Spartacus le gladiateur
Adaptation en bande dessinée de la comédie musicale que Elie Chouraqui consacra à ce héros mythique, personnage de légende et historique rebelle.
Au temps de Rome et de l'Empire Romain Esclavage Les gladiateurs Rome Séries avec un unique avis
Ancien directeur de l’École de Gladiateurs de Capoue, Lentulus Batiatus fut pendant longtemps celui que les gladiateurs appelaient « Le Lanista ». À l’orée de ses derniers jours, il se souvient de cette époque où l’évocation d’un seul nom fit trembler une république... Spartacus. Tout commence au sein du désert de Namibie, dans une mine de marbre. Esclave parmi les esclaves, Spartacus mènera bientôt le plus grand soulèvement de l’Antiquité. Mythique, épique, et légendaire.
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Date de parution | Décembre 2004 |
Statut histoire | Série abandonnée 1 tome paru |
Les avis
Amis de l’originalité … au revoir … En effet, illustrer la vie de Spartacus, quand bien même l’on se sert du livre de la comédie musicale d’Elie Chouraqui pour ce faire, est tout sauf original. De plus, le style employé est, lui aussi, extrêmement classique. La vie de ce Spartiate révolté est prise au sérieux, l’humour est totalement absent, la grandiloquence (bien maîtrisée, je tiens à le souligner) est de mise, et ce drame prend des airs de … tragédie grecque (ce qui tombe plutôt bien, non ?) Le trait de Fino (Les Ailes du Phaéton) est de qualité. Il est plus soigné que sur la série susmentionnée, et convient bien à ce genre littéraire. Autant les personnages que les décors sont convaincants (bien que très conventionnels et prévisibles). En fait, je n’ai absolument pas été déçu par ce premier tome. Je me doutais de ce que j’y trouverais, et j’ai trouvé ce que j’espérais. Certainement pas un chef d’œuvre, certainement pas original, mais pas mal quand même. Mais achat déconseillé, la série ayant été abandonnée et la conclusion de ce premier tome, si elle clôt bel et bien un chapitre, laisse quand même le lecteur sur sa faim. Et c’est d’autant plus regrettable que, pour une des rares fois, une manœuvre bassement mercantile s’avérait d’une très acceptable qualité.
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