City Hunter
Les multiples aventures de Ryo Saeba, "nettoyeur" le plus craint du milieu de la pegre, mais aussi coureur de jupons infatiguable. De l'action, mais surtout beaucoup d'humour !
BDs adaptées en film Génération Albator Les meilleurs mangas policiers Manga : 1996/97, l'explosion Policier, mais drôle Shonen Shueisha
Ryo Saeba, Alias City Hunter, "nettoyeur" professionnel, garde du corps, ses activités sont multiples. Il a aussi pour surnom "l'étalon de shinjuku", sa réputation de dragueur est connu de tout les quartiers chauds de Tokyo. Une nuit, son partenaire est assassiné par un puissant cartel de la drogue. Ryo lui promet de s'occuper de sa soeur Kaori, qui devient alors sa nouvelle partenaire. Mais cette derniere a du mal supporter l'attitude de Ryo dans son travail, qui passe le plus clair de son temps à draguer ses jolies clientes. Vous connaissez déja certainement cette BD par son adaptation en dessin animé, renommé "Nicky Larson" à l'occasion de son adaptation francaise. A l'image de cette série animée, la BD est une succession d'histoire "policiere" à l'humour omniprésent.
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Date de parution | Avril 1996 |
Statut histoire | Série terminée (32 tomes + 3 hors-série) 32 tomes parus |
Les avis
Au départ, City Hunter devait être plus sombre, à l'image des 2 petites histoires hors série (2 pilotes en quelque sorte). D'ailleurs, les premiers récits de la série le sont plutôt (sombre). Mais l'éditeur a demandé (exigé serait plutôt adéquat) que la côté gaudriole soit plus prononcé, et Tsukasa Hojo s'est exécuté, en relatif débutant qu'il était (même s'il avait déjà dessiné Cat's eye, un joli succès), et sans doute en tant que simple employé, si j'ai bien compris. Petit à petit, le succès aidant, Tsukasa Hojo arrivera à reprendre la main sur sa création, ce qui est évident sur les derniers volumes qui suivent visiblement une trame bien définie. Par la suite, échaudé par cette mauvaise expérience, l'auteur s'arrangera à garder le contrôle de ses créations. Pour la petite histoire, CH aurait dû continuer, mais l'auteur en a décidé autrement, dessiner une fin et disparaissant momentanément dans la nature avec femme et enfant (comme un certain "Akira Toriyama"). La série CH est donc l'affrontement de 2 tendances pas toujours conciliables, celle de Hojo et celle de l'éditeur. Angel Heart donne une petite idée de ce que City Hunter aurait pu être vraiment. Ceci dit, l'auteur aura eu l'occasion de se faire la main, de perfectionner son graphisme et sa narration sur cette série. En clair, CH fut très formateur, et les séries que produira par la suite Tsukasa Hojo bénéficieront de cette ''formation''. Comme les autres avis ont allègrement décrit le contenu de cette série, je n'ajouterai rien à tout ce qui a déjà été dit. Sauf que je possède tous les tomes, du 1er au dernier.
Quelle déception ! Moi qui étais fan du dessin animé pendant ma jeunesse, j'attendais beaucoup de cette lecture, une sorte de retrouvaille avec Nicky Larson, un retour en arrière... Malheureusement, malgré une certaine insistance de ma part, à aucun moment je n'ai retrouvé le charme du dessin animé de mon enfance, ou alors tout simplement, je suis déjà devenu un vieux con insensible à cet humour potache. Les intringues sont insignifiantes, forcées, incrédibles, lourdes, je me suis vraiment ennuyé. Concernant la touche humoristique, elle n'a pas fait mouche, même si les gags ciblent un peu plus le public adulte que le dessin animé, notamment du fait de son caractère grivois plus prononcé. Bref, je n'ai même pas réussi à lire un tome en entier, j'en ai essayé des différents, mais rien à faire, toujours le même constat... Dommage. (224)
Après la lecture d'une dizaine de tomes. Un bref résumé mais sûrement inutile vu que tout le monde doit avoir au moins une fois entendu parler de cette série ou de son homologue télévisuel "Nicky Larson". Dans cette série nous suivons le quotidien du meilleur détective privé de la ville Ryo Saeba, un as de la gâchette mais aussi un dragueur pervers invétéré. Avec son assistante Kaori ils vont résoudre les divers problèmes de tous ceux qui leur demandent de l'aide. La grande force de cette série c'est incontestablement son humour qui tient ici une place prépondérante, tout réside dans des situations comiques tapant souvent en dessous de la ceinture grâce à la perversité sans fin du héros ou dans la diversification des punitions infligées par sa partenaire ; le tout dans une ambiance continuelle délirante même si on sait redevenir sérieux lorsqu'il le faut. Aussi tout le long on se marre bien malgré une certaine tendance à la répétition des effets comiques. Le plus gros problème réside dans le scénario en lui même ; il n'y a pas vraiment de trame de fond, ce n'est qu'un enchaînement d'histoires courtes se déroulant trop souvent pareil. En gros une belle jeune femme, harcelée par des méchants vraiment très vilains, débarque et demande de l'aide à notre héros qui va régler son problème à grands coups de revolver non sans l'avoir un peu taquinée au passage. Cette répétition dans la mise en scène pousse le lecteur à une certaine lassitude et pour moi, seules les histoires parlant du passé de Ryo sortent un peu du lot. Autre côté négatif ; notre héros doit être atteint du même syndrome que Jean-Claude Dus dans les bronzés parce qu'il n'arrive jamais à conclure, ce qui s'avère plutôt frustrant. De plus je trouve fort dommage que la relation ambiguë qu'entretiennent les deux personnages principaux ne trouve, elle aussi, pas d'évolution ou de dénouement correct ; à noter toutefois que je n'ai pas lu la fin de la série et donc qu'il subsiste dans mon esprit un mince espoir. Bref une série policière humoristique assez sympa mais dont il ne faut pas trop en attendre au niveau scénaristique et dont il vaut mieux espacer la lecture des divers tomes afin de les apprécier d'avantage.
Pour résumer mon sentiment, je dirais "franchement pas mal du tout" mais avec quelques longueurs et abus de comique de répétition qui lassent un peu vers le milieu de la série. Heureusement, le final est excellent et termine la série en beauté. Graphiquement parlant, Hojo au cours de ces 32 tomes (pour la réédition DeLuxe) est vraiment au sommet de son art : c'est précis et détaillé et il manie et mêle réalisme et super déformations avec beaucoup de justesse. Côté scénario, il faut bien avouer que les récits se suivent et se ressemblent, il y a beaucoup d'ingrédients que l'on retrouve systématiquement d'une histoire à l'autre, et quand on ingurgite les 32 tomes à la suite (ou presque), il y a parfois indigestion. Heureusement, certaines histoires sortent du lot, celles notamment qui nous apprennent des choses sur la vie passée de nos héros et leurs anciennes fréquentations. Le plaisir de lire fluctue donc au cours de la série, mais la fin est très prenante, avec de surcroît un retournement de situation fort bien trouvé et très drôle. Au final je ne retiendrai pas forcément toutes les histoires que j'ai lues, mais comme souvent dans ces séries à rallonge, je garde un certain attachement pour les personnages qui les ont vécues (Ryo, Kaori mais aussi Umibozu pour ne citer qu'eux). Concernant le conseil d'achat, 32 tomes à 10 euros c'est un budget… essayez plutôt de trouver quelqu'un qui l'a pour vous la faire prêter, c'est ce que j'ai fait !
Mouais, c’était sympa, mais cela m’a quand même semblé terriblement répétitif, non ? Moi qui suis également de la génération « Club Dorothée », et qui apprécie le genre policier, je me suis lassé des petites histoires de Ryo. Pourtant, un humour parfois graveleux ne me dérange pas… Alors pourquoi mettre trois étoiles ? Parce que je pense que cette série a nettement plus de charme quand on lit une histoire de temps en temps, comme un petit moment de détente que l’on souhaite quand on a quinze minutes à tuer. À ce moment-là, la série dévoile, selon moi, plus de charmes : des petites histoires policières « sans prise de tête », un héros ultra parfait dans sa tactique d’intervention (et dans son obsession sexuelle), certains personnages bien caractérisés et un humour simple, un peu « ras », mais tellement drôle. Concernant le dessin, je le trouve plutôt réussi, même si les personnages et les tenues font parfois un peu trop rétro. Je n’apprécie par contre pas la pseudo mise en couleurs « rosâtre-orangée » des quelques premières pages des albums en édition de luxe. Qu’est-ce que l’éditeur a essayé de faire ? Moi pas comprendre… En conclusion, la série est divertissante à petites doses. Je n’en conseille cependant pas l’achat (calculez : 9.95 euros/l’album x 26 tomes parus), l’investissement étant trop important par rapport au contenu. À découvrir si vous aimez le second degré...
Un des meilleurs mangas policiers que je connaisse et sans aucun doute la meilleur série de Hojo. Les enquêtes de Ryo sont bien menées, souvent originales et ne sont qu'un prétexte à une série de gags délirants. Enfin, pendant les 20 premiers tomes car après Hojo va préférer le thriller et les émotions, mais ça ne change rien à la qualité même si ça déçoit sur le coup. J'aime bien le dessin de Hojo et notamment lorsqu'il dessine des expressions exagérés. J'ai tout de même un reproche. Les têtes des femmes se ressemblent trop souvent et j'ai eu quelques fois des difficultés à identifier un personnage féminin. Et puis je me demande comment on peut prendre Kaori pour un garçon avec la tête qu'elle a après les premiers volumes. Les personnages sont pour la plupart loufoques, surtout les secondaires et les méchants qui sont souvent ridicules pour mon plus grand plaisir. Un bon manga qui mélange l'humour et le policier.
City hunter, le manga dont a été tiré le célébrissime Nicky Larson est une œuvre en cours de ré-édition. Et je ne saurais trop vous conseiller de préférer la ré-édition à l'édition originale de "J'ai lu" tant cet éditeur à massacré l’œuvre de Tsukasa Hôjô. Qualité de papier ignoble, découpage tronquant parfois les pages, bulles inversées, surimpression de caractères latins sur les idéogrammes rendant les 2 illisibles, redécoupage de l’œuvre (passage de 35 à 36 tomes), suppression de pages initialement en couleurs... etc. etc. Difficile de faire un réquisitoire plus accablant. La série commence de façon un peu différente de l'anime et s'y adapte petit à petit pour finir par devenir un calque parfait de l'anime du tome 15 au 32 (environ). C'est fort dommage car dans la première moitié de l’œuvre, l'ambiance est un peu différente et apporte réellement quelque chose de plus : Ryô est alors un obsédé pur et simple, ses "coucous" sont omniprésents (comprenez : érections avec une bulle "coucou" bien placée) et je me souviens d'une scène qui m'a vraiment tordu de rire : imaginez Ryô épiant un méchant par une fenêtre, la tête en bas et retenu à l'immeuble par un de ces fameux "coucou" en question... Les coups de marteaux n'arrivent également que plus tard et dans cette première moitié de l’œuvre Ryô ne fait pas semblant d'être obsédé pour masquer un grand sérieux et un grand professionnalisme : il est obsédé ! Puis l’œuvre perd de son anti-conformisme en collant à la série. Les coups de marteaux se succèdent de façon lassante, les coucous ont disparus... Les histoires étant strictement les mêmes que l'animé et la lassitude faisant, je n'ai pas trouvé les tomes 20 à 30 indispensables du tout. D'autant plus que les histoires ont souvent beaucoup en commun et ne sont pas toutes très originales. Enfin les 4 derniers tomes mettent progressivement en place le dénouement de l’œuvre. Avec une fin que j'ai trouvée, dans sa forme, extrêmement bien faite (la fin est muette, pas une bulle sur les 10 dernières pages). Cela donne un sentiment d'éternité particulièrement réussi à mon gout. Je me rends compte que je n'ai pas encore parlé du graphisme. Eh bien, pas de surprise c'est du Tsukasa Hôjô. C'est beau, c'est très détaillé mais tous les personnages féminins ont tendance à se ressembler beaucoup. Je vous conseille l'achat des premiers tomes et, dès que la lassitude s'installe, de sauter aux 4 derniers tomes, vous ne perdrez rien à l'histoire et éviterez une certaine monotonie. Mais surtout : privilégiez la ré-édition ! Toutefois fuyez l'art book City hunter X qui n'est qu'un vulgaire recueil sans intérêt d'illustrations (voire des couvertures) déjà parues dans les tomes en vente.
Bien sûr on connait tous bien l’animé du Club Dorothée connu sous le nom de « Nicky Larson ». C’est justement dans cette optique que j’ai commencé cette série, car j’étais un grand fan de l’animé. Je ne suis qu’au 6ème volume de la version Deluxe qui en comporte 32, je crois. Mais dieu merci le manga dépasse largement l’animé qui était plus soft. Là aucune retenue pour ce héros complètement obsédé et frustré qui se la met souvent derrière l’oreille pour la fumer plus tard. Ryo (le héros) est à mon goût un peu trop parfait, un peu comme le héros de Crying freeman sauf que lui, il conclut avec les nanas. Bref, le scénar est bien ficelé. Je trouve que chaque contrat qu’il accepte est original dans le déroulement et la fin et toujours bien sympa. Les dessins sont super bien faits, les filles sont très mais alors très sexy. En revanche je trouve un peu prohibitif le prix de ce manga, car 2 ou 3 pages en pseudo couleur ne justifie certainement pas 9.5 euros.
Quand j’ai abordé cette série, j’ai d’abord été rassuré par une préface de l’auteur qui disait qu’il allait nous présenter un héros avec des défauts et qu’il fallait qu’on soit indulgent. Je me suis alors dis que cela ne serait pas un de ces héros sans reproche à la fois charismatique, grand et beau. Bref, je m’attendais à un personnage tourmenté avec une psychologie pour le moins intéressante. Que nenni ! Nous avons droit à un goinfre des hamburgers doublé d’être un peu obsédé avec les femmes…N’empêche qu’il mérite bien les coups de massue qu’il reçoit ponctuellement de la gente féminine ! Et dire que ce n’est que cela la marque de fabrique de cette série. Les situations sont si sommaires que je me suis demandé où pouvait se situer l’engouement pour une telle série. Les méchants sont très vilains. Il n’y a pas de demi-mesure. Pas ma moindre tentative d’explication. Les petites histoires se suivent et se ressemblent toutes. Le dessin est correct puisqu’il se base surtout sur la gestuelle des intervenants. Tout est prétexte à un gag pour souligner l’humour de cette série. C’est divertissant mais sans plus. De manière générale, je n'aime pas quand un manga possède plus de 12 tomes. Cela devient une lecture sans fin qui n'apporte pas d'intérêt.
Plus connu dans nos contrées sous le nom de Nicky Larson, Ryo Saeba est un nettoyeur, un tueur professionnel et accessoirement garde du corps (de très près qu’il les garde, les corps :D). Mais il a un gros défaut: il aime les femmes, beaucoup, très beaucoup, énormément même… en clair, c’est un vil obsédé sexuel! Pas pervers pour un sou, il se contente juste de vouloir tirer son coup avec à peu près tout ce qui passe devant lui de bien foutu, du moins tant que ça a plus de 18 ans! Il a un coéquipier qui se fera assassiner par des gros méchants et accessoirement remplacer par sa jeune demi-sœur, Kaori, qui tombera amoureuse de notre dragueur… vous l’aurez compris, grosso modo, tout ceci n'est que le prétexte à une histoire d’amour... Des petites histoires gentillettes, pas transcendantes, mais qui finalement reviennent toujours au même. Des personnages sympathiques, qui prennent petit à petit de l’épaisseur. Il ressort généralement de tout ça que Ryo est un tueur qui ne tue pas vraiment, préférant laisser à la justice la tâche de châtier les coupables si nécessaire, que malgré son empressement à sauter sur toutes les jolies filles, il n’en aime qu’une seule, qu’il faut être responsable de ses actes, qu’il ne faut jamais baisser les bras et aller de l’avant… etc, etc, etc. De bien beaux sentiments que tout cela… j’en fais mon œil tout mouillé, tellement c’est émulsifiant. L’humour est omniprésent mais tape toujours en-dessous de la ceinture, mais c’est pas scato, hein (et là, vous vous apercevrez que la version animée était particulièrement édulcorée…). C’est pas vraiment vulgaire, mais ça peut paraître particulièrement lourd pour certains. Ça reste quand même rigolo. Enfin… des fois :D Sinon, c’est très répétitif, parfois ennuyeux… disons qu’il ne faut pas trop rapprocher la lecture de deux volumes sous peine d’un rapide trop plein. D’un dessin pas terrible, on passe à quelque chose de plus consistant vers la fin, voire de pas désagréable. Mais vous me direz qu’en 36 tomes, l’auteur n’avait que ça à faire! Et gros défaut, les filles se ressemblent énormément, et la seule chose qui les différencie vraiment, c’est leur coupe de cheveux, pas pratique pour la lecture! Et puis, c’est pas toujours extrêmement lisible tout ça, à tel point que parfois, les planches font tellement peur (surtout quand on est fatigué), qu’on ne fait que les survoler… et on comprend que dalle! Autre problème, mais ça n’a pas vraiment de rapport avec la série, c’est que c’est adapté en Français par J’ai Lu, éditeur qui, afin de rendre accessible "l’ouvrage" au plus grand nombre, a lésiné sur la qualité du support: résultat, on s’en fout plein les doigts et on tache les pages :( C’est pas gégé, mais c'est divertissant, vous pourrez donc lire ça, peinards, pour passer le temps, et les curieux découvrirons un Nicky Larson un peu plus attachant que dans l’anime...
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