Voodoo Child

Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)

Un enfant métis est tué à la fin de la Guerre de Sécession. Il ressucite une siècle plus tard, pour accomplir une vengeance...


Les petits éditeurs indépendants Séries avec un unique avis Vaudou Virgin Comics / Liquid Comics [USA] - Dixie, le Sud-Est des USA

A la fin de la Guerre de Sécession, Mason Moore, sympathisant unioniste, est tué par un groupe de séparatistes et son fils gravement blessé. Ce dernier est sauvé par un prêtre vaudou. Nouvelle-Orléans, 2005. Quatre mois après la plus grande catastrophe naturelle de son histoire, causée par l’ouragan Katrina. Des jeunes filles disparaissent dans les rues alors que sévit une violente guerre des gangs. Quand l’inspecteur Robert Julien commence son enquête, il découvre l’existence de l’Enfant Vaudou, une entité entre la vie et la mort.

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 26 Mars 2008
Statut histoire Série abandonnée 2 tomes parus

Couverture de la série Voodoo Child © Fusion Comics 2008
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)
Cliquez pour afficher les avis.

31/03/2008 | Spooky
Modifier


Par Spooky
Note: 3/5
L'avatar du posteur Spooky

J’ai tendance à me méfier des productions signées par les vedettes du cinéma, dont Virgin Comics semble s’être fait l’éditeur préférentiel. Après John Woo et Guy Ritchie, voici donc Voodoo Child, le personnage imaginé par l’acteur Nicolas Cage et son fils Weston. Un personnage issu de l’imaginaire vaudou, que la catastrophe de l’ouragan Katrina permet de mettre en lumière. Le scénario est confié à l’Anglais Mike Carey, qui s’est illustré sur "X-Men", "Sandman présente" ou encore "Hellblazer". Pas un débutant donc, et qui écrit pour Dean Ruben Hyrapiet, encore un artiste indien débauché par Virgin Comics (dont l’équipe dirigeante est indienne). Le résultat ? Un personnage assez intéressant, encore assez peu développé dans le tome 1 (6 tomes sortis jusqu’en décembre 2007), mais de quoi s’intéresser à la Nouvelle-Orléans. L’histoire est assez confuse, mais on a droit à un mélange entre les films The Crow et Candyman. Les ambiances sont assez réussies, les personnages aussi, mais le dessinateur a une fâcheuse tendance à utiliser des cadrages « penchés » sans que cela se justifie vraiment. Seul reproche, la lecture est plutôt rapide, et l’on n’a pas l’impression d’avoir eu beaucoup d’informations dans le premier tome. A suivre cependant.

31/03/2008 (modifier)