Elvis (Bamboo)

Note: 4/5
(4/5 pour 1 avis)

Vie d'un enfant abandonné dans un bidonville qui, plus tard, rejoindra un groupe d'élite secret américain


Séries avec un unique avis

Enfant abandonné dans un bidonville mexicain, « il » fut adopté par un grand gaillard au cœur tendre qui lui donna le prénom « rock’n’roll » d’Elvis. Il l’aimait bien son « père », Elvis ; son bienfaiteur qui « travaillait » dans les combats de coqs clandestins. Mais un sombre jour un ponte local fait assassiner l’homme devant les yeux du garçon. Déboussolé, Elvis va néanmoins survivre à ce nouveau coup du sort. Et de vols en participation à divers gangs, il va devenir un caïd de la rue. Mais Elvis va intéresser quelques personnes oeuvrant pour des agences gouvernementales des Etats-Unis. Il va ainsi rejoindre et devenir membre du « Groupement », un service secret d’élite. Sa première mission sera de se rendre au sultanat d’Ohran pour y dérober une arme bactériologique. Alors que la mission semble se terminer sur un succès, tous les hommes de sa section se font massacrer. Et même s’il en réchappe, Elvis s’est fait dérober le virus. Le « Groupement » n’admet pas l’échec et Elvis en est évincé. Néanmoins, il se voit offrir une luxueuse villa où il pourra vivre des jours paisibles. Paisibles ?… une partie de son passé ressurgi et Elvis va se trouver embarqué dans une machination qui le dépasse…

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 31 Mai 2006
Statut histoire Série abandonnée 1 tome paru

Couverture de la série Elvis (Bamboo) © Bamboo 2006
Les notes
Note: 4/5
(4/5 pour 1 avis)
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23/09/2008 | L'Ymagier
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Par L'Ymagier
Note: 4/5

Une vraiment bonne surprise… Même si le postulat a un goût de déjà vu/déjà lu (un gamin qui va grandir et devenir une redoutable machine à tuer), ce dernier ouvre de nombreuses portes, va de rebondissements en rebondissements ; attirant ainsi l’intérêt du lecteur. Une histoire efficace où l’on ne s’embarrasse pas de « chichis ». C’est du « brut de brut » par moments, d’où une bien bonne tonicité dans un excellent polar qui divertit tant par sa narration que par son graphisme. Petit « hic » (mais qui n’engage vraiment que moi) : je n’apprécie pas trop le graphisme anguleux, moderne dans ses compositions ; moi qui ai été « élevé » dans la BD des années 50 à 80. Bien aimé aussi la colorisation, même si parfois elle engendre un peu trop de dégradés d’un même ton. Néanmoins, l’ensemble offre un bon cocktail ; intelligent, bien développé et mis en scène de bonne manière.

23/09/2008 (modifier)