute déjà dans le 3ème. Ca devient vraiment du grand n'importe quoi et j'avoue que j'ai eu beaucoup de mal à terminer les volumes 4 et 5. Je suis allée jusqu'au bout en espérant une fin digne du début mais c'était vraiment le foutoir. On avait l'impression que Florence Magnin avait trop d'idées qu'elle a absolument voulu toutes mettre dans sa BD, peu importe si le mélange était un peu trop lourd. Et malheureusement pour moi, même si je trouve le dessin de Florence Magnin très beau, lumineux et très détaillé, il ne l'est pas assez à mes yeux pour sauver un scénario assez catastrophique. Les 5 volumes sont partis dans la caisse de BD à revendre...

17/04/2013 (modifier)
L'avatar du posteur Fanfan Villeperdue

Nous voilà plongé dans un récit à l'imaginaire foisonnant, aux dessins magnifiques. Le récit mélange des éléments venant de plusieurs genres différents, mais curieusement cela ne m'a pas dérangé, au contraire. Peut-être est-ce la somptuosité du dessin qui permet de faire le liant dans tout ça. Je conseille l'achat : on relira cette histoire avec plaisir, autant pour remettre en place les pièces du puzzle scénaristique que pour se délecter des superbes planches de Florence Magnin.

08/08/2012 (modifier)
Par Blue boy
Note: 3/5
L'avatar du posteur Blue boy

Florence Magnin est sûre de son talent, et généreuse aussi. Du coup, elle se surpasse et nous en met plein les mirettes avec ses univers merveilleux, et c’est vraiment très agréable à regarder. Si le dessin n’a rien d’exceptionnel tout en restant agréable, sa virtuosité en matière d’aquarelle produit un résultat véritablement féérique. Mais une telle démonstration finit par avoir les défauts de ses qualités, l’auteur veut tellement donner qu’elle a tendance à partir un peu dans tous les sens, égarant le lecteur avec un scénario parfois confus et lourdaud, avec moult allers-retours temporels, où des mondes fantastiques s’entrecroisent jusqu’à frôler le kitsch grotesque d’une fête foraine, dans un genre de Grand Huit à vous filer la nausée : On passe de Star Wars au Nom de la rose, en passant par le Seigneur des anneaux, Dracula, Les Aventuriers de l’arche perdue, Voyage au centre de la Terre, et Alien version plante carnivore... Du coup, on en vient à regretter la simplicité de L’Autre Monde, qui avec un univers « unique » (et tout aussi enchanteur) mais surtout plus cohérent, suffisait à nous faire rêver. Il n’y a toutefois pas lieu de cracher dans la soupe, et cet « Héritage » est plutôt de bonne tenue, mais d’après moi l’histoire tend à s’essouffler tout au long de ces cinq tomes ambitieux, se diluant dans une sorte de rêve éveillé où le scénario frôle la surcharge, privé de rebondissements assez forts pour nous tenir en haleine. Je reste donc mitigé, car d’un côté je trouve qu’on ne peut que ressentir de l’émerveillement mais de l’autre, l’intrigue parfois poussive a provoqué chez moi quelques bâillements... Impossible du coup de dire si un tome est meilleur qu’un autre…

08/05/2012 (modifier)
Par Miranda
Note: 2/5
L'avatar du posteur Miranda

Je suis d’accord avec tous ceux qui n’ont pas trop apprécié la série, c’est un mélange des genres assez indigeste. J'ajouterais que personnellement le personnage d’Emilie m’a tapée sur les nerfs, agaçante et capricieuse. Elle hérite d’une maison somptueuse alors qu’elle est fauchée et à cause d’une toute petite contrariété elle veut rentrer chez elle et laisser en plan son héritage, cela arrive au début de l'histoire et c'est mal barré pour que j'apprécie la lecture, ce genre de personnages fait partie de ceux que j'ai envie d’encastrer dans le mur. Elle n’a pas l’air non plus très étonnée de toutes les choses fantastiques qui arrivent autour d’elle, encore une fois elle donne envie qu'on la secoue. Finalement c‘est le côté science-fiction qui m‘a le plus plu, mais c‘est aussi le moins développé et qui arrive trop tard. La série est beaucoup trop longue, trois tomes auraient suffit, malgré que le dessin fabuleux de l’auteure soit toujours un plaisir pour les yeux. J’attends donc la prochaine production de Florence Magnin et je me console avec son sublime L'Autre Monde.

05/09/2010 (modifier)