Magenta
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Fétichistes et soumis, voici votre reine : Magenta, la plus cruelle des héroïnes italiennes ! Les mâles ne sont pour elle que des godemichés sur pattes.
Hard & Soft, d'un érotisme à l'autre Séries avec un unique avis
N'espérez aucune pitié, elle vous piétinera de ses talons aiguilles, vous étouffera sous ses fesses cintrées de jarretelles et épuisera votre énergie sexuelle jusqu'à l'agonie... Un hommage endiablé aux 'fumetti neri' (Satanik, Diabolik), bourré d'humour, de bas noirs et de tueuses sexy. LES AUTEURS : Celestino Pes est le scénariste de deux albums de Baldazzini déjà parus en France, Chiara Rosenberg et la Forteresse de la douleur. Passionné de culture alternative, il a découvert Nik (Nicola) Guerra, de onze ans son cadet, dans les pages d'un fanzine gothique. Encore inédites en Italie, les histoires courtes de Magenta ont nécessité un travail d'adaptation tout particulier de Bernard Joubert pour conserver leur truculence. Jeux de mots à la pelle et réparties saignantes. Une série qui n¹obtiendra jamais le prix oecuménique d'Angoulême !
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| Date de parution | Mai 2005 |
| Statut histoire | Histoires courtes 7 tomes parus |
Les avis
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Pas forcément en reste lorsqu'une oeuvre érotique passe entre mes mains et titille mes sens, je pensais passer un bon petit moment coquin en la compagnie de la ténébreuse Magenta et de ses délires sexuels mais bien mal m'en a pris ! Censée émoustiller son lectorat mâle, cette bête bd porno échoue à tous les niveaux et je m'étonne même de son succès d'estime dans son pays d'origine l'Italie et même outre-Atlantique où la série a été récemment publiée... Les différents tomes sont constitués de plusieurs histoires courtes sans véritable lien narratif entre elles et même au sein de l'histoire, ce qui m'amène à me demander la véritable implication du scénariste dans tout cet imbroglio ! Restent les dessins de Nic Guerra plutôt basiques et ne provoquant guère d'excitation ou d'intérêt, les cases porno succèdent aux cases porno sans fil conducteur et il n'y a aucun effort pour faire "monter la sauce" car on va directement à l'essentiel sans aucune transition ! Pire !!! les deux héroïnes (car il y en a deux, une brune et une blonde) se font besogner tout en discutant de la pluie et du beau temps par téléphone, puis pouf on passe à autre chose (une autre saynète sexuelle), à croire vraiment que les auteurs s'amusent à mélanger tous les dessins et à les monter comme bon leur semble ! Bref, inutile de disserter davantage, le seul avantage de cette série est de démontrer que les scénarios de Manara sont complexes et nuancés face à une œuvre aussi argumentée que celle-ci. Aucun intérêt pour votre lecture comme pour votre libido hélas ! :(
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