Anita
BD psychédélique sur l'addiction sexuelle d'une héroïne à la télévision puis au téléphone.
Auteurs italiens Hard & Soft, d'un érotisme à l'autre Phénix Rambla
Anita est une jeune femme sur qui la télévision dans le tome puis le téléphone dans les tomes 2 et 3 produit un effet hypnotique et ensorcelant. Anita en viens à perdre la tête et à se perdre corps et âme dans ces média. Du moins pour ce que je réussi à en comprendre !!
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Date de parution | Janvier 1981 |
Statut histoire | Série terminée 3 tomes parus |
Les avis
Voila le genre de Bd érotique typique que je n'aime pas, ce style précieux, classieux et bourré d'effets de styles graphiques avec des enchaînements multiples de gros plans encadrés dans de petites cases, ça devient vite pénible à lire, surtout que j'ai l'impression que Crepax fait tout ça pour se donner un genre et surtout ne pas faire comme les autres dessinateurs donnant dans le créneau érotique... en plus, c'est surréaliste et bizarre et ça n'apporte rien, cette fille qui joue avec son téléphone et qui accepte avec un plaisir non dissimulé les étreintes qui lui sont imposées ; en cela, elle est l'opposée de Valentina, l'autre grande héroïne de Crepax. Le style Crepax ne m'a jamais trop attiré, je n'aime pas ce nu trop sophistiqué qui traduit souvent un déséquilibre sexuel profond, je préfère le nu franc et surtout plus excitant, parce que là, je reste de marbre. Quand on voit Anita, il n'est pas étonnant que l'auteur ait ensuite adapté Histoire d'O, on y retrouve des déviances un peu semblables et surtout une utilisation des successions de gros plans en petites cases, cette technique lui étant familière. Pourtant je reconnais à Crepax la beauté graphique de ses femmes, un certain style pictural, mais que tout ça est froid ! et que la jouissance a l'air triste et sévère...
C'est surréaliste et très zarbi, très original. C'est sûr que c'est pour un public averti, Crepax fait tout pour dérouter le lecteur, le plonger dans un univers surréaliste. Là où érotisme rime souvent avec mignon ou carrément porno, Crepax propose une alternative : non-sens, ouverture totale, déroute, irrationalisme. A lire pour tout vrai amateur de littérature érotique : Celui ou celle qui cherche simplement à gonfler sa libido en lisant de la bédé érotique ou porno, passez votre chemin !
Voici, chers internautes la plus mauvaise BD qu'il m'ait été donné de lire. Rien de moins. En tout cas à mon goût. Anita est une BD moche. Le dessin est laid, les décors sont... enfin "ne sont pas" car ils n'existent pas (un fond blanc uni ou noir uni, parfois un meuble -canapé ou lampe- et c'est tout.) Le découpage est incompréhensible, les expressions sont figées... Mais ce n'est pas ce qui vaut la palme de la pire BD à cette œuvre, non, non. C'est juste que j'ai rien compris à cette BD. Je crois que c'est sensé être de " l'art "... Le hic c'est que j'y comprends rien, ça n'a ni queue ni tête, les dialogues comme les images n'ont aucun sens, ne racontent rien, n'expriment rien... Des personnages apparaissent, disparaissent, tiennent des propos incohérents -- quand ils parlent --, les lieux, le temps changent d'une case à l'autre... J'ai la nette impression que sans être sous amphétamines, il est impossible de comprendre ce qui se passe dans Anita. J'ai fini en survolant ma lecture car l'envie de vomir commençait à me saisir...
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