Quelques pas vers la lumière

Note: 3/5
(3/5 pour 4 avis)

Un rendez-vous avec le passé familial...


Mon père, cet inconnu Quadrants

Elle s’appelle Marianne Bell. Elle est jeune, jolie, et habite Paris. Elle est employée au Jardin des Plantes. Un vie tranquille, intéressante même par de nombreux côtés. Seulement voilà : « on » ne sait pourquoi mais tous les cinq ans et sept mois, quelque chose d’important se produit dans sa famille. Des coïncidences ?… elle n’y croit pas. C’est comme un curieux cycle, et ça l’intrigue fortement ; un cycle dont la date est dans deux mois. Que va-t-il encore se passer cette fois ci ?… « On » verra bien… Mais pour l’heure la vie continue. Pas de chance : l’orage tombe sur Paris et Marianne manque de renverser un piéton avec sa voiture. Il apparait que l’homme est un ancien compagnon de son père, ayant servi dans la Royal Air Force. Son père… de nationalité anglaise… convaincu de trahison au cours de la Seconde Guerre Mondiale… un père sur lequel elle enquête. Curieuse, déjà, cette rencontre…

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 23 Janvier 2008
Statut histoire Série terminée 5 tomes parus

Couverture de la série Quelques pas vers la lumière © Soleil 2008
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 4 avis)
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17/06/2008 | L'Ymagier
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Une histoire qui rappelle Blake et Mortimer autant dans le graphisme que dans l'époque. Mais le plus est une dimension romantique qui manquait cruellement aux BD de l'époque (législation oblige). Les couleurs sont lumineuses et situent bien l'histoire dans les Indes de l'ex empire anglais encore bien présent. C'est une aventure comme les BD actuelles manquent car trop réfugiées dans le fantastique et la fantasy (Tolkien a trop marqué les esprits).

26/09/2010 (modifier)
Par L'Ymagier
Note: 3/5

Cette « géométrie du hasard» (titre du premier tome), c’est d’abord une jolie couverture « éclatée » qui m’a séduit l’œil. Ensuite ?… c’est la découverte d’une histoire assez linéaire qui aurait pu être traitée en moins des 48 pages ici présentées (quelques raccourcis, petites « coupures » qui auraient vivifié un scénario au développement un tantinet longuet). Mais tout ceci est racheté par un bien beau graphisme. Marchand joue ici d’un trait réaliste vraiment attachant, remplit ses cases d’une sorte d’atmosphère générale bien mise en scène par l’utilisation d’une gamme chromatique de couleurs « froides ». Marchand m’a emmené dans un curieux voyage où rêve et réalité se côtoient ; un voyage habilement réalisé (surtout le graphisme) et qui, normalement, devrait m’emmener par la suite au Népal. Un bon premier tome.

17/06/2008 (modifier)