Le Pape Terrible
L'histoire du Pape Jules II.
1454 - 1643 : Du début de la Renaissance à Louis XIII Gays et lesbiennes Italie Jodorowsky Les Borgia Vatican
Le 18 août 1503, victime d'un mal mystérieux, le Saint-Père Alexandre VI passe de vie à trépas. Aux premières lueurs de l'aube, la course au trône papal s'engage. Pour gagner le Saint- Siège, le népotisme, le stupre et le poison seront monnaie courante. En outre, le cardinal Della Rovere, ennemi juré du clan Borgia, entend bien accéder à la fonction suprême, quitte à vendre son âme au diable...
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Date de parution | 21 Octobre 2009 |
Statut histoire | Série terminée 4 tomes parus |
Les avis
Suite de Borgia, utilisant les mêmes recettes, je vais plus ou moins reprendre ma critique BD se voulant historique nous narrant le règne du pape Jules II, personnage inhabituel s'il en est. Devant un excellent graphisme, on pouvait s'attendre à quelque chose de savoureux. Hélas hélas, c' est Alejandro Jodorowsky qui est au scenario. Jodorowsky est un artiste authentique, mais c'est aussi un personnage très excessif, et qui a la mauvaise habitude de s'asseoir sur le matériau de base pour en tirer un délire sous acide. Que ce soit une œuvre littéraire (Dune), ou tout simplement la grande Histoire, rien n'est a l'abri des réécritures du personnage. Jules II est entré dans l'Histoire à la fois comme mécène, mais aussi comme étant un pape guerrier, surnommé sous le manteau "Jules César" par ses contemporains, profondément sournois et trahissant ses alliés d'hier selon les circonstances. Jodorowsky fait de Jules II un homosexuel pervers et sadique passant son temps à sodomiser tout ce qui bouge, y compris Michel Ange et Raphael, le tout mâtiné de sorcellerie quand son mignon lui fait boire un philtre d' amour pour le contraindre à l'épouser et à le nommer papesse… Dans le vrai monde, il est plus ou moins établi que Jules II n'était justement pas homosexuel pour un sou, ce qui ne l'empêchera pas pour autant d'avoir une vision du célibat presque aussi personnelle que son prédécesseur Borgia, Jules II ayant eu une fille illégitime Felice qui deviendra une des femmes les plus puissantes et cultivées de la renaissance italienne. Pour Jules II, la priorité était d'étendre la sphère d'influence des Etats pontificaux, pour faire du Saint-Siège une puissance politique, militaire, économique et artistique (d'où son activité de mécène pour attirer les artistes les plus brillants de son temps) Rien de tout cela dans la BD de Jodo malheureusement. La fille de Jules II est aux abonnés absents (elle devient une nièce lubrique et cupide qui n'apparait que 2 cases), le mécénat n' est vu que comme un prétexte pour Jules II afin de pouvoir tringler les artistes, ses guerres un moyen d'assouvir son sadisme et sa perversité (il utilise un jésus automate en métal pour tuer un prince de guerre, qui en vrai finira en prison), et au passage la garde vaticane n' est rien d' autre qu'un harem homosexuel....Bref, Jodo est encore plus excessif que dans Borgia, encore plus délirant, et a abandonné toute velléité historique. Mais ici, il semble en plus sombrer dans le sexisme : les femmes brillantes de la renaissance ayant côtoyé Jules II sont soit des putains lubriques (Felice), soit des monstres obeses (Isabelle d'Este). En fait les femmes qu'on voit sont avant tout des prostituées obeses avec lesquelles Machiavel passe ses nuits.
Ce n‘est pas avec cette série que vous allez retrouver la foi ! Nous plongeons allégrement dans les mains du diable ! Rome est décadente. On boit, et on fornique à tout va, sans se préoccuper de la morale et sans pensées vertueuses. Le pape est mort. Giuliano della Rovere n’est pas en reste. Il sera pourtant élu pour devenir le 216e pape de l’Église catholique le 1er novembre 1503 sous le nom de Jules II après s’être débarrassé de l’encombrant César Borgia. Plus séculier que religieux, il élimina également tour à tour les Vénitiens puis les Français de la Romagne et du Milanais, accroissant simultanément le territoire des états pontificaux. Avec cette série en 4 albums, vous apprenez (ou pas) que les papes, en tout cas pour Jules II, n’ont pas tous eu une vie des plus reluisantes. Pas beau ! Le pape peut donc être aussi un homme avide de pouvoir. La croyance en Dieu n’a pas suffi pour les guider. Le pognon, le pouvoir et le sexe, voilà les trois mamelles de la vie dissolue de Jules II. Mes frères, mes sœurs je n’en reviens pas. Le diable est donc partout. Alejandro Jodorowsky s’est lâché sur ce coup là. Et pas qu’un peu, même si certains agissements de Jules II sont avérés. C’est une BD historique mais ce n’est pas pour ça que vous devez tout prendre au pied de la lettre. Je vous invite à un peu de retenu. Le graphisme de Theo est magnifique. Les reconstitutions historiques tiennent la route. Beaucoup de boulot préparatoire sans doute pour les décors et pour les vêtements des différents personnages. Les couleurs sont particulièrement réussies. C’est machiavélique. Ça part dans tous les sens. Les complots se succèdent. Les trahissons sont dénoncées. Les vengeances sanglantes sont promises aux déloyaux sujets. Vous rajoutez une dose de sexe pour parfaire ce récit sur ce pape si décrié. Que c’est bon ! Jules II avait du goût et de l’argent. Les appartements du pape, dites les chambres de Raphaël et les fresques de la chapelle Sixtine, notamment celles dues à Michel-Ange… ben c’est lui le mécène. Rien que pour ça son pontificat fut une réussite ! Pour cette série, même si vous n’appréciez pas trop l'Histoire et plus particulièrement de la Renaissance, franchement cela vaut le coup d’oeil. On ne s’ennuie pas une seconde. Une question me taraude cependant … j’ai péché sur ce coup là car j’ai aimé la série ?
Je ne sais pas ce qu'il y a en ce moment avec le genre des BD historiques, mais j'ai eu la sensation, en lisant celle-ci, d'avoir entre les mains une BD dont j'ai lu plusieurs clones récemment. Toujours est-il que j'ai lu la vie de ce pape, qui fut assez mouvementée. Alors certes, je veux bien croire que le pape Jules II n'était ni un tendre ni un saint, mais là je crois que la charge envers lui est particulièrement forte. Ne serait-ce que la multiplication des scènes de sexe qui me semblaient devenir clairement superflues au bout d'un moment. Que ce soit un chaud lapin, d'accord, mais était-ce nécessaire de nous le rappeler toutes les quatre ou cinq pages ? D'autant que la BD n'explore pas autant que je l'aurais voulu les intrigues qui font les divisions dans l'Italie de cette époque. Et globalement, je trouvais que le récit perdait au fur et à mesure de la force. Niveau dessin, je le trouve très fonctionnel mais pas notable, il fait son travail mais n'ajoute rien de plus à l'ensemble. C'est presque trop conventionnel. C'est le genre de BD qui m'intéresse finalement assez peu : les quatre tomes auraient facilement pu être condensés en deux, et toutes les scènes ne sont pas utiles à l'avancée du scénario. On sent que l'auteur veut nous faire un portrait à charge de ce pape, mais je ne sais pas trop dans quel but, et regarder simplement un sadique devenir progressivement fou alors qu'il est au pouvoir ne m'intéresse pas. Sans doute que cela me rappelle trop d'actualités ...
Vous pensiez que pour élire un nouveau pape, les cardinaux se réunissaient bien sagement dans leur conclave, qu’ils échangeaient amabilités et points de vue pour désigner le plus humble parmi eux, et le nommer à la tête de l’église catholique ? Détrompez vous, cela ne se passait pas comme ça au 16e siècle. Cette course au trône papal est propice à tous les coups tordus imaginables : corruption, mensonges, chantage, trahisons, meurtres… un vrai polar qui n’a rien à envier aux meilleures histoires de mafieux. C’est dans ce cadre original que Jodorowsky a placé son récit. On ne s’ennuie pas une seconde, j’ai aimé ce rythme, cette histoire qui avance vite, le décor de Rome, les personnages principaux tous plus antipathiques les uns que les autres. Autant d’éléments qui permettent de rentrer pleinement dans l’intrigue. Le dessin est également très réussi mais ce n’est pas une surprise si l’on sait que derrière le pseudonyme de Théo se cache le dessinateur de la série Le Trône d'argile. L’encrage et les couleurs sont radicalement différents, mais le style est toujours aussi plaisant. Après un tome 1 que j'avais bien apprécié, je dois dire que la suite de la série est loin de m'avoir convaincu. Je baisse ma note à 2 étoiles. En fin de compte j'ai trouvé l'ensemble bien linéaire une fois que Jules II est arrivé au pouvoir. Pendant 2 tomes, il passe son temps à éliminer ses ennemis. La seule question est comment va-t-il faire : poison, assassinat, manipuler et retourner ses adversaires les uns contre les autres, envoyer un sbire coucher avec ? Bref c'est totalement dénué de suspense et de moins en moins intéressant. Sans parler de la multitude de scènes à caractère sexuel nous montrant les ébats du pape avec tous les hommes qu'il croise... A croire qu'il n'y avait pas un seul hétéro à cette époque. C'était fun dans le premier tome, mais trop c'est trop. Le pape terrible, c'est pas terrible en fin de compte.
Je dois avouer que cette série m'a un peu secouée à sa manière. La vie dépravée et cruelle du pape Jules 2 est certainement un peu exagérée voire fantasmée ici mais je pense que l'esprit est assez proche de la vérité (complots, assassinats, guerres absurdes et lubricité au service du pouvoir et de l'art). Et le spectacle de tous ces excès m'a rendue quelque peu mélancolique... 1. Comment une telle barbarie a pu être l'outil du développement d'un savoir-faire prodigieux de fertilité: Michel-ange, Bramante, Léonard de Vinci et Raphaël, les sources "humanistes" de l'art occidental auraient grandi au lait de la violence illégitime d'un odieux tyran. Eh oui! c'est ainsi: les cadres de notre culture sont nés du mal le plus indéfendable... 2. Je ne suis pas baptisée, mes parents étaient des soixante-huitards mécréants mais sortis de familles catholiques françaises et franco-italiennes. Et en lisant les errements brutaux de ce "pape terrible", je pensais à ma grand-mère et à sa vision de la religion: un rituel qui nous rappelle les vertus du dénuement. Je pensais à tous ces gens de son espèce, paysans et artisans qui se sont maintenus sagement dans leur pauvreté, certains d'être dans une forme de vertu et de vérité, avec au dessus de leur porte une reproduction d'une piéta de Michel-ange, ou d'une madone de Raphaël. Et je me dis que toute cette sagesse populaire était assise sur un mensonge. N'en était-elle pas moins vraie? 3. Le dessin somptueux de Théo, nous montre des corps masculins très fidèles finalement à l'esprit de Michel-Ange, musculeux et complexes, au point de sembler quasi surhumains. Cette sensualité réussit, malgré un contexte obscène, à nous séduire, à nous enivrer d'une certaine manière. Cette ambiguïté entre une cruauté, une violence aux limites du supportable, et tout en même temps une jouissance sensuelle pour nos yeux a quelque chose de déroutant et même d'effrayant par moments. Bref, ça n'est pas à mettre entre toutes les mains, mais pour ceux qui aiment être bousculés, ça peut être intéressant...
Etrangement, je n'ai pas été aussi dégoûté qu'en lisant Borgia, je dis bien dégoûté mais non choqué, car avec Borgia, c'était plus le dégoût qui dominait parce que je crois que Jodorowski se rodait à ce type de BD historique qu'il réinvente à sa façon. Manara y avait trouvé un vrai creuset où épanouir son talent graphique, tandis que Jodo donnait dans l'outrance la plus sordide. Conscient qu'il avait peut-être raté son coup et qu'il n'avait pas tout dit sur ce XVIème siècle dans cette Italie pervertie par le vice et le crime, il retourne dans cette époque troublée et propice à tous les complots pour conter l'ascension de Jules II qui ne fut pas mieux ni pire qu'Alexandre Borgia. Je suis peu renseigné sur ce pape, mais le peu que je sais m'a permis d'approcher cette Bd avec un certain intérêt, différent en tout cas que celui pour Borgia. Cette cour baignait aussi dans le stupre, la fornication, la pédérastie et le poison, encore faut-il que les actes sodomites vus ici soient vraiment appuyés comme le fait Jodorowski... Car voila, Jodo est donc en terrain connu, il développe un aspect plus historique là où Borgia se complaisait dans une succession de scènes choquantes reliées par rien, c'est ce que j'ai relevé de plus positif, sinon, il recommence dans ses délires et ses outrances. Même si l'aspect historique est plus présent, Jodo prend énormément de libertés avec cette Histoire, ne pensant qu'à multiplier les scènes de cul homosexuelles, à tel point que ça en devient un peu lassant. Au moins dans Borgia, il y avait des femmes, là il n'y en a pratiquement pas... Le reste de l'aspect politique est de ce fait peu abordé ; Jules II que je qualifierais de "pape militaire" a développé l'activité des fameux condottieres, on les voit à peine ici. On ne peut nier que la cour pontificale de cette époque était scandaleuse et dépravée par ses atrocités et sa lubricité, mais Jodo comme dans la plupart de ses Bd, en fait un gigantesque baisodrome, il en fait encore trop et finit par lasser le lecteur que je suis, même si ça avait superbement commencé avec un tome 1 très costaud ; dommage qu'il n'arrive jamais à être raisonnable. Je ne sais pas comment il arrive à dégoter des dessinateurs qui veuillent bien illustrer ses folies, mais en tout cas, Theo reproduit le même genre d'images parfois épouvantables qu'on voyait dans Borgia, mais mieux justifiées par un scénario (très) légèrement plus solide. Son dessin est puissant et correspond parfaitement au sujet et à ses excès. C'est le grand atout de cette Bd, et c'est la raison pour que ma note ne soit pas plus basse..
Le premier tome est absolument brillant par son machiavélisme total. Jodorowsky n'a peur de rien et ose tout. Son Jules II surpasse clairement Alexandre VI en perversion et cruauté. Le second tome est en dessous mais je mets quand même 4 étoiles tant le premier album m'avait impressionné. Certains passages sont absolument hallucinants. Je pense en particulier à celui où Jules de la Rovere négocie un accord avec le futur pape (dont il se débarrassera très peu de temps après) en faisant sucer la vieille ganache périmée par son jeune giton : glauque à souhait et très fun. Je regrette que le personnage secondaire de Machiavel soit assez mal exploité jusqu'à présent : où se trouve le machiavélisme de ce dernier qui fait très pâle figure face à Jules II? Le dessin est pas mal sans plus. Je conseille d'emprunter le 1er album avant de l'acheter, ce n'est quand même pas à mettre entre toutes les mains et c'est clair que ça rebutera pas mal de monde. Je n'ai pas encore le 3ème tome qui vient de sortir dont j'attend la lecture avec impatience.
La couverture affiche sans mensonges le contenu. Il n'y a pas tromperie, on va voguer dans les arcanes du Vatican, sur les traces du pape Jules II, impitoyable, manipulateur et obscène. Seulement, comme cela a été déjà dit, si l'illustration est particulièrement soignée, je n'ai pas envie d'aller plus loin que le premier volet. La faute à une volonté perpétuelle d'insérer dans les personnages une amoralité violente parfois et surtout une déviance sexuelle omniprésente totalement superflue. Où se trouve le vrai et le faux dans tout cela? Chaque case devient une occasion de montrer du lubrique gratuit que cela en devient écœurant en 20 pages et coule le pape terrible dans les profondeurs de la médiocrité, on en ressent un malaise à la lecture sur le but recherché. J'ai même été étonné d'avoir pu trouver cela dans une médiathèque. J'hésite sur les intentions de l'auteur, entre violent brûlot antireligieux et expression de sentiments personnels refoulés. Il y a façon et façon de faire pour raconter une histoire et le pape terrible le fait juste très mal.
Pour cette œuvre, il me semble obligatoire de séparer le fonds de la forme. Celle ci est tout bonnement magnifique. Je ne connaissais pas Théo, mais je vais aller à la découverte de ses productions. C'est fin, emplit de détails, les couleurs sont somptueuses et collent parfaitement à cette période historique. C'est du grand art. C'est ce qui sauve à mes yeux la série. Reste la trame de Jodorowsky, dont j'avais relativement apprécié Borgia, même si l'auteur s'éloigne allègrement de la vérité historique. Nous avons le droit ici à une suite avec Jules II principalement. Et Jodo reste non seulement dans la même veine mais en développe encore le côté outrancier. Oui cette époque romaine était "orgiaque", politiquement dense et le rapport Républiques d'Italie/Vatican était trouble, pour autant, j'attends tout de même plus de véracité et justement d'en apprendre plus. On n'a le droit ici me semble-t-il qu'aux fantasmes de l'auteur, montés en épingle (Violence + Stupre + Complots) et se suffisant à eux même. J'aurais éventuellement validé le truc si une histoire tangible et prenante utilisait ce terreau, mais non, là l'histoire n'est (à mon sens) que prétexte au triptyque Violence/Sexe/Politique déviante.
Note moyenne: 1.5/5 Tome 1: Tome 2: Commençons par le point positif, ce sera fait, et vite fait, et c'est ce qui aurait pu me faire mettre 2 étoiles et non une. Le dessin est superbe, fourmille de détails dans tous les plans, et la colorisation est très réussie. Allons-y pour ce qui n'a pas été: Tout d'abord, j'ai vraiment eu l'impression de lire une BD érotique pour homosexuels. Entre les pipes, enculades, et autres branlettes, on arrive parfois à distinguer les bribes de ce qui devrait être un roman historique ayant pour cadre le Vatican. Je suis volontairement cru dans mes propos, mais c'est vraiment le ton de cette BD. Rares sont les doubles-pages où ne figure pas une représentation ou une allusion au sexe, principalement entre hommes... Que les auteurs aient choisi de dépeindre les hautes instances religieuses de l'époque comme étant de lubriques pédérastes, soit, mais pourquoi le faire aussi vulgairement, et surtout pourquoi nous le rabacher aussi souvent? Pour les hétéros, il y a aussi des scènes d'orgies publiques, et des scènes dans un bordel avec des putes obèses. Le premier tome souffrait déjà de quelques invraisemblances dans le scénario, les dialogues, ou les réactions des personnages...c'est encore pire dans le tome 2...au rayon de ce qui a participé à mon agacement:un voyou qui pleure et qui s'écrie "bouhouhou!" (Ridicule), ce même voyou qui remercie le pape après que ce dernier lui a coupé les doigts pour le punir de son goût du jeu, la scène risible et totalement superflue du déguisement du mignon du Pape en mariée, un sexe qui reste en érection après avoir été tranché, un meurtre commis discrètement par 8 personnes (pour passer inaperçus, restons groupés), et je vous passe d'autres facilités scénaristiques, enchaînements, et virages scénaristiques ratés (la liaison avec l'architecte arrive comme un cheveu sur la soupe et ne sert qu'à gonfler le nombre de pages du tome 2). Bref, c'est trop souvent et facilement vulgaire, et le scénario est franchement mal conduit et pas crédible pour deux sous. (176)
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