Le Sabre de Shibito (Shibito no ken)
Shibito, seul héritier du clan Saezuki, erre sur les routes pour tenter de retrouver de sa superbe d'antan. seul souci, il est mort...
1454 - 1643 : Du début de la Renaissance à Louis XIII Gentosha Samourai Seinen
Shibito, seul héritier du clan Saezuki, erre sur les routes pour tenter de retrouver de sa superbe d'antan. seul souci, il est mort... C'est son père, chirurgien -et lui aussi mort-, qui l'a ramené à la vie en récupérant une tête et un corps sur des cadavres frais. Shibito n'a cependant pas recouvré toute sa raison, ni la faculté de s'exprimer. Avec l'aide d'un apothicaire itinérant et d'un corbeau géant, il va essayer de redorer son blason... Mais un mort peut-il réellement retrouver le goût de la vie ?
Scénario | |
Dessin | |
Editeur
|
|
Genre
/
Public
/
Type
|
|
Date de parution | Mai 2008 |
Statut histoire | Série terminée 8 tomes parus |
Les avis
Mais quelle surprise ! J'ai découvert le mauvais goût dans toute sa splendeur ! Un dessin qui paraît totalement baclé avec des arrières plans inexistants et des personnages quasi-statiques même dans les scènes d'action. Que dire sur le raffinement ? Je prends mon joker ! On peut également parler du scénario sans grand intérêt avec cette succession de vulgarités. Il manque à cette "oeuvre" l'intelligence et le talent. C'est quand même beaucoup ! J'ai juste une petite question : cela se vend ça ?
Si j'avais eu 20 ans de moins, j'aurais peut-être trouvé ça vraiment cool un tueur fou qui se déplace avec un corbeau géant inconstant et un vieil apothicaire débile. Un tueur fou qui en plus est un zombie dont le sabre semble avoir des pouvoirs incroyables. Mais en fait je n'ai pas 13 ans et j'ai juste trouvé ça pénible, pitoyable, sans aucune âme. Le gars y dézingue à peu près tout ce qui l'approche, sauf un vieil apothicaire et des enfants. Par contre son père, vu qu'il pue la mort, hop, coupé en deux. Shibito recouvre peu à peu son humanité, mais franchement ça ne m'intéresse pas. Les personnages ne sont vraiment pas intéressants, on se retrouve avec une énième histoire de samouraïs qui errent, devenus soit des bandits de grand chemin, soit des gentils corniauds. A croire qu'à l'époque Sengoku (entre les 15ème et 17ème siècles), c'était blanc ou noir... Bref, ça m'a gonflé assez vite, je ne lirai pas la suite.
Site réalisé avec CodeIgniter, jQuery, Bootstrap, fancyBox, Open Iconic, typeahead.js, Google Charts, Google Maps, echo
Copyright © 2001 - 2024 BDTheque | Contact | Les cookies sur le site | Les stats du site