I.R.$. - All Watcher
Malgré les contrôles sur les marchés mondiaux, des fortunes colossales disparaissent chaque jour. Certains initiés ont une théorie pour expliquer cette aberration : le principe du trou noir financier. Des milliards de dollars seraient inévitablement aspirés vers une entité mystérieuse... qui semble tout voir. All Watcher.
Auteurs italiens Auteurs suisses Spin-off Thrillers financiers Troisième Vague
Malgré les contrôles sur les marchés mondiaux, des fortunes colossales disparaissent chaque jour. Certains initiés ont une théorie pour expliquer cette aberration : le principe du trou noir financier. Des milliards de dollars seraient inévitablement aspirés vers une entité mystérieuse... qui semble tout voir. All Watcher. Larry part donc a la recherche de « all watcher », celui qui voit tout, qui chipe plusieurs milliard de dollars et qui finalement n’existe peut être pas. une personne physique ? un nom de code ? une aberration financière ? qui est donc « all watcher » tin ! tin ! tin ! …ho ! suspense !
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Date de parution | 19 Juin 2009 |
Statut histoire | Série terminée 7 tomes parus |
Les avis
Je me suis souvent demandé quelle était l'utilité de ce spin of, la série principale I.R.$. ayant rapidement séduit les amateurs de thrillers financiers, on peut même dire que c'est elle qui a contribué à lancer ce genre hybride de polar, et quand on voit l'escalade des albums, c'est sans appel. Je pense avoir trouvé la réponse à mon interrogation : dans cette série dérivée, Larry le héros toujours aussi beau gosse, est moins sec et moins lisse, le gars se laisse aller à des coucheries, le ton est plus détendu et plus libre, même si ça fonctionne avec des codes identiques. Mais surtout, il ne s'agit plus de diptyques, bel et bien d'une enquête qui forme un cycle complet en plusieurs tomes. Le scénario m'a quand même semblé banal, déja vu, en n'innovant en rien, ça s'inspire de plusieurs films américains modernes sur les magouilles financières et maffieuses, Desberg est toujours dans son trip de géopolitique moderne, il recycle à gogo ce qu'il a déja servi dans ses autres bandes comme Black Op, Empire USA ou Sienna, en complexifiant toujours plus ses intrigues et en livrant des psychologies de personnages évasives et peu creusées, de sorte que ce que je croyais être un polar de détente à lire entre 2 martini dry sur mon balcon avachi dans ma chaise-longue, se révèle finalement quelque chose d'un peu ennuyeux car trop sérieux. L'enquête traîne un peu trop, j'ai arrêté au tome 4 car on n'a pas plus avancé depuis le début... je ne sais pas si je reprendrai la lecture de la suite plus tard, on verra. Au final, je n'y ai rien décelé de vraiment original qui différerait de la série mère, donc cette bande est-elle bien utile en fin de compte ? voila la question. L'univers graphique m'a un peu aidé à tenir, il respecte le dessin de Vrancken sur la série mère, mais je l'ai trouvé plus souple, beaucoup moins raide, avec de beaux visages féminins en gros plan. Pour l'instant, je n'ai vu que les styles de Queirex et Koller, je n'ai pas encore vu ce que fait Bourgne sur la série, alors que j'aime bien son style graphique. Note un peu en attente de relecture : 2,5/5
Comme je n'aime pas du tout la série mère je ne vais pas m'enthousiasmer pour un sous-produit qui reprend les mêmes codes. J'apprends qu'être un(e) assassin est un caractère inné. Je vais donc compléter mes connaissances en bio. Je souris quand les super pontes de la mafia romaine font d'emblée confiance à une débutante plus ou moins alcoolique, droguée et psychologiquement faible. Au point de lui raconter leurs méfaits pour que cela puisse être enregistrés. XLOL. Le scénario manie les millions (milliards) de dollars comme un gouvernement en temps de pandémie. Antonia est bien mignonne physiquement mais c'est bien tout. Vraiment pas pour moi. J'ajoute une étoile pour les dessins des décors et des personnages.
J'aime la série mère, principalement par le fait du côté financier et thriller économico-politique. Certains des dyptiques sont vraiment de bonne qualité. Le principal défaut d'IRS est cette capacité extraordianire du héros, tant physique que cérébrale ou financièrre ou encore de succès auprès des filles, au bout du compte c'est too mutch et on ne rentre jamais dans la psychologie profonde du personnage, il a des zones d'ombres, elles sont évoquées mais basta Pour ce spin off, 2 défauts majeurs : - on reste encore un fois sur sa faim tant dans la psychologie des héros (Max/Mia) mais surtout des vilains pas beaux (trop superficiel et jamais creusé), on ne croit que trop peu à l'explication donnée dans ce 7e opus des motivation de All Watcher et surtout de son côté je bute tout le monde - pourquoi 7 tomes puisque l'aspect psychologique est si peu abordé, on pouvait alors condenser la trame sur 5 tomes grand maxi. Donc acheter 7 tomes c'est bcp. Raison pour laquelle j'ai mis non au conseil d'achat, ce pourrait être oui, mais avoir dû investir dans 7 albums pour le manque de densité de l'histoire, y a bien 20 euros de trop pour Le Lombard. Et si cela ne suffisait pas, la fin du cycle ménage une nouvelle porte de sortie...
J'aime beaucoup la série mère. Autant, je trouve que cette enquête traîne en longueur alors que nous en sommes qu'au troisième tome et qu'il y en aurait 7 de prévu. J'ai du mal à comprendre toutes les ficelles de cette histoire qui se complexifie davantage. Les enchaînements se font dans la douleur. Les incohérences se multiplient. Et pour couronner le tout, il n'y a aucune tentative d'explication de la part de l'auteur ! C'est vrai que la parution est rapide du fait de la succession des dessinateurs. Cependant, cela se perd en qualité car il n'y a pas une homogénéisation de la série. Pourtant, je dois bien avouer que le trait de ces différents dessinateurs n'est pas si mal car cela reproduit le même univers graphique. En fait, j'en ai quand même un peu marre à la longue de ces auteurs qui tirent sur la corde en créant des séries dérivées à gogos pour une exploitation commerciale au maximum. Bref, c'est la démarche qui me titille. Associé à un scénario plutôt creux, on n'est pas loin du désastre financier !
Spin-off attendu avec suspicion au vu de la qualité pas toujours excellente de la série mère, cette série dérivée s'avère finalement de très bonne facture, voire même meilleure que la série originale. Ici, l'auteur change complètement d'orientation et on trouve un personnage totalement nouveau. Moins lisse que Larry, protagoniste de I.R.$., plus en proie au doute, plus humaine et plus attachante. Changement de registre également en ce qui concerne l'intrigue. Plus centrée sur le mystère autour de la protagoniste, on est constamment ballotté entre diverses opinions qui ne trouveront leur dénouement qu'à la fin de l'album. Donc l'intrigue est très prenante et bien ficelée. A propos du dessin, on sent qu'un pallier a été franchi depuis la série mère. Plus réaliste mais malheureusement un peu trop informatisé à mon goût, le changement est quand même agréable quand on voit de magnifiques bagnoles retranscrites sur le papier. En définitive, ce premier tome remplit complètement son office et annonce une intrigue principale assez accrocheuse. Espérons seulement que ce n'est pas un pétard mouillé et que la bonne surprise se confirmera.
Voilà notre ami parti vers de nouvelles aventures pendant que la série originelle se poursuit avec une nette amélioration du dessin. On sert ici une nouvelle série à la « Empire USA », c’est à dire plusieurs tomes qui sortent avec quelques mois d’écart et qui sont dessinés par plusieurs dessinateurs Larry part donc à la recherche de « All watcher », celui qui voit tout, qui chipe plusieurs milliards de dollars et qui finalement n’existe peut-être pas. Une personne physique ? Un nom de code ? Une aberration financière ? Qui est donc « All watcher » tin ! tin ! tin !… ho ! Suspense ! On assiste donc à une petite enquête sympathique, rien de transcendant, mais qui peut presque se suffire à elle-même, même si 7 tomes sont prévus. Eh bien, je dois dire que même si le scénario ne renoue pas avec l’excellent premier diptyque de la série d’origine I.R.$., le dessin, pour le premier tome d'I.R.$. - All Watcher, est très bon et humanise enfin la série qui souffrait d’un coté trop lisse dans la série mère, ici, il est bon et on peut suivre l’histoire d’autant plus facilement. C’est Alain Queireix qui s’y colle pour le premier tome, dessinateur de Ava Dream et du tome 4 de Celadon run. Un mot tout de même sur la dite série mère en question, I.R.$. : le dessin s’améliore grandement à partir du tome 11 et cela est surtout dû à la couleur qui fait vivre un peu plus les personnages, leur donne de l'épaisseur. Reste à savoir si cette série est du genre "attrape pigeon" tout comme Empire USA ou si elle a un fond bien réfléchi et va par conséquent « enrichir » I.R.$. Le temps nous le dira… (13/20)
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