Punisher (Ennis/Dillon)
Le Punisher a rompu son pacte avec les Anges et agit à nouveau seul et sans armes surnaturelles. Il est de retour à New York ; ça va saigner !
Auteurs britanniques Gangsters Marvel Punisher Super-héros Univers des super-héros Marvel
Pour ceux qui ne le connaîtraient pas, un petit rappel sur le Punisher : c'est un ancien Marine et un ancien flic nommé Frank Castle, dont la femme et la fille ont été tuées par la mafia. Après ce double meurtre, il entreprend de se venger en exécutant un maximum de mafiosi mais, dépressif, il finit par se suicider. Les Anges récupèrent alors son âme et renvoient Frank sur Terre, doté de pouvoirs surnaturels, pour qu'il reprenne son combat contre le crime sous le nom de Punisher. Mais le Punisher est allergique à l'autorité et finit par envoyer les Anges se faire foutre, sans pour autant abandonner sa lutte contre la pègre. La particularité du Punisher ? Alors que les autres super-héros s'efforcent de capturer leurs adversaires vivants pour les livrer à la police, lui les abat tous froidement, quelle que soit la gravité de leur crime ou délit. Cette série nous invite à suivre le retour de ce justicier à l'idéologie douteuse sur son terrain de jeu favori, New York, alors qu'il vient de redevenir un simple mortel. La première histoire occupe les trois premiers tomes de la série ; on y voit le Punisher affronter une famille mafieuse dirigée par une vieille dame impitoyable, Ma Gnucci. Ma voit ses fils et ses hommes de main tomber les uns après les autres, victimes du Punisher. Elle fait alors appel à une redoutable machine à tuer, un mercenaire surnommé "le Russe". Parallèlement à cela, le Punisher doit traiter un autre problème : son retour a fait des émules, et trois nouveaux "justiciers" ont fait leur apparition en ville. Il y a le Saint, un prêtre qui tue les pécheurs, Mr. Payback, un prolo qui tue les riches, et Elite, un golden boy qui tue les pauvres... Le quatrième tome rassemble deux histoires : la principale, celle qui donne son titre au volume, voit la résurrection du "Russe", désormais mi-robot, mi... femme ! Rafistolé pour le compte d'un ancien général de l'armée américaine devenu mercenaire, le Russe revient à New York pour se venger de Frank. Celui-ci décidera alors de faire un petit tour sur l'île qui sert de QG à ce fameux général et à ses p'tits gars, dans le but, évidemment, d'y tuer tout le monde (toujours aussi subtil, ce cher Punisher). Dans la deuxième histoire, "Chacun pour soi", Frank traque un homme qui a assassiné son ex-femme et ses enfants. Un homme qui lui a sauvé la vie au Viêt-Nam...
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Date de parution | Septembre 2000 |
Statut histoire | Série terminée (Cycles successifs) 9 tomes parus |
Les avis
J’ai emprunté les deux briques de l’intégrale à ma médiathèque, pour découvrir ce personnage qui semblait haut en couleurs. J’ai été au bout du premier tome, mais je vais m’arrêter là je pense, tant je n’ai pas accroché à cette série. Le côté bourrin franchement assumé ne me gêne pas a priori, mais à condition que d’autres ingrédients (humour noir ou trash par exemple) viennent pimenter l’action. Si c’est le cas parfois (j’ai pris pour de l’humour la grande diversité aux limites de l’improbable de l’arsenal utilisé par notre justicier fanatique), ça ne l’est pas suffisamment. Du coup, j’ai l’impression que ne reste qu’une sorte de justicier ressemblant à certains personnages de Clint Eastwood, un héros reaganien, qui représente une partie de ce qui me repousse dans les super-héros américains. Alors, certes, c’est hyper rythmé, mais plus dans le sens blockbuster qu’autre chose, et j’ai trouvé la majorité des petites histoires trop linéaires, manquant de digressions, de profondeur, et d’autodérision (il y en a, mais clairement pas assez). Heureusement ça se lit assez vite, il n’y a souvent pas trop de texte et les cases sont assez grandes. Quant au dessin, je n’en suis pas vraiment fan. Un peu de Backderf, mais avec un héros bodybuildé, des proportions et des mouvements pas toujours bien rendus, ça n’est là aussi pas trop mon truc.
Le Punisher est un personnage que j'aime bien à petite dose (du genre si je lis deux ou trois histoires sur lui d’affilée je commence à m'ennuyer un peu) mais j'ai tout de même lu les deux grosses intégrales qui présentent le travail de Garth Ennis sur le Punisher dans l'univers de Marvel Comics qu'on connait bien (ensuite il fera ses histoires de Punisher sous le label Max et les histoires se situent dans une autre version de l'univers Marvel qui est plus sombre et plus adulte). J'ai bien aimé généralement les récits et pour l'instant Ennis est le meilleur scénariste du Punisher que je connaisse. Les points forts d'Ennis sont son humour noir et sa capacité à créer des personnages secondaires mémorables. C'est très bien illustré dans la première histoire qui était une mini-série en douze épisodes. La violence est tellement exagérée par moments qu'on dirait un cartoon et j'ai bien aimé cette ambiance. Ennis renouvelle bien ses scénarios qui ne se résument pas qu'à une suite de récits où Punisher tue des méchants très méchants encore et encore. J'ai tout de même trouvé une certaine baisse de régime vers le milieu du tome 2, notamment parce que le ton des récits devenaient plus sérieux, qu'il y avait moins de l'humour qui m'avait conquis dans le premier tome. Heureusement, le récit final contient de l'humour, il est vraiment agréable à lire et est une bonne conclusion pour le run d'Ennis. On retrouve aussi dans ce second tome un one-shot qu'Ennis a écrit dans les années 90 et qui voit le Punisher tuer tous les super-héros et super-vilains de l'univers Marvel. C'est un gros délire qui est sympathique à lire. Je suis pas fan du genre de dessin réaliste que fait Steve Dillon, mais à force j'ai fini par m'habituer et j'ai même été déstabilisé quand il était temporairement remplacé par d'autres dessinateurs sur certaines histoires. En tout cas, cela m'a bien donné envie de continuer de relire le premier tome de Preacher et de lire le reste !
Cette série comprend 9 tomes. A l'exception du 5e, toutes les histoires qui les composent sont scénarisées par Garth Ennis. Et si les 3 premiers tomes forment une grande histoire, les suivants contiennent des récits plus ou moins courts, en un tome ou moins. Mais l'ensemble se suit de manière chronologique et développe la vision du Punisher qu'a Garth Ennis. Et qui dit Garth Ennis, dit récit bourrin. D'autant plus qu'au dessin, à quelques exceptions près, c'est Steve Dillon qui s'y colle, le même qui a dessiné Preacher avec Ennis. L'ambiance se rapproche d'ailleurs beaucoup de cette autre série là, de même que quelques éléments similaires à commencer par Ma Gnucci qui rappelle fortement la grand-mère de Jesse. Mais bourrinisme et violence sont des caractéristiques qui collent bien au personnage du Punisher. Et c'est avec un soupçon de défoulement que le lecteur le voit massacrer sans aucune pitié des mafieux et des dealers. Pour autant, l'intrigue n'est pas idiote. Elle tient bien la route même si elle n'est pas toujours très crédible. On est dans un récit de super-héros après tout. A ce propos, c'est aussi appréciable d'évoluer entre récit policier et meurtrier d'une part, et quelques rencontres avec certains super-héros Marvel d'autre part, comme Daredevil, Spider-Man et Wolverine. Et même si Frank Castle, le Punisher, est un vrai psychopathe, il sait quand même se rendre attachant par moment. Bref, suivre ses aventures est agréable, ou du moins divertissant, et celles de cette série sont bien construites et prenantes. Dommage que j'ai toujours un peu de mal avec l'ultra-violence gratuite dont fait régulièrement preuve Garth Ennis, même si elle est presque édulcorée ici par rapport à d'autres de ses séries.
Comme pour d'autres super-héros, j'ai voulu tester les versions modernes écrites et dessinées par de nouveaux auteurs, et donc très différentes des séries originelles que j'ai connues dans les années 70. Avec cette série de comics écrits par Garth Ennis, je crois que c'est la meilleure version moderne du Punisher, enfin celle qui m'a le plus enthousiasmé ; je ne peux pas être tout à fait catégorique n'ayant pas lu d'autres versions, mais au cours des divers feuilletages de pages en bibliothèque, j'ai quand même une petite idée. Et surtout, au niveau graphique, c'est le dessin propre et puissant de Steve Dillon que j'aime le mieux, étrangement proche des anciens graphismes ; il m'avait déjà bien plu dans des épisodes de Judge Dredd, il ne pouvait donc pas me décevoir. Dans mon avis sur Le Punisher - Zéro absolu, je donne les infos essentielles sur le personnage, je ne vais donc pas repasser le disque, je dirais simplement que dans cette version, j'ai retrouvé à peu près le même esprit percutant que celui des années 70, avec une violence plus extrême bien-sur, et surtout l'aspect machiavélique du personnage, son sadisme parfois, l' organisation méthodique de ses exécutions, le côté "justicier dans la ville" en puissance dix mille qui donne dans l'éradication systématique des mafieux, en sortant la grosse artillerie...c'est ça qui type ce héros qui donne une certaine image d'une Amérique malade quelque part, mais qu'il faut prendre au second degré tant c'est parfois outrancier. Une bonne série de détente donc, très anti-politiquement correcte, mais je préfère surtout les épisodes du tandem Ennis/Dillon.
J'ai lu l'intégrale noire, briquette d'un bon millier de pages, et ce superbe objet vaut l'achat à lui seul. Si comme beaucoup, je n'adhère pas personnellement à l'aspect loi du talion et de l'exécution massive avant procès, j'ai pris un grand plaisir à découvrir ces aventures, notamment par leur coté cynique, 2e degré, avec un humour pince sans rire mais toujours bien amené, des personnages secondaires irréalistes mais tellement drôles. De même, le fonds critique (Vietnam, culture américaine, 2e amendement, politiciens et policiers corrompus etc...) rend ce background très agréable. Les méchants (mention spéciale pour le Russe, pour le gosse des bas fonds) sont impayables, certaines techniques utilisées tout bonnement grandioses (que penser du meurtre par écrasement d'obèse...........et toujours soulignés par un dialogue aux petits oignons. C'est certes inégal mais c'est malgré tout un bon moment de lecture. Graphiquement, ce n'est pas vraiment ma tasse de thé mais cela ne nuit pas trop. On retrouve un trait "ancien comic" sur l'épisode avec Avengers et XMen, un trait plus facile dans les premiers tomes, d'autres plus torturés.... Dans l'ensemble, ça se tient. Vraiment une belle découverte. Je ne mets pas 4* à cause de menus défauts graphiques et aussi du côté un peu linéaire de l'action. Mais c'est tout de même du bon côté de la moyenne.
J’ai la chance d’avoir un ami qui a investi dans l’omnibus ‘Punisher’ (si tu lis ces lignes, merci à toi ;)). Cela m’aura peut-être pris une semaine, mais je suis venu à bout des 1088 pages qu’il compte ! Mon verdict ? Cette brique me laisse une impression d’inégalité. Il y a certes du bon, mais également du moins bon. Tout d’abord, j’ai détesté le dessin de Steve Dillon. Je sais qu’il est habituel dans le monde des comics que deux artistes distincts réalisent respectivement les couvertures et le corps des albums. Mais en l’occurrence, le contraste est vraiment choquant !!! Autant les couvertures de Tim Bradstreet sont superbes, sombres, réalistes et adultes, autant le dessin de Steve Dillon est caricatural et enfantin. Heureusement, Steve Dillon est loin d’être le seul dessinateur à être intervenu sur la série ‘Punisher’. Différents artistes (dont j’avoue ignorer le nom) font, à mon sens, preuve d’un tout autre talent graphique pour la suite de la série. Et puisqu’en outre le scénario des premières issues (en substance, la lutte Punisher-Ma Gnucci et la visite de l’Ile des damnés) n’est pas exceptionnel, je conseillerais de carrément faire l’impasse sur les quatre premiers tomes de l’édition d’origine… La plupart des récits sont indépendants. Je vous épargne le détail exhaustif de ce que j’ai pensé de chacun d’entre eux, me contentant de citer ceux qui m’ont le plus plu : - ‘La fin des dinosaures’ (Un mystérieux boucher s’évertue à délester de leurs jambes un grand nombre de criminels. Le Punisher, qui se voit ainsi privé de ses proies, mène alors l’enquête. Parallèlement, Wolverine remonte également la piste des culs-de-jatte. Et quand ces deux-là se rencontrent…) ; - ‘Fratrie’ (Le Punisher ne s’attaque cette fois pas à du vulgaire gibier de potence. Il est sur la trace de deux flics. L’un d’eux semble passablement corrompu. Qu’en est-il de l’autre ?) ; - ‘L’homme d’en bas’ (Ah ! ça, c’était vraiment cool ! De mystérieuses disparitions dans les profondeurs des rames de métro. Une ambiance sombre à souhait !) ; - ‘Les rues de Laredo’ (Le Punisher remonte une filière de trafic d’armes et atterrit au Texas, ce qui est déjà un fameux dépaysement pour un justicier sévissant principalement en ville. Ce récit a un côté western très prononcé qui n’est pas du tout pour me déplaire. Une bande de poivrots qui jouent les gros bras au bar du coin, une hôtelière en manque de compagnie, un pasteur borné et un sheriff. Tous les ingrédients y sont ! Le dessin paraît trop anguleux de prime abord, mais on s’y habitue rapidement.) ; - ‘La conjuration des imbéciles’ (Spider-man, Wolverine et Daredevil ont chacun à leur tour été humiliés par le Punisher. Par ailleurs, ils se disent tous trois opposés aux méthodes extrêmes de ce dernier. Ils décident donc d’unir leurs forces pour l’empêcher de nuire.) Dans l’ensemble, j’ai passé un bon moment de lecture. Une déception tout de même : avec le Punisher, je pense qu’on a voulu dépasser l’opposition classique entre gentils et méchants, en créant un super-héros qui tue ses ennemis, c’est-à-dire un personnage à la fois bon et mauvais. Le but était tout à fait louable. Malheureusement, on n’est, à mon sens, jamais parvenu à dépasser ce manichéisme primaire. En effet, le Punisher est systématiquement confronté à des méchants qui sont vraiment méchants, et jamais à des personnages plus nuancés, plus réalistes. Que ferait le Punisher s’il tenait au bout de son arme un criminel qui ait toutefois quelques bons côtés ? C’est la question que je me pose et à laquelle les auteurs ne prennent pas la peine de répondre… :?)
Après la lecture de 2 intégrales Best Seller chez Marvel France correspondant aux 6 premiers tomes de cette série. Je découvre ce personnage que je cataloguerai plutôt comme un anti-héros. Il n'a aucun pouvoir si ce n'est un physique ultra sportif et des prédispositions à exécuter des criminels. Je m'attendais à du bourrin, j'ai été servi !!! Par contre, l'humour omniprésent m'a surpris agréablement. J'ai souvent souri, le personnage du Russe est atypique et excellent. Cette série critique les excès américains d'une façon intelligente sous ses couverts violents. J'ai moins apprécié les 3 derniers petits récits après changement d'auteurs. Le dessin devient affreux et les récits perdent leur charme et l'originalité des premiers. Ce genre de production est de type kleenex, on apprécie de les lire mais par la suite on ne sait plus quoi faire avec car on sent bien qu'il n'y aura pas de relecture. Pas mal quand même.
Je dois avouer (sans honte) que le Punisher est pour moi le meilleur personnage de l'univers Marvel. En effet voilà un "gentil" qui emploie des techniques de "méchants"... car il faut bien l'admettre le punisher reste un gentil !!! J'aime beaucoup son côté animal, celui qui en fait somnole au fond de tous, mais lui le laisse s'exprimer !! Et pourtant ce n'est pas une brute épaisse ou un gros bourrin, il n'y a qu'à voir avec quel machiavélisme et intelligence il monte certaines de ses tueries !!! Des ouvrages annexes (pas tous sortis en français je crois) expliquent la genèse du punisher : il aurait vendu son âme au diable pendant qu'il était au Vietnam (et sa famille serait le prix à payer). Un autre ouvrage nous apprend que la famille du punisher était protégée par l'ange Gabriel mais que le jour de la tuerie cet ange était absent (il buvait). Véridique !!! Bref, voilà un héros à part qui a le mérite de changer du super-héros lambda. Des histoires rarement en finesse et intelligentes mais qui détende bien, et le dessin est souvent très réussi.
Une bonne série, mais qui m'énerve de par sa multiplication -et ses divers cycles- chez plusieurs éditeurs. Une série pas trop récente, d'ailleurs. En effet, elle voit le jour aux Etats-Unis dans le n° 129 de "The Amazing Spider Man", en 1974. Les auteurs originels ?... Gerry Conway et Ross Andru. Le postulat ?... assez simple : Frank Castle, un ex-marine, effectue un pique-nique avec sa petite famille. Pas de chance, un règlement de comptes entre gangsters va transformer cette fête en tragédie. Frank ressent un fort sentiment de culpabilité car il n'a pa su sauver "ses" gens. Il décide alors, sous un macabre costume noir, de lutter contre le crime organisé. Ca aurait pu être banal. Mais ça ne l'est pas. Car Frank est un tueur. Un vrai. Un maniaque aussi. Jour et nuit il "tourne" dans les rues à bord d'un fourgon rempli d'armes de toutes natures. Il devient rapidement un véritable exterminateur, de plus en plus brutal et violent. Ce personnage est ainsi à l'opposé d'un tas de "super-héros" qui sont -il faut bien le reconnaître- assez gentillets. C'est ici l'histoire d'un homme qui a perdu ce qu'il a de plus cher au monde et qui ne (sur)vit que par la vengeance. Ce thème d'ailleurs, fera le succès des films "Un justicier dans la ville" avec Charles Bronson. Les gens ont vraiment aimé se projeter dans ce monsieur-tout-le-monde qui devient un tueur implacable. The Punisher va devenir un énorme succès au States et fera l'objet d'un premier film en 1989 avec Dolph Lundgren. Qu'en penser ?... Pas mal, vraiment, car cette série est quand même un fameux coup de poing dans le "politiquement correct" de l'époque. Un dessin réaliste, incisif, une mise en page attractive, parfois "pétante" m'en ont fait un bon délassement de lecture.
C'est le premier comic que je lis, sur les conseils d'un pote qui me l'a prêté. Mes connaissances dans le domaine des super-héros sont assez limitées. Je n'ai lu que le premier cycle, sous forme d'une intégrale (a priori ça correspond au 3 premiers tomes). Ça se lit vite, c'est divertissant, mais je n'ai pas trouvé ça génial. J'ai franchement bien aimé le dessin. Les personnages sont très bien faits, les couleurs parfaitement adaptées. Le rendu est donc excellent, c'est plaisant à lire. Par contre je trouve que l'histoire est très vite limitée. Pendant 250 pages, le punisher vide ses chargeurs sur les vilains criminels. C'est assez léger et on pourrait résumer ce volume en 5 lignes. Il n'y a aucune surprise de ce côté-là. Je suis content de l'avoir lu, mais si c'est 9 tomes comme celui-là, je me lasserai assez vite je pense.
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