Danger Girl - Opération Hammer
Îles de Costa Rica, Abbey Chase vient de se faire capturer par Donavin Conrad, un de ses vieux ennemi, alors qu' elle essayait de lui dérober un crâne en or. Heureusement, elle arrivera à s'échapper et par des circonstances bizarres, tombe d'un ravin et se retrouve coincé avec Donavin sur son bateau qui se dirige tout droit vers une chute d'eau, c'est là qu' elle rencontre pour la première fois Natalia qui vient en hélicoptère pour la sauver in extremis...
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Îles de Costa Rica, Abbey Chase vient de se faire capturer par Donavin Conrad, un de ses vieux ennemi, alors qu' elle essayait de lui dérober un crâne en or. Heureusement, elle arrivera à s'échapper et par des circonstances bizarres, tombe d'un ravin et se retrouve coincé avec Donavin sur son bateau qui se dirige tout droit vers une chute d'eau, c'est là qu' elle rencontre pour la première fois Natalia qui vient en hélicoptère pour la sauver in extremis... Abbey se fait ramener sur un yacht et fait la rencontre de Sydney, de Valérie et de Deuce qui lui demandent d'être au service des Danger Girl, car il a besoin de ses compétences d'historienne, puis lui explique qu'un puissant groupe armée néo-nazi, le marteau, a été formé et qu' il faut les arrêter. Sa première mission sera d'aller en France pour arrêter "la pèche", un homme qui est soupçonné de collaborer avec le groupe nazi, et qui a acheté pour une valeur exorbitante un mystérieux bouclier à un voleur... Alors qu'après une folle course poursuite dans nos campagnes françaises, la pêche échappa à Abbey et Sydney, Deuce les prévient que d'anciens sbires de la pêche donnent une fête à Montargis, en Suisse, et qu'un agent de la C.I.A, Johnny Barraccuda (un branleur de première), leur viendrait en aide pour une nouvelle fois tenter de dérober le bouclier de la pêche en se faisant passer pour des invités. Malheureusement alors qu' Abbey est sur le point de voler le bouclier dans une chambre, elle se fait surprendre par la pêche...
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Genre
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Public
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Date de parution | Mai 1999 |
Statut histoire | Série terminée (Réédition en un tome) 2 tomes parus |
Les avis
Voilà une BD où effectivement vous n'allez pas vous cramer un neurone, pop corn, sans prétention, du moins c'est mon ressenti, mais tout cela se laisse lire agréablement. En cause un dessin aux couleurs un peu flashy mais plutôt efficace, c'est dynamique ça ne demande qu'à sortir des cases. Après en ce qui concerne le scénario ça part un peu dans tous les sens, la fin devient même un peu grandguignolesque avec l'apparition de descendants du fuhrer. En fait cela m'a fait penser à un mix de "Drôles de dames" et du James Bond "Casino Royale", sans oublier un "Mission :impossible" où Tom Cruise aurait pris des amphets. Reste pour le public ado des femmes aux corps improbables qui en toutes circonstances gardent leur brushing et leurs ongles nickel. Mettez le cerveau en pause et savourez, c'est pas la pire BD du monde, en ces temps de fortes chaleurs je dirais même que cela possède un côté rafraîchissant.
Prenez un bon fond de tarte pétri dans une farine façon "Drôles de Dames", garnissez copieusement (très ! voire trop ?) de rebondissements, saupoudrez d'un zeste de James Bond par-ci par-là et d'organisation secrète, d'une touche de fantastique et vous avez un aperçu de ce que vous propose cet album initialement sorti en 2 tomes chez Soleil en 2010. Alors oui c'est divertissant, c'est techniquement relativement bien réalisé (surtout que J. Scott Campbell semble aimer dessiner de jolies héroïnes bien pulpeuses et nous en faire profiter), mais à force de vouloir tout faire rentrer dans le même moule et de tendre vers la caricature, ce petit dessert acidulé pourra paraitre parfois un peu indigeste à certains. Pour ma part j'ai pas cherché midi à quatorze heure et je me suis remis dans l'état d'esprit "ado fan de James Bond & consort", j'ai déposé le cerveau au frais et passé un moment de divertissement agréable, du genre parfait quand on a pas envie de se prendre la tête. Alors, rien de bien transcendant, juste un moment de détente tonique qui m'a rappelé les kilos de séries TV américaines que j'ai pu ingurgiter à la naissance de la 5 (si la référence ne vous parle pas c'est que vous êtes trop jeune :p ) et les films d'aventure qui me faisaient tant rêver. (2.5/5)
Danger girl est ce qu’on appelle de la bd pop-corn mettant en scène trois gazelles hyperbranchées et espionnes à leurs heures perdues entre deux safaris au Congo ou une partie de pêche au Costa Rica après une nuit d'amour torride. Je me suis ennuyé dans l’enchainement de ses péripéties sur fond de dessins cartoonesques. Cela en devient presque pathétique à l'image de nos héroïnes racoleuses. Entre boire ou mourir, il faut choisir.
C'est beau, c'est rigolo, c'est parodique... Côté dessin c'est du J. Scott Cambell donc c'est visuellement très sexy et très bien dessiné. Côté scénario c'est certes assez classique mais cela se suit bien. J'ai vraiment aimé et j'espère encore lire beaucoup d'autres aventures des Danger Girl.
Qu'est ce que c'est plat! On tire si peu de substance de la lecture de ce comic que je ne sais même pas quoi en dire. Alors faisons simple: Graphiquement c'est très tape à l'oeil mais très basique, sans personnalité, sans force, sans originalité. Au niveau du scénario... Quel scénario? Circulez il n'y a pas cela ici. Au niveau des personnages on a des nymphettes à gros seins, qui massacrent leurs fringues improbables pour créer un effet racoleur, un racolage mais non assumé, pas moyen d'entrevoir le moindre téton. Autour des Danger Girls (WAAAA le nom qui tue!) des personnages clichés qui ressemblent à de mauvais clins d'oeils... J'arrête le massacre, en conclusion je dirais que c'est consternant, même au second degré cela ne fait même pas sourire. À éviter.
Titre fondateur des studios « Image Comics » au même titre que Battle Chasers ou Crimson, cette série ne laisse pas indifférente : malgré un scénario plutôt commun les graphismes sont agréables. En conclusion, une série à lire au même titre que Battle Chasers, Crimson et "Out There".
Danger Girl, c'est un peu comme un bonbon trop sucré. D'abord on est pris par le goût très fort et rapidement on en a assez. Même si je n'ai jamais réussi à trouver ses dessins beaux, je dois avouer que J.S. Campbell a un style très particulier, bien à lui, qui accroche l'oeil. Et puis quand on regarde plus en détail, tout cela paraît surfait, parfois incohérent, souvent énervant, toujours exagéré. Les Danger Girls sont toutes sur le même moule : format bad girl, sexys en diable et formes avantageuses. Prenez en une, changez sa coupe et sa couleur de cheveux et vous obtenez une de ses copines ! À l'actif du dessinateur, je souligne tout de même 2 très bonnes caricatures d'acteurs parmi les personnages : Deuce, faux Sean Connery tout droit échappé de "Medecine Man" et Johnny Barracuda, portrait craché du délirant Bruce Campbell (la série des "Evil Dead"). Point positif également : les scènes d'actions sont parfaitement maîtrisées par Campbell (qui est seul dessinateur contrairement à ce qui est indiqué par Kael). Pour le reste ... pfff ... imaginez une équipe de James Bond au féminin, une suite d'aventures dignes des pires blockbusters estivaux (comprenez : toujours plus de spectacle, d'effets spéciaux, de poudre aux yeux) et des scenarii qui ma foi passent loin, très loin après tout ça ... L'humour omniprésent est lui aussi en surdose, poussif. Vraiment, tout dans cette BD semble exagéré, ou plutôt mal maîtrisé en fait, et le désir d'en mettre plein la vue devient quasiment palpable d'une page à l'autre. Forcément au bout d'un moment (et certainement plus tôt que tard) on a envie de dire : STOP ! Alors on referme l'album et on s'en va lire un truc bien sombre, bien glauque, bien torturé pour se remettre d'aplomb ! Du Miller tiens au hasard !!
C'est du comics bof bof ça. Ok, le dessin est pas degueu, plutôt sympa même (mmm ces femmes...), mais il reste terriblement banal, typiquement dans le genre comics, sans la moindre personnalité. Cela vient peut-être du fait que le dessin est assuré par 2 auteurs... Le scenario n' est pas gégé quand même. En fait, ça ressemble plus à une série de situations juste là pour nous montrer les héroïnes sous tous les angles. C'est joli tout plein, rien à dire, mais ça lasse assez vite. Le scénariste s'est dit que Tomb Raider marchait bien, alors fallait faire un "club des 5" de Tomb Raider. Bref, ça se lit bien, il n'y a pas besoin d'être très intelligent pour tout comprendre, et les femmes sont belles. C'est pour ricains quoi... Sinon, quoi d'autre ? Bah rien...
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