Like a steak machine

Souvenirs, souvenirs...
Fabcaro Les petits éditeurs indépendants Musique
À lire avec ses oreilles, voici des souvenirs liés pêle-mêle à des morceaux de chanson française, de rock, dance, pop, funk, soul, reggae… Des titres sur lesquels Fabcaro a directement vibré ou qui sont, bien malgré eux, devenus la bande-son d'épisodes de sa vie. Il y a même des tubes qui n'ont duré qu'un été. Eh oui…
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Date de parution | 24 Septembre 2009 |
Statut histoire | Histoires courtes (one shot) 1 tome paru |
Les avis


Voilà un opus dans la veine des albums autobiographique que Fabcaro fait paraître chez La Cafetière, celui-ci faisant suite à Le Steak Haché de Damoclès. Il s’agit ici d’anecdotes d’une page, ayant pour point commun d’être liées à des morceaux de musique. On a donc droit, en plus de portraits de l’auteur au cours de sa jeunesse puis de son adolescence, à une bande son assez éclectique. J’ai moins bien aimé cet album que le précédent. Peut-être que les détails biographiques sont ici moins « détournés », moins « intéressants ». C’est sympa, mais sans plus, et donc pas forcément indispensable à l'achat.


3,5/5 Très proche de Le Steak Haché de Damoclès et Droit dans le mûr c’est par cet opus que j’ai fini ma trilogie Fabcaro. J’avais un peu peur de trouver une nouvelle répétition des thèmes abordés dans les 2 autres albums. Et bonne surprise ce ne fut pas le cas et finalement cet album est pour moi le meilleur des trois. C’est celui où je m’y suis le plus retrouvé et celui qui m’a le plus amusé. Fini les névroses (quoique), chaque page met en scène un souvenir en l’associant à une chanson. Le principe fonctionne super bien et même si on a une nouvelle fois droit à des tranches de vie de l’adolescence de l’auteur, les sourires décrochés sont nombreux. Les thèmes sont finalement assez variés. L’authentification du lecteur fonctionne mieux que dans les albums précédents. Bref c’est vraiment pas mal ! Coté dessin, c’est toujours aussi simple et réussi. A lire.


« Like a steak machine » peut être vu comme un 3eme tome dans la série « les mésaventures sociales de Fabcaro ». Je ne sais pas si c’est parce que j’arrivais à saturation (j’ai lu les 3 albums d’un coup), ou si cet album est un poil en deçà des deux autres, mais j’ai beaucoup moins ri. Pourtant j’aime beaucoup le principe d’associer une chanson à un souvenir de jeunesse, et je trouve que ça fonctionne bien. Non, pas de reproche particulier, sinon que je n’ai pas autant ri.


Fabcaro continue son autobiographie humoristique avec ces "gags" où les morceaux musicaux sont autant de madeleines de Proust qui lui remémorent des moments-clés (ou pas) de sa vie... Entre déceptions amoureuses, boeufs entre copains, plaisirs solitaires, c'est à un petit voyage au travers des tubes des années 1980 et 1990 (et certains plus anciens, mais immortels) que nous convie ce cher Fabcaro. Certains éveilleront des échos (parfois proches de ceux de Fabcaro) en nous, des ballades sur lesquelles on a conclu, des riffs imparables qui nous plongent dans des transes irrépressibles... Il y a des gags irrésistibles, universels, auxquels personne ne pourra résister. D'autres sont un peu plus ardus, et demandent peut-être une culture musicale particulière. Personnellement il y a quelques artistes que je ne connais pas du tout, mais que je vais m'empresser de découvrir... La plupart du temps Fabcaro se met lui-même en scène dans ces gags, pas toujours à son avantage (assez rarement en fait), et ça le rend encore plus proche du lecteur qui a parfois connu les mêmes déconvenues sur fonds musicaux. Très sympathique.
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