Indiana Jones et le temple maudit
La BD tirée du film "Indiana Jones et le temple maudit".
Les petits éditeurs indépendants Marvel Séries avec un unique avis Vu au cinéma
Shangaï… 1935… La salle de danse enfumée du night-club « Obi Wan ». Contre un diamant, Indiana Jones se doit de remettre à Lao le « Nurhachi », une petite urne contenant les cendres de l’empereur de la dynastie Manchu. Mais Lao, qui veut garder le tout, parvient à empoisonner Jones. Exhibant une fiole d’antidote, il l’oblige à lui remettre le Nurhachi. Mais l’intervention involontaire de la chanteuse Willie Scott déclenche une bagarre. Jones récupère l’antidote et parvient à s’enfuir, embarquant la blonde incendiaire avec lui. Ils trouvent refuge dans un taxi conduit par un gamin –Shorty Round, ami de Jones- qui les conduit à l’aéroport. Tous trois embarquent vers le Siam. Ce qu’ils ignorent, c’est que l’avion fait partie de la flotte de Lao. Au-dessus des montagnes, l’équipage se sauve en parachute. L’avion est sans pilote… et surtout sans essence. Seule solution pour nos amis avant le crash : sauter ensemble dans le canot de sauvetage qui se gonfle automatiquement. Miraculeusement sains et saufs après leur chute, ils se retrouvent en Inde et rencontrent un shaman qui semble les attendre. L’homme a eu une vision et à besoin de Jones pour une mission. Commence alors pour nos amis une aventure extraordinaire qui va les mener dans les tréfonds de l’Inde mystérieuse…
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Editeur
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Genre
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Public
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| Date de parution | Septembre 1984 |
| Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
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C’est laid. C’est très laid. C’est VRAIMENT laid. Affreuxaffreuxaffreux !… Mais qui a donc laissé faire ça !?!… Je ne parle pas ici du scénario qui est celui du film : un scénario en béton, ciselé, qui a offert un très grand film d’aventures aux héros charismatiques. Je parle ici du dessin… du quoi ?… ben… euh… du dessin. Et ils s’y sont mis à QUATRE pour réaliser cette… chose ?… Sincèrement, je me demande comment les producteurs du film –et surtout Steven Spielberg- ont pu donner leur aval pour la parution de cette véritable ignominie ! Pour « m’amuser », si je peux dire, j’ai essayé de reconnaître le visage d’Indiana dans les nombreuses cases où il est représenté. Pas difficile : 3 fois ! Et encore ; ce sont des sortes de gros plans où j’ai eu affaire à des photos retouchées. L-A-M-E-N-T-A-B-L-E est le seul mot qui convient à cette ineptie graphique. Qui plus est, la mise en page est vraiment d’une nullité affligeante ; les cases étant parcimonieusement garnies de « décors exotiques » d’une triste banalité. Les couleurs ?… basique de chez basique. J’attendais autre chose d’une production Marvel. Ce n’est pas du tout le cas. Un album qui est dans mon top 5 de la médiocrité. Et je suis gentil. Je résume en un mot : caca.
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