Les Bijoux de famille
Polar déjanté où quatre malfrats (un petit, un gros, un pédé et un à poil) déguisés en Simpson s'emparent de bijoux d'une grande valeur.
Institut Saint-Luc, Liège Les petits éditeurs indépendants Requins marteaux
Les esprits ravagés de nos deux compères nous offrent un polar déjanté où quatre malfrats (un petit, un gros, un pédé et un à poil) déguisés en Simpson s'emparent de bijoux d'une grande valeur. S'ensuit une poursuite infernale où nos héros croisent une jeune autostoppeuse superbe et néanmoins nymphomane, un toubib docile et quelques flics énervés. Textes de l'éditeur
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Date de parution | Janvier 2001 |
Statut histoire | Série terminée 2 tomes parus |
Les avis
C'est un polar noir. Voilà, tout est à peu près dit. On y retrouve la plupart des classiques du genre, des malfrats, un gros casse, un butin, des morts, un peu de sexe, des flics, des personnages tous un peu déjantés ou du moins très marqués au niveau personnalité, puis ensuite une vengeance et bien sûr beaucoup de morts, si possible violentes. Je n'aime pas vraiment les polars et j'ai trouvé que celui-ci n'apportait rien de neuf au genre qu'il s'agisse du premier ou du second tome. Il y a quelques tentatives d'humour pour essayer de rehausser l'ensemble, mais il tombe à plat et je le trouve souvent vulgaire ou cliché. Et puis surtout, je n'aime pas le dessin. Je déteste l'encrage aux allures de crayonnés informatiques approximatifs et anguleux. Je n'aime pas du tout les pixels noirs disséminés ça et là qui donnent une allure artificiellement "sale" aux aplats de couleurs. Et pour finir je trouve les personnages laids. Seules les bagnoles sont plutôt bien dessinées. Bref, j'ai lu cette bande dessinée sans passion aucune, comme un divertissement qui fait passer le temps mais ne m'a ni amusé ni intéressé.
Un polar noir et sans concession, bien dans la veine de ce que peut publier les requins marteaux. En soi, cette série n’a rien d’indispensable. Mais je suis bien rentré dans le récit de Witko qui est à la limite de la caricature du genre. Le dessin de Papazoglakis joue aussi beaucoup sur le ressenti final car sa noirceur s’accorde parfaitement avec le ton de l’histoire. Cette série est pourtant dispensable à mes yeux (comme beaucoup d’autres bds) car, en toute objectivité, elle n’apporte rien de neuf. Elle se contente d’utiliser, avec beaucoup de savoir faire, les codes du genre. Ca s’entretue pour une histoire de . . . bijoux de famille ! Bref, un bon trip . . . Un peu trash toutefois.
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