Un Bouquet de fleurs rouges (Takahashi Rumiko Kessakushu - Akai Hanataba)

Note: 2.67/5
(2.67/5 pour 3 avis)

3ème volume de sa série de nouvelles, Akai Hanataba (littéralement « un bouquet de fleurs rouges ») nous offre une nouvelle fois une vue inimitable sur la société japonaise. Avec autant d’humour que de lucidité, Rumiko TAKAHASHI aborde le fossé des générations, l’absence de dialogue et l’incompréhension qui s’installent peu à peu dans les foyers.


La BD au féminin : le manga Rumiko Takahashi Seinen Shogakukan

3ème volume de sa série de nouvelles, Akai Hanataba (littéralement « un bouquet de fleurs rouges ») nous offre une nouvelle fois une vue inimitable sur la société japonaise. Avec autant d’humour que de lucidité, Rumiko TAKAHASHI aborde le fossé des générations, l’absence de dialogue et l’incompréhension qui s’installent peu à peu dans les foyers. Le temps, l'incompréhension, l'obstination, le fossé entre les générations, voilà les sujets de ces histoires courtes. Rumiko Takahashi nous donne sa vision du phénomène.

Scénario
Dessin
Traduction
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution Avril 2007
Statut histoire Histoires courtes 1 tome paru

Couverture de la série Un Bouquet de fleurs rouges © Delcourt 2007
Les notes
Note: 2.67/5
(2.67/5 pour 3 avis)
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19/06/2008 | Spooky
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Par Gaston
Note: 2/5
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Ceci est le troisième tome qui contient des one-shots de Rumiko Takahashi et ce n'est pas celui que je préfère. Hormis la très bonne histoire pleine de tendresse qui donne son titre à l'album, le reste m'a profondément ennuyé. On pourrait résumer chacune d'elle par 'On voit une relation entre deux personnes et c'est rempli de bons sentiments'. Les histoires sont très oubliables et ne m'ont pas captivé un seul instant (sauf bien sûr celle que j'ai nommée). Le seul intérêt que j'ai trouvé c'est de voir comment vivent les Japonais dans leur quotidien, mais moi à force de lire des mangas je sais pratiquement tout sur leur façon de vivre alors cet intérêt ne s'adresse qu'au novice en manga. C'est la deuxième fois que je suis déçu par Rumiko Takahashi. J'espère que son prochain manga (elle a fini Inuyasha) sera du niveau de Maison Ikkoku (Juliette je t'aime) ou Ranma 1/2 et pas du niveau de ses dernières productions.

23/09/2008 (modifier)

Rumiko Takahashi nous raconte ici, comme elle avait commencé à le faire avec son best seller Maison Ikkoku, la tranche de vie de Japonais "quelconques". C'est attendrissant, mais décousu (du fait qu'il s'agit d'histoires courtes indépendantes). Ce dernier point pourra en rebuter plus d'un, l'auteur(e) ayant plutôt l'habitude de nous fournir des histoires fleuve (et donc plus denses). J'avoue en tout cas y avoir pris beaucoup de plaisir, bien plus en tout cas que sur son récent Inu Yasha. Les deux autres tomes de la série (Le chien de mon patron et La tragédie de P. sont du même acabit).

19/06/2008 (modifier)
Par Spooky
Note: 2/5
L'avatar du posteur Spooky

Je n'ai pas lu les deux premiers tomes d'histoires courtes (Le chien de mon patron et La tragédie de P.) réalisées par Rumiko Takahashi, mais je trouve l'intérêt de celui-ci assez limité. Malgré le sujet traité, essentiellement le fossé entre l'homme japonais travailleur et l'ensemble de sa famille, j'ai trouvé les histoires bien fades, y compris celle où le héros se retrouve "obligé" de s'occuper de son père grabataire après l'hospitalisation de sa femme. L'essentiel des histoires sont des pensées, les personnages se posent pas mal de questions, mais je n'ai rien lu de vraiment excitant. Sur le plan graphique, je trouve le dessin de Takahashi assez quelconque, pas très soigné la plupart du temps. Je pense qu'il s'agit d'histoires courtes écrites et dessinées un peu à la va-vite, et du coup elles sont peu intéressantes. A réserver aux complétistes de l'auteur.

19/06/2008 (modifier)