Dilbert
Découvrez Dilbert et ses aventures dans le monde impitoyable de la vie de bureau !
Drôles de métiers ! Geeks Linus Monde de l'entreprise Strips United Feature Syndicate
Découvrez Dilbert et ses aventures dans le monde impitoyable de la vie professionnelle d'une multi-nationale ! Observez Dilbert, négociant de nouveaux programmes en Zalbanie et économisant ainsi un million de dollars... mais qui en perd quatre pour les lire ! Rencontrez Liz, la petite amie de Dilbert qui a bien du mal à concurrencer Internet dans le coeur de son bien-aimé. Apprenez les nouvelles techniques de management du boss qui révolutionne l'entreprise en interdisant l'usage des armes au bureau... Ne riez pas, car tout le monde aura un jour affaire à Dilbert...
Scénario | |
Dessin | |
Editeur
|
|
Genre
/
Public
/
Type
|
|
Date de parution | Janvier 1997 |
Statut histoire | Strips - gags (Strips) 9 tomes parus |
Les avis
Je crois que être familiarisé avec l'outil informatique et l'univers de la vie de bureau, ça aide pour lire et parfois déchiffrer cette sévère satire du monde du travail ; ayant travaillé dans un grand magasin où je faisais de la saisie de commandes et de factures, j'ai approché ce genre d'individu à la Dilbert, et j'ai simplement apprécié ce regard critique sur l'entreprise, avec les aberrations qui pourrissent le quotidien d'une journée de travail où l'on retrouve la bêtise ambiante du genre humain (rivalités stupides entre employés ou services, intelligence niveau zéro de certains collègues, incompétence des chefs de service, mauvaise foi et mensonges pour se couvrir face à un supérieur...). Tout le monde peut se reconnaître dans ce strip, car chacun a été confronté à un moment ou un autre à ce type d'individus ou de situations. Mais ça s'arrête là, car ce sont des gags de strips, américains de surcroît, donc ça ne fonctionne pas à tous les coups, c'est même très inégal, l'humour est souvent ardu, certains gags ne sont pas drôles du tout, ou alors peu compréhensibles pour un Européen. D'autre part, le graphisme minimaliste et peu attrayant ne me plaît pas, le personnage de Dilbert et celui de son chien Dogbert sont cyniques et inintéressants, et malgré ma longue période d'emploi dedans, je n'ai pas un goût particulier pour l'informatique...donc lire un strip de temps en temps dans l'Echo des Savanes, comme je le faisais vers 1997, ça passe encore, mais lire un album entier, ça devient vite rasoir.
Les aventures d'un employé de bureau tire-au-flanc et de ses collègues -dont un chien- encore plus cossards et incompétents que lui. S'ils passent leurs journées à se réunir et à s'envoyer des mails, personne n'a encore bien réussi à savoir ce que produit concrètement cette entreprise, ou cette administration. On n'est pas loin de Caméra Café, mais avec un esprit beaucoup plus américain et un goût prononcé de l'absurde. Certains gags peuvent être très drôles, d'autres tombent complètement à plat. A moins que je ne les aie tout simplement pas compris.
Dilbert est une BD très hétérogène. Certains strips sont hilarants (ceux de la galerie sont à mon avis dans le top 10 des gags de la série) alors que d’autres sont complètement incompréhensibles ou tout simplement pas drôles. En ce qui me concerne, la lire à petite dose pourquoi pas, mais s’enfiler un album entier, j’ai beaucoup de mal, surtout quand les gags qui se suivent ne sont qu’une variation sur le même thème. Je dirais aussi que la version française doit souvent nuire à l’effet comique (d’un autre côté, j’ai tenté d’en lire en VO (ici) et j’ai parfois encore moins compris, narf…). Par contre, la vision cynique de la méga entreprise à l’américaine et des travers de son organisation titanesque, ou encore des chefs qui ne comprennent rien à l’informatique est souvent très bonne.
Les premiers tomes parus chez Albin Michel sont vraiment hilarants. J'avais un peu peur que la série ne soit pas aussi drôle que le dessin animé, mais mes nombreux éclats de rire ont vite enlevés mes craintes. La force de Scott Adams est de faire autant de strips sur le monde de l'entreprise que dans d'autres sujets souvent absurdes (la nature qui se venge de Dilbert est un bon exemple). En revanche, les deux-trois derniers tomes ne m'ont pas fait souvent rire. Le 3/4 des strips est consacré à l'entreprise de Dilbert et il y a plusieurs termes et situations que je ne comprends pas vraiment. Bizarrement, je me suis pas vraiment ennuyé car au fil des albums je me suis tellement attaché aux personnages que je m'en fiche maintenant si ça me fait rire ou pas. Quelle situation étrange !
Evidement, pour apprécier Dilbert, il faut avoir un minimum d’expérience professionnelle, si possible dans une boite informatique. Sinon on risque de complètement passer à coté des innombrables clins d’œil aux situations tellement illogiques, énervantes et frustrantes que l’on rencontre tous les jours dans une boite portée sur le profit et la productivité. Adam Scott est un génie, qui de toute évidence maitrise son sujet à la perfection. Alors certes c’est un peu répétitif, et c’est plus le genre de gag à lire sur le web, acheter des albums me parait un peu inutile. Mais pour moi, Dilbert est une série essentielle pour dédramatiser un peu, se sentir moins seul, se dire que « mon chef de projet est complètement idiot, mais je vois qu’il n’est pas le seul, ouf ».
L'auteur me raconte ici -en quelques cases à la fois- diverses scènes de la vie quotidienne en entreprise. Après lecture, je me suis fait la réflexion qu'il y a -au-moins- un "Dilbert" sur chaque lieu de travail. Non ?... Pas mal réalisé, l'humour est rendez-vous et -souvent- les thèmes et scènes décortiqués sont criants de vérité. Le graphisme ?... un trait simple, direct, "carré" et qui ne s'embarrasse pas de détails. On aime... ou pas. J'aime pas trop... Bonne série ?... oui... mais il ne faut pas oublier que ces strips sont américains et que, pour les savourer pleinement, il faut connaître quelque peu les méandres des entreprises US. Néanmoins, je m'y suis retrouvé grâce à une bonne traduction.
Note approximative : 2.5/5 En tant que travailleur, certains gags de Dilbert me font vraiment rire. Ils pointent du doigt exactement l'illogisme de certaines situations et font un très bonne satire du monde du travail. Mais ce ne sont que certaines planches parmi les centaines existantes de Dilbert. Et concernant les autres, elles sont souvent répétitives et pas franchement drôles. En outre, j'ai personnellement du mal à aimer les personnages de Dilbert : je les trouve pour la plupart assez antipathiques, enfin disons surtout distants. Bref, quelques très bon gags dans une mer de gags plutôt médiocres.
Bon je suis étudiant donc je n'ai peut être pas saisi toutes les subtilités de Dilbert... J'ai trouvé ça indigeste, monotone, le dessin n'étant pas la priorité de l'auteur, n'en parlons pas... Bref j'ai été beaucop déçu parce que j'aimais bien la série télé qui passait sur Canal+. Il y a une ou deux bonnes choses, mais les chercher dans cette immensité ne vaut pas le coup, je pense.
Dilbert, à petite dose (difficile de s'enfiler un seul album en entier, c'est très monothématique), c'est assez hilarant. C'est une belle satire du monde du travail, sans complaisance, ni facilité. En lisant ces albums, on sent toute la différence qu'il existe entre cette série et la série télé "Camera-café", alors que la série télé se contente d'utiliser le monde du travail comme simple toile de fond pour faire rire (avec une certaine réussite, par ailleurs) Dilbert va beaucoup plus loin, certains gags, très mordants sont le signe d'un véritable esprit critique. A sa manière Adams met en scène la cruauté ordinaire : l'arrivisme, la méchanceté, le gaspillage, l'abus de pouvoir, la fatuité, la passivité, la complaisance... Qui a dit que le vie de bureau n'était pas gaie?
J'ai lu un ou deux recueils en librairie, en français, et beaucoup de strips sur le net, en anglais. ** Version française : la plupart des gags sont vraiment hilarants, surtout quand vous cotoyez le milieu en question. Tout y passe : la dérision de notre dépendance aux machines, l'incompétence des chefs, la vie en cubicle, l'ignomignie des ressources humaines... En résumé, une excellente caricature du monde de l'entreprise. Je me demande toutefois l'impact de cette BD sur quelqu'un étranger à ce "merveilleux" monde... ** Version anglaise : je ne suis pas trop mauvais en anglais mais pourtant là, j'ai du mal ! le langage employé est très technique ou alors tiré de l'argot. Attention donc ça ne se lit pas comme du Calvin & Hobbes ou encore du Garfield. (Quelques gags sont quand même compréhensibles)
Site réalisé avec CodeIgniter, jQuery, Bootstrap, fancyBox, Open Iconic, typeahead.js, Google Charts, Google Maps, echo
Copyright © 2001 - 2024 BDTheque | Contact | Les cookies sur le site | Les stats du site