Vinci
Abbaye de Vauluisant. 1519. Le roi François Ier confie à la discrétion des moines un mystérieux tableau, à ce point ignoble et dérangeant que personne ne devra plus jamais y poser le regard.
1454 - 1643 : Du début de la Renaissance à Louis XIII Léonard de Vinci
Cette toile, un portrait, a pourtant été peinte par un génie. Un homme célébré comme l'une des lumières de son siècle : Léonard de Vinci. Comment cet artiste total, à la sensibilité esthétique parfaite, a-t-il pu accoucher d'une oeuvre aussi torturée ? Et quel sombre secret François Ier veut-il éviter de voir répandu sur la place publique pour ainsi cacher la dernière toile de cet homme qu'il admirait par-dessus tout ? Peut-être faut-il pour le savoir remonter quelques années en arrière, en 1494, à Milan, à l'époque où démarra une étonnante série de meurtres impossibles, commis par un insaisissable tueur, le "voleur de visages". Artiste délicat et cultivé, au faîte de sa gloire, Léonard n'avait théoriquement aucune raison de s'intéresser à cette étrange affaire. Théoriquement...
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Date de parution | 10 Septembre 2008 |
Statut histoire | Série terminée 2 tomes parus |
Les avis
Un album à l'intrigue plus que complexe qui demande une bonne dose de courage pour lire tout ce texte. Un posteur précédent faisait un comparatif entre les couvertures et l'intérieur. Ben oui c'est vrai que l'on se retrouve dans de la BD à papa, faite à l'ancienne. C'est propre, efficace, le gars sait ce qu'est la perspective, la ligne de fuite et j'en passe, en ce qui concerne les architectures tout est au top. Alors pourquoi ce sentiment d'être en présence de quelque chose de vieillot, de suranné, le dessin dans son ensemble possède des qualités mais pas de celles qui font qu'une planche ou deux feraient bien accrochées dans le salon. Et surtout le texte, mais ce texte mes aïeux ! Trop c'est trop, j'avoue, j'en ai laissé de côté un bon paquet tant cela était indigeste à lire, en plus ça bouffe la moitié des cases et comme celles-ci ne m'ont pas touché plus que ça , voyez le dilemme. Au final une intrigue pas si extraordinaire que ça et que la virtuosité des études architecturales ne rachètent pas à mes yeux, je passe mon chemin et ne conseille donc pas l'achat.
Après le premier tome, je trouvais que cette série avait un très bon potentiel. Après le second et dernier tome, je suis un petit peu déçu mais je conserve une bonne opinion générale. J'ai immédiatement été frappé par le soin apporté au dessin des décors. Les vues de Milan, Venise, Florence ou encore Rome sont superbes. Nous sommes dans un classicisme en ligne claire à la manière d'un Alix de Jacques Martin et je trouve que ça claque carrément même si c'est un peu trop souvent un festival de lignes de perspective tracées à la règle. J'avais envie de voir les protagonistes voyager encore davantage pour découvrir les vues d'autres villes du 15e siècle. Par contre, le dessin des personnages est nettement moins maîtrisé. Ils sont raides et l'auteur cherche souvent à cacher leurs visages en les montrant de dos ou cachés, sans doute parce qu'il manque d'aisance technique sur ce plan. Si ces visages sont parfois réussis, ils sont aussi régulièrement assez laids. J'ai beaucoup apprécié l'histoire du premier tome, l'implication des lieux et personnages du 15e siècle en Italie et de Vinci lui-même et de son protégé Salaï dans une étrange histoire de meurtres assez sanglants. J'ai été un tout petit refroidi par le manque de réalisme de l'utilisation des inventions de Léonard : une aile volante capable de décoller plutôt que simplement planer, bof bof... Mais j'étais curieux de voir la suite. Le second tome m'a déçu parce que la révélation du mystère de ces meurtres tombe un peu à plat. C'est sensé être une histoire suffisamment incroyable pour estomaquer le Roi de France et même le Pape Borgias, et attirer leur compréhension et leur pardon. Mais cela se révèle être une vengeance assez classique et une mise en scène bien compliquée et s'étalant sur bien des années pour y arriver. Un petit peu déçu par le fond de l'intrigue donc, mais j'ai vraiment aimé cette plongée dans l'Italie du Quattrocento et Cinquecento et le soin apporté à ses décors et à la reconstitution académique de la vie à l'époque.
Entre thriller et récit historique, une intrigue alambiquée imaginée par Convard qui retrouve le brio de Le Triangle Secret en utilisant comme personnage de façon inattendue Léonard de Vinci (et une peinture que je vous laisse découvrir) au milieu de meurtres atroces et d'énigmes, et le tout raconté brillamment par le roi François Ier, cette narration ne manquant pas d'audace. Convard a recours adroitement à des ficelles éprouvées de polar historique ou moderne ; malgré cet aspect de déjà vu et le sentiment que la trame de l'histoire est vite suggérée, il ne reste au récit qu'à être suffisamment passionnant pour qu'on ait envie d'en connaître le dénouement (qu'on devine de plus en plus avant la fin). J'ai particulièrement apprécié la précision toujours aussi légendaire de Chaillet, surtout dans les décors de Milan, Venise ou Florence, son dessin est irréprochable, son trait plus épais, sa mise en page plus moderne, de même qu'il adopte la technique du dessin en double page, qu'il avait très peu utilisée jusqu'ici, seulement à de rares exceptions sur Vasco. Son style n'est ici plus redevable à Jacques Martin, il a bien évolué, même s'il garde un air de famille fidèle à cette Ligne Claire que j'aime. Un diptyque de qualité.
Un gros bof que ce diptyque, dont le second tome est au moins aussi décevant que le premier est prometteur. Car en effet, l'histoire commence bien, avec cette enquête policière sur des meurtres particulièrement sordides en pleine Renaissance, enquête à laquelle le génie Léonard de Vinci va participer L'enquête est bien menée jusqu'à ce que le scénariste fasse deviner au lecteur l'assassin, le faisant complice d'un des personnages. Cette construction du récit, qui suppose que le lecteur connaisse le coupable et devine comment il sera confondu, a déjà fait ses preuves. En gros, c'est uns histoire bien classique qui est proposée, les seuls éléments restant à découvrir sont les motivations du meurtrier d'une part, et si ce dernier sera démasqué d'autre part (mais la réalité historique rattrapera d'une façon ou d'une autre tout effort d'imagination du scénariste). Le premier tome est ainsi d'un classicisme rassurant, et introduire Leonard de Vinci dans cette intrigue apporte le petit côté de folie qui vient réhausser le calme apparent. Les dessins suivent un peu le même régime, avec un style un peu vieillot, un peu figé, qui ne commet pas d'erreur majeure si ce n'est celle de paraître démodé dès la sortie de l'ouvrage. Dans ces conditions, on se dit que la fin du diptyque viendra conclure de façon honorable cette histoire policière. Malheureusement, les maladresse s'enchainent dans le scénario c'est l'ensemble qui perd en envergure. D'une part, les motivations mêmes de cette série de meurtres sont un petit peu tirées par les cheveux et d'autre part, les révélations finales sont décevantes. L'enquêteur n'aura même pas la satisfaction de mener à bien ses investigations, le meurtrier se dénonçant et dévoilant tout de go ses motivations. Mais comme tout cela viendrait contrarier les biographies des uns et des autres, une petite pirouette permet à tout le monde d'oublier ce qu'il a vu et ce qu'il a entendu. Comme c'est pratique !Comme c'est pauvre ! Comme c'est frustrant ! Et puis, moins intéressé par le scénario, forcément, on prête plus facilement d'attention aux inexactitudes du dessin : ici, c'est un bras qui part de nulle part, là, c'est un regard dans le vide... Et on finit cet ouvrage sur ce second tome plus que décevant... On m'a appâté avec l'ingéniosité de Léonard de Vinci, on m'a déçu par un récit qui n'est pas à la hauteur de cette ingéniosité.
Comme l'a dit Chalybs, cette bd m'a bien surpris, le dessin à la Jacques Martin, avec une trame historico policière. Les aventures d'Alix m'ont toujours plu, donc je ne suis pas rebuté du tout. La qualité de recherche historique, qu'elle soit graphique ou scénaristique, m'incite à ne pas mettre moins que 3*. Mais franchement, le scénario est cousu de fil blanc et ce type de non suspens pour une histoire moderne de type thriller (même historique), c'est vraiment dommageable. Dès les premières pages et le premier meurtre, le lien est vite fait entre cette femme dont on ne voit jamais les traits et le découpage du visage. Le personnage du jeune Salai, qui finalement est le seul à amener un réel questionnement tout au long de l'histoire (relations avec Vinci, avec l'Ange) est éludé d'un revers de manche quand il faut accélérer l'intrigue. Enfin, pas assez de pistes historiques utilisées, dommage, cette période Borgiesque en contient tant. A lire mais pas à acheter.
Bon, voilà une nouvelle série qui me turlupine…Mon cœur balance, je ne sais trop quoi penser… Premièrement le dessin : Prenez la couverture. Franchement, quand vous l’avez dans vos mains, elle claque. Vraiment belle, avec un revêtement tout doux vraiment agréable, un rendu mat superbe et un découpage en 2 parties du plus belle effet ; T1 : la partie haute noire maculée de quelques taches de sang et la partie basse nous plongeant d’emblée dans l’ambiance feutrée et mystérieuse avec ces deux silhouettes perdues devant l’immensité d’une cathédrale. T2 : A la présentation légèrement différente du premier tome puisque maintenant, les tâches de sang troublent l’eau du bateleur…Comme quoi ce tome sang le dénouement et que tout devrait se mélanger pour mieux s’exprimer… Deux couvertures pleines de mystère, belles et vraiment modernes. En revanche, ouvrez ces albums et là, il vaut mieux être assis car on tombe de haut. Enfin, pour une série qui veut nous replonger dans les années renaissance vers 1500, c’est pas mal… Car le style du dessin date à peu près de cette époque là… Sans rire, le choc avec la couverture, de découvrir ce trait rappelant les albums de « Alix » ou « Lefranc » !!! des séries créées pour la première en 1956 ! un style vieillot et des couleurs tout aussi ternes. Alors, un saut sur la biographie du dessinateur, Gilles Chaillet, m’apprend qu’il a travaillé justement sur les deux séries précédemment mentionnées avec Jacques Martin…Certaines choses s’expliquent d’elles mêmes ! Alors, forcément, ce dessin à les défauts de ces qualités. Une finesse de trait qui n’existe plus que chez ces dessinateurs de la « vieille » école. Une précision dans le trait, notamment pour les architectures, diabolique, une maitrise des proportions, des perspectives, bref, un magnifique travail dans le genre. Mais forcément, le trait manque de vie, de dynamisme, les couleurs manquent de peps, de tonus, même si elles ne sont aucunement de mauvais goût. Juste une fois encore un travail à l’ancienne. Moi qui ai tendance à me plaindre des séries modernes, parfois trop pour moi, cette série moderne est trop ancienne pour moi…(me suive qui peut dans mon raisonnement…) Alors, acceptons les qualités du travail réalisé, la qualité des recherches effectuées afin de nous rendre une BD historiquement précise et occupons nous du scénario. Alors, surprise, « Vinci » aborde un passage de la vie inconnu de Léonard de Vinci. Convard, que je connais et apprécie pour des séries comme « Chats » ou « Neige » nous offre un début d’album plutôt sympathique dans lequel, le génie à la fois artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain né à Vinci le 15 avril 1452 et mort à Amboise le 2 mai 1519 nous apparait sous un jour nouveau. Un crime ignoble est commis et l’homme chargé de l’enquête lui demande son avis d’homme au regard précis. Mais le responsable de ces crimes ne reste pas mystérieux très longtemps, le secret est vite éventé, le scénario ne tient donc plus qu’au mystérieux tableau que François 1er tente de cacher. Le scénario devient rapidement linéaire et sans grand rebondissement. Aucune grosse surprise ne vient modifier le cours de l’histoire, de l’Histoire, ni du scénario. De l’Histoire car l’histoire de Vinci par Convard est suffisamment bien pensée pour expliquer pourquoi aujourd’hui, cette partie de sa vie n’est pas connue. Il n’en pas moins que le scénario est plaisamment compté et que l’histoire avec ce héros original et tourmenté retient mon attention. D’enquête, il n’est plus vraiment question, de scénario nous tenant en haleine, il n’est donc pas vraiment question. Non, mais en revanche, Convard a effectué des recherches historiques et cale sa trame sur des faits réels, donnant consistance et poids à son histoire. Se promener avec Léonard de Vinci dans ces rues est au final charmant, à défaut d’être trépidant. Convard ose s’attaquer au mythe Léonard De Vinci. Il ose lui donner une âme différente de ce que l’on s’imagine généralement de lui. Et je ne gâcherai pas grand-chose à le dévoiler (mais pour ceux qui n’ont pas encore lu le T1 ou sont vraiment naïfs cela peut-être un spoiler) Convard nous donne sa vision de l’origine de la Mona Lisa, et sa vision est créative. Convard ose faire commettre des actes inavouables à son héros, à ce Héros de tous les temps. Convard ose et finalement, plus que l’intérêt du scénario ou de l’intrigue c’est cela qui donne son véritable intérêt à cette série. Remettre en question Léonard, son disciple et son ange. C’est pourquoi je referme le 2ème tome plutôt heureux de ma lecture. Malgré une trame principale manquant cruellement de renouveau et d’originalité, l’utilisation de Léonard De Vinci, sa vision du personnage sont intéressantes et donnent tout le piment à cette œuvre. S’il s’agissait que de l’utilisation et de la vision du génie, ma note tournerait autour facilement autour de 4. Mais pour le scénario vite percé à jour et pour le dessin d’une autre ère, ma note finale est donc diminuée.
Deux valeurs sûres du monde de la bande dessinée nous offrent un récit... dont la seule originalité provient du personnage central. Léonard de Vinci est donc mis à contribution pour une histoire de vengeance d'une telle banalité que je ne peux que la trouver indigne du talent du duo Convard – Chaillet. Restent donc l'évocation historique et le trait classique et précis de Chaillet pour m'éviter de sombrer dans les bras de Morphée. Et c'est vrai que le contexte historique rigoureusement restitué est digne d'intérêt, et que les décors (surtout les divers bâtiments) sont plaisants à l'oeil. Mais quelle pitoyable banalité que cette histoire de vengeance !
C'est la deuxième bd que je lis où un grand personnage de notre culture est ainsi présenté sous les traits d'un meurtrier sanguinaire (voir Le Jeu lugubre où il est question du peintre Dali). C'est une véritable réécriture de l'histoire mais cela pourrait aisément être un récit véridique car on ne connaît jamais aussi bien les personnes. Le doute est permis. Ce diptyque est réellement bien construit et captivant à souhait. L'auteur Convard nous fait passer un excellent moment de lecture en poussant assez loin l'audace. Il y a du suspens mais surtout des surprises notamment quant à l'identité secrète d'un personnage non dévoilé ou du tableau que le roi François 1er tient tant à cacher au reste du monde. Par ailleurs, il y a une certaine cohérence des scènes assez bien respectées tout en étant inclus dans la réalité historique de l'époque. Il est dommage que le dessin soit si académique. Les personnages sont souvent figés. Par contre, cela va mieux au niveau des décors de Milan à Venise en passant par Florence. L'architecture est fidèlement reconstituée et on s'y croirait. Bonne mention également pour les deux couvertures. Les amateurs de la grande Histoire seront peut-être un peu choqué par cette relecture de la vie de l'un des plus grands génies et visionnaires de son siècle. Pour ma part, j'ai réellement bien aimé cette intrigue dont la conclusion répond en tout point à mon attente même si on pourra reprocher un manque d'originalité. Au moins, cela reste tout à fait crédible et cela jette même un trouble entre l'ombre et la lumière.
Mouais, bof. Ma première impression à la lecture de ce diptyque c'est que l'histoire, le dessin et la mise en page sont d'un classicisme bien ennuyeux. Quel gouffre entre le style de la couverture et ce qu'on trouve en tournant les pages ! Publicité mensongère serait le terme approprié. Bon, après tout, c'est un style qui peut plaire, faire du neuf qui ressemble à du vieux, ça peut être kitch mais sympathique quand ça ne se prend pas trop au sérieux, comme Le Mystère de la Traction 22 par exemple, mais là… Tout est figé, terne et sans surprise. La seule audace, c'est une case qui dépasse de 1 cm sous les autres ou une double page avec une case à cheval sur la tranche de la BD… Waaaaaaouh, c'est wizzzzzzzz ! Mais bon, soit, le style est une chose et si l'histoire est bonne ça peut tout à fait passer. Il m'est aussi arrivé de nombreuses fois de me laisser surprendre à apprécier un dessin vers lequel je ne serais pas allée a priori, simplement parce qu'il collait à merveille à l'histoire, pour peu qu'elle soit de qualité. Ce n'est pas le cas ici, le scénario ne rattrape rien : du mystère il y en a au début (du mystère qui surfe un peu sur la vague du Da Vinci Code mais bon) mais il n'y a absolument aucune surprise, aucune des révélations qui nous sont proposées au second tome ne vient contre balancer les évidences qui nous ont été données au cours du premier volume, c'est d'une linéarité démoralisante… Je ne vais pas jusqu'au 1/5 parce que, parce que, je ne sais pas trop en fait, peut-être parce que c'est un récit tellement peu enthousiasmant que je n'arrive même pas à le détester.
C’est ce que j’appelle de la bd commerciale mensongère. Une superbe couverture ; une première moitié noire mate avec une petite gerbe de sang : meurtre et mystère à venir ? Sur la deuxième moitié : une architecture de cathédrale avec deux personnages encapuchonnés au premier plan, conspiration ésotérique ? Peut-être, l’autocollant "par l’auteur du Triangle secret" pourrait le confirmer. Et un titre, Vinci, faisant référence au célèbre inventeur et rappelant irrémédiablement, Le Da Vinci code, le thriller ésotérique le plus célèbre. Tout cela est très alléchant. Donc, je la trouvais très belle cette couverture, sûrement parce qu’il s’agissait d’un décor. Dès qu’on ouvre la bd et que l’on voit un visage ou le lettrage, on se dit qu’une couv' à l’ancienne de la collection Vécu aurait plus été de mise. On peut aimer ce style de dessin, moi pas. Ca fait très bd à (grand-)papa et les proportions sont mauvaises. Et puis, l’histoire : aucun mystère, beaucoup trop linéaire, pas crédible pour un sou. Les personnages ne dégagent rien et tout est cousu de fil blanc, du Didier Convard, en somme. Donc oubliez l’ésotérisme mystérieux, il s’agit d’un bête thriller où le meurtrier et ses motivations sont dévoilés dès le premier tome. Enfin pas complètement pour les motivations mais nul besoin d’être Sherlock Holmes pour les deviner. Je plains d’ores et déjà, les néophytes qui vont se faire avoir par le côté clinquant de l’objet. Aucun intérêt, courrez sans vous arrêter.
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