Oeil de Perdrix
La première BD de Jacques Martin (Alix). Une grande aventure au pays des Indiens... (Publiée initialement sous le pseudonyme de Marleb)
Indiens d'Amérique du nord Jacques Martin Les petits éditeurs indépendants Ligne Claire Péchés de jeunesse Séries avec un unique avis
Œil de Perdrix est un jeune guerrier indien. De grand chef en grand chef, le dernier est dépositaire d’un secret : un trésor fabuleux caché dans un endroit secret, et dont le plan d’accès est dissimulé dans un calumet. Cela attise des convoitises, dont celles de deux visages pâles. L’un parvient à hypnotiser notre ami qui, inconsciemment, subtilise l’objet convoité. Mais il se retrouve néanmoins prisonnier des deux bandits et obligé de les suivre dans leur fuite. La tribu se met en chasse, poursuit les voleurs en canoé sur une rivière sauvage. Deux gardes forestiers entrent alors en scène. Le calumet est récupéré. Mais Domingo et Gonzales subtilisent à nouveau l’objet, le cassent et découvrent le plan du trésor. Mais le grand sachem, Œil de Perdrix et les gardes ont entamé une nouvelle poursuite. Parviendront-ils à arrêter les bandits ?… Et comment ?… Le trésor sera-t-il découvert ?…
Scénario | |
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Editeur
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Genre
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Public
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Type
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Date de parution | 1947 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
J’ai eu vraiment du mal à suivre cette histoire jusqu’au bout. « Œil de Perdrix » est la première création de Jacques Martin (Alix) qui signe ici sous le nom de Marleb. Cette histoire est parue dans l’hebdo « Bravo » en 1947 mais l’ensemble –attirant à l’époque- a vraiment pris un fameux coup de vieux. Tous les poncifs sont pourtant réunis : les indiens, un calumet volé qui renferme le plan d’un trésor, des mauvais, de braves soldats, des poursuites dans des décors « exotiques » MAIS : ce qui pouvait être exaltant et « comique » pour la jeunesse de l’époque se révèle très poussif et je ne me suis pris d’aucune réelle attirance pour le héros et ses aventures. Le dessin ?… rien à voir avec le « style Martin ». Chaque personnage est doté de grands yeux et, même si gestuelle et mimiques font se débattre les personnages dans moult situations qui se veulent comiques, le tout ne m’a tiré qu’un véritable ennui. Reste un album témoignage des débuts d’un des maîtres de la B.D. Mais vraiment sans plus. A noter qu’il existe une deuxième histoire parue dans « Bravo » : Le signe du naja. Mais elle n’a jamais été éditée en album.
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