Fairy tail
Les missions d'un groupe de mages de la guilde nommée "fairy tail" qui finissent toujours en combats magiques...
Fairy Tail Kodansha Nekketsu Séries fleuves Shonen
Un véritable conte de fées… extravagant et musclé ! Bienvenue dans un monde de magie, d’humour, de bastons et de jolies filles ! Lucy, jeune magicienne, rêve de rejoindre la fameuse guilde de magiciens, la Fairy Tail. Après sa rencontre avec Natsu et Happy, un chat intrépide, le rêve de Lucy devient réalité ! Mais la guilde de Fairy Tail est réputée pour le caractère imprévisible de ses membres. Natsu en est le meilleur exemple, anti-héros drôle et bagarreur ! Cette guilde semble être à l'origine de nombreux scandales.
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Date de parution | 10 Septembre 2008 |
Statut histoire | Série terminée 63 tomes parus |
Les avis
J'ai envie d'être un peu sévère avec Fairy Tail. En réalité, ce n'est pas si mauvais, ça se laisse lire (et même regarder, car une adaptation animée existe), du moins par le public visé, c'est-à-dire un public adolescent. Ce que je reproche à Fairy Tail, en fait, c'est plus son conformisme, l'absence de prise de risques. One Piece est déjà très réussi, pas la peine d'en faire une copie. En ce qui concerne l'histoire, nous sommes dans un monde où la magie est prédominante et effectuée par des mages qui se rassemblent au sein de guildes. Parmi celles-ci, nous suivons Fairy Tail, dans laquelle se trouvent les héros, Natsu, Lucy, Grey et Erza. Ils sont accompagnés par toute une ribambelle de personnages assez sympas. Nos héros vont vivre plein d'aventures, pour gagner des sous mais aussi servir la justice. Nous avons droit à plusieurs arcs assez courts au début (ça a tendance à s'allonger au fil du manga). Certains sont assez sympas, d'autres un peu plus barbants. Je me répète, ça se laisse lire et peut convenir à un lectorat adolescent. Mais à bien y regarder (en fait pas vraiment, ça saute aux yeux), Fairy Tail puise beaucoup de son succès chez les autres. Et surtout dans One Piece, LE succès du genre. Graphisme un peu similaire, même type de héros... Cela passe encore car il s'agit un peu des codes du Shonen. La similitude entre certaines intrigues et certains personnages un peu moins, même si on peut peut-être parler d'hommage, au moins pour la ressemblance entre les personnages de Gildartz et de Shanks (en fait j'espère car si ce n'en est pas un, c'est clairement du plagiat à ce niveau). Rien n'est original dans ce manga, rien ne nous surprend. Et puis il y a quand même pas mal d'incohérences, de changements de cap soudains chez certains personnages, qui passent de terriblement cruels à sauveurs de la planète. C'est assez fatiguant à la longue. En fait, Fairy Tail est le symbole d'une lassitude de ma part. J'ai un peu l'impression de lire le même truc pour la cinquantième fois, et il n'y a pas le grain de folie, le petit quelque chose qui fait que l'on a envie de suivre les aventures de Natsu et ses potes. Un peu d'originalité ne fait jamais de mal, et Fairy Tail en manque clairement, comme pas mal d'autres d'ailleurs. En clair, les lecteurs qui découvrent le genre Shonen d'aventure pour la première fois apprécieront sûrement, mais les lecteurs plus aguerris seront, à mon avis, vite lassés par les grosses ficelles de cette oeuvre.
J'ai lu une vingtaine de tomes et je ne compte pas aller plus loin pour le moment. Fairy Tail est typiquement le genre de manga adressé à un public adolescent: il y a de l'action, de l'humour et du fan service (quoiqu'on voie aussi des gars nus parfois). C'est sympathique à lire, notamment parce que les personnages principaux sont attachants. L'univers créé par l'auteur est intéressant, la narration est fluide et le dessin est bon. Toutefois, il manque quelque chose pour que j'accroche totalement à cet univers. C'est typiquement le genre de manga que je trouve trop long. C'est sympa de lire quelques tomes de temps en temps, mais il n'y a rien qui me donne envie de tout lire d'un coup alors qu'avec Dragon Ball j'ai pu relire les tomes des dizaines de fois un à la suite de l'autre sans aucun problème. Je n'ai même pas lu la moitié des tomes que je faisais déjà une overdose. Mais bon c'est un shonen avec des qualités et c'est à lire si on aime le genre.
Ma première rencontre avec Fairy tail s’est produite grâce à sa série animée du même nom qui m’a tout de suite emballée avec son humour décapant et son design très proches d’un One Piece dont elle s’inspire. Je ne connais pas trop One Piece mais pour le peu que j’en ai vu ça ne m’a pas attiré une seule seconde au contraire de Fairy tail. Je ne sais pas pourquoi, peut être parce qu’il y a plus de jolies gonzesses avec de gros seins et que l’aventure se déroule dans un cadre de fantasy plus posé. Finalement je dois avoir des attirances assez superficielles. Enfin bref, après visionnage de la série animée j’ai décidé de passer au manga pour voir ce qu’il en ait et si j’allais retrouver dans celui-ci les mêmes aspects qui m’ont charmé dans l'anime. Si One Piece peut être comparé à un gros trip sous LSD, Fairy tail est son pendant sous champote mexicain. Un humour bien poilant et quasiment omniprésent mais heureusement sans l’overdose de l’autre série ; même au cœur de la bataille les personnages sont capables de s’envoyer des vannes et de se mettre sur la gueule. Il y a un côté village gaulois d’Astérix dans cette guilde de mages sympathiques qui passent leur temps à picoler, chanter (ridiculement faux pour Gadjil), danser et se chamailler quand ils ne sont pas en mission pour un commanditaire moyennant une compensation pécuniaire (bah oui, c’est cool d’avoir des pouvoirs magiques mais ça ne nourrit pas son homme, il faut bien payer le loyer et la bouffe). Je n’ai pas du tout trouvé les histoires redondantes car je sais que c’est souvent un problème dans les mangas où on aime rallonger mais l’auteur est suffisamment malin pour entourer ses personnages d’un passé mystérieux et de distiller des informations au fur et à mesure. Les personnages sont tellement attachants qu’on a vraiment envie de découvrir ce qui ce cache derrière ce voile mystérieux. Des personnages attachants mais pas exempts de tout reproche non plus. Ainsi, il faut tout de même avoir à l’esprit qu’il s’agit là d’un « shonen » donc un manga destiné aux adolescents de prime abord. C’est avec un plaisir coupable et plus ou moins assumé que j’ai dévoré cette série (faut croire que je suis resté un grand enfant dans l’âme) ; mais avec un esprit d’adulte il y a des éléments qui font grincer des dents. Entre autres, les personnages sont cons, mais vraiment, très, très cons. N’oubliez pas que vous êtes sous acide et mettez votre esprit cartésien de côté si vous voulez survivre à l’aventure Fairy tail, car les personnages de tout bord prennent en permanence des décisions plus stupides et incohérentes les unes que les autres. Mais ce n’est pas grave puisque c’est écrit dans le scénario que se sont les gentils qui gagnent à la fin donc peu importe leurs stratégies foireuses. Il faut l’accepter (quoique le twist final du dernier tome laisse à penser un changement de cap de la part de l'auteur). Si l’aventure parvient à se renouveler sans qu’on s’en lasse, ce n’est en revanche pas le cas en ce qui concerne les combats qui ont tendances à répéter le même schéma à la manière d’un Saint Seiya - Les Chevaliers du Zodiaque. A savoir : le gentil rencontre un nouvel ennemi, l’ennemi fait une démonstration de ses pouvoirs en infligeant une correction au gentil, le gentil va puiser dans son cosmos, euh hum, je veux dire, dans le « pouvoir de l’amitié » pour se surpasser et mettre une raclée au méchant, le méchant maudit sa faiblesse, pleur comme une fillette, victoire, boss de fin. Le côté bagarreur m’a souvent gonflé au début, c’est limite s’ils ne pensent qu’à ça (pas d’histoire de cul), « eh machin, viens te battre, je n’ai pas peur de toi gros naze, et gnagnagni et gnagnagna… ». Mais ensuite je me suis rappelé que plus jeune (et encore aujourd’hui) j’adorais Dragon Ball et DBZ c’est quoi si ce n’est des histoires de bastons et de types qui veulent devenir le plus fort ? Ah oui, c’est quoi ce « pouvoir de l’amitié » ? Fairy tail s’adresse principalement aux ados comme dit ci-dessus, les valeurs et vertus distillées dans la série doivent donc parler à ce jeune public. Et pour l’auteur l’amitié est érigée en valeur suprême et je pèse mes mots. Ah ça ! On en bouffe de l’amitié à toutes les sauces du style « non ! Je ne dois pas échouer, mes amis comptent sur moi, si je me bats c’est pour mes amis et ma guilde, mes amis sont ce que j’ai de plus chers, il n’y a rien de plus important que mes amis dans ma vie… ». C’est parfois chiant à supporter mais bon… ça fait parti des codes du shonen. En conclusion un manga hyper sympathique à lire et qui n’est pas encore terminé. J’ai hâte d’en découdre avec la suite qui s’annonce très prometteuse. A noter que la série animée est en pause du fait qu’elle a rattrapée le manga et que l’auteur a du mal à suivre la cadence. C’est ce qu’on appelle être victime de son succès.
Ce manga est magnifique. De base nous connaissons une guilde qui contient nos personnages et nos héros. Puis à chaque fois une nouvelle aventure arrive pour nos amis. Natsu (personnage principal) veut retrouver son père adoptif igneel (un dragon he oui) et en attendant des nouvelles de son apparition il part en mission ou alors part protéger la terre contre des guildes noires qui veulent (par exemple) ressuciter une magie noire qui pourrait tous nous tuer. Mais Natsu ne part jamais sans ses amis. Les aventures peuvent se passer avec quelqu'un d'autre que Natsu comme personnage principal, elles peuvent se porter sur d'autres membres de la guilde de Fairy Tail. Voilà donc vous l'avez compris je conseille l'achat.
Fairy Tail est l'un des shonen ayant le plus de succès actuellement en France, certes bien derrière Naruto et One Piece mais pas si loin finalement. Il faut dire qu'il reprend avec succès tous les éléments de base des meilleurs nekketsu modernes, avec une mélange d'humour, d'aventure, de combats, de fantastique et de bonne ambiance d'équipe. Un premier coup d'oeil aux couvertures et au graphisme fera instantanément penser au style d'Eiichiro Oda. Il y a un vrai air de famille, probablement voulu par l'auteur. Personnages, costumes, éléments de décors, créatures, pouvoirs magiques, tout donne l'impression de faire partie du même monde que Luffy et ses amis. Il serait facile de crier au pompage. D'autant plus que comparé à One Piece, Fairy Tail joue les rôles de Monsieur Moins : moins délirant, moins original, un dessin moins déformé, des personnages moins extravagants, une ambiance moins cartoon... Et pourtant, moi qui n'ai pas été particulièrement séduit par One Piece à cause d'un humour auquel je n'ai vraiment pas accroché, j'ai préféré Fairy Tail, plus posé et prenant à mon goût. Le scénario est d'une grande simplicité. Dans ce monde où la magie existe, des guildes de magiciens regroupent de jeunes sorciers aux pouvoirs très divers qui accomplissent des missions variées proposées par des petites annonces ouvertes à tous et parfois s'affrontent entre elles ou combattent des méchants. Toute l'intrigue du manga se joue sur la guilde de Fairy Tail elle-même, l'une des plus renommées de ce monde, dont les membres forment une joyeuse bande de bons amis dont la plupart sont des magiciens particulièrement doués. L’atmosphère y est à la déconne et à la franche camaraderie, un pour tous, tous pour un. C'est ainsi que nous suivrons Lucy la nouvelle recrue constellationiste (invocatrice, quoi) , Natsu le fougueux élémentaliste du feu, Happy le chaton parlant et ailé, Grey le lunatique élémentaliste de la glace, Ezra la puissante guerrière-mage et le reste des membres de Fairy Tail. Au cours de cycles s'étalant sur plusieurs tomes et de petites aventures intermédiaires plus légères, ils vivront des aventures au cours desquels on apprendra à mieux les connaître et à s'y attacher. Je n'ai aucun reproche à faire à cette série. Le dessin est bon, la narration particulièrement fluide, les intrigues simples et efficaces, les personnages charismatiques, l'humour est souvent drôle. Et comme dans ton bon shonen, chaque tome se termine sur un cliffhanger obligeant le lecteur à lire immanquablement la suite. Prenant et bien agréable, il est juste dommage que l'ensemble manque un peu d'originalité et de profondeur, même si cela n'a rien de rédhibitoire pour le simple divertissement amusant qu'il se propose d'être.
Fairy tail est un monde de magie et d'invocations grandioses pour des pouvoirs hors du commun. Cela reste dans la trame classique de ce qui plaît à un public ado branché fantastique. Il est également question de se servir de clés spéciales pour ouvrir des passages vers le monde des esprits. Rien de vraiment réellement nouveau. Cela reste bien orchestré dans un univers créatif où différentes créatures viennent en aide aux héros. Il y a incontestablement de la démesure ce qui n'est pas pour déplaire aux plus jeunes d'entre nous. La magie, c'est toujours la merveille d'un monde inconnu. Fairy tail est au final un extravagant conte de fée. A noter qu'actuellement à l'heure où j'écris ces lignes, le dernier tome est n°1 des ventes de manga en France. Cela ne doit pas être sans raison.
Fairy Tail est un clone de One Piece, sous fond de magie. Il reprend tous les ingrédients qui ont fait le succès de One Piece, humour, aventure, fantastique, pour un résultat détonnant et très fun. Un shonen classique, divertissant, une bonne alternative à One Piece pour ceux n'aimant pas l'univers des pirates. Une formule vue des millers de fois, mais dont l'efficacité est déjà prouvée depuis longtemps. Il n'y a donc pas grand chose à dire de plus, désolé.
La première chose qui nous tente vis-à-vis de ce manga est son graphisme qui a un peu évolué par rapport à l'ancien manga de l'auteur : Rave. Même si l'on revoie les mêmes personnages ainsi qu'à peu près le même scénario (défendre le monde) et les petits moments comiques, Hiro Mashima arrive toujours à nous faire entrer dans son monde imaginaire, son Fairy Tail. Il faut reconnaitre que les personnages sont attachants. Certaines de ces histoires restent bien et c'est pour toutes ces raisons que je mets 3/5.
Fairy Tail est pour moi le shonen type (du moins, c'est comme ça que j'imagine un shonen type) : - il y a de l'aventure, - l'humour est omniprésent, - les héros font assez "ados", - il y a les gentils, les méchants, les héros malgré eux, - la grande quête qui fait que les héros sont les héros est le fil rouge tout au long des tomes, - les dessins sont parfois réduits à leur plus simple expression pour montrer une situation d'embarras, d'humour, .... Fairy Tail rajoute à cela de beaux dessins et un univers où la magie est présente et admise. Le mix de tout cela fait un moment de lecture sympa, mais malheureusement assez vite lassant pour la majorité des adultes (qui ne sont d'ailleurs pas le lectorat visé, puisque c'est un shonen). Mais je crois que cette série à tout pour plaire aux amateurs de Naruto, One Piece et autres mangas du même cru... J'en conseille donc l'achat pour ce jeune lectorat, mais pas pour celui plus âgé...
Je ne savais pas que One Piece avait un spin-off... ah non c'est carrément une nouvelle série, toute pareille, mais une nouvelle série quand même, avec un auteur qu'on dirait aussi le même. Enfin bref, ça me semble bien compliqué déjà. Sans aucun intérêt cependant, suivre cette guilde de magiciens ne m'a pas du tout passionné. Je crois, mais je n'en suis pas du tout sûr, que Hiro Mashima fut un assistant d'Eiichiro Oda, d'où l'énorme ressemblance avec Luffy et ses potes. Et puis l'auteur a un sévère problème avec le tour de poitrine de ses héroïnes. Du, bon je juge à vu d'oeil hein, 95D au minimum je dirais. Si son trip c'est les grosses poitrines, pour moi y'a pas de soucis. Le problème c'est que le lectorat est plus pré-adolescent alors leur fourrer sous les yeux des seins proéminents à longueur de pages, là je comprends pas bien l'intérêt. Surtout que normalement ce qui prime dans ce genre de série reste la baston pure et dure avec moultes techniques à grand renfort de paroles magiques et des répliques aussi nulles les unes que les autres. Alors soit il a un problème, soit il a un problème (double bis répétita). Bref un One Piece passe encore, mais si on commence à en faire à la chaine, et de la mauvaise chaine pas huilée et tout, là je dis non. Ce qui est dommage, c'est que l'histoire est pas totalement mauvaise, mais pour moi j'ai fait le tour au bout de 4 tomes et je n'en tire plus rien. Qu'il fasse leur magie sans moi et moi ma magie sans eux.
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