Le Faucon du désert

Si les avions sont dessinés avec précision et respect des caractéristiques et des camouflages en vigueur à l'époque, l'histoire de ce gamin qui du jour au lendemain devient un as de l'aviation, passe de la Luftwaffe à la Regia Aeronautica, puis à la RAF, avec ensuite un détour par les Forces Aériennes Suisses, le tout sans éveiller le moindre soupçon ni la moindre enquête (il est vrai qu'il parle aussi bien arabe qu'italien, autant que l'allemand ou l'anglais !) est totalement incroyable... Mais que sa fiancée est belle !

30/06/2021 (modifier)

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Je ne dis pas que c'est mauvais mais je n'ai pas été emballé plus que cela par l'histoire de ce jeune homme adopté et passionné d'aviation. Il y a certes le cadre de la Seconde Guerre Mondiale et de la fameuse campagne d'Afrique menée par le renard du désert. Ali est d'origine germano-italienne donc dans le camp des adversaires de la démocratie. Les dessins notamment d'avions sont très beaux. Il est dommage que le récit ne soit pas plus passionnant. Les dialogues sonnent vite faux. Ali va devenir du jour au lendemain le meilleur pilote de son escadrille sans même passer par l'école. Oui, on y croit ! Bref, c'est une série sur l'aviation qui a réellement du mal à décoller : un comble !

06/04/2015 (modifier)

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Tome 1 : Étant donné que je partage entièrement l'avis ci-dessous exprimé, je ne vais pas ajouter quelque chose afin d'éviter les redites. Tome 2 : Les grosses ficelles du tome 1 se transforment en câbles... Le héros se transforme en véritable surhomme, survivant à des événements des plus rocambolesques. Si son passage du camp allemand au camp italien, bien que fort peu envisageable dans la réalité de la guerre, peut encore paraître plausible, son passage dans la RAF sans la moindre enquête me laisse des plus perplexe... S'en suivent les mêmes exploits que dans le tome 1, mais sur de nouvelles machines. En conclusion, je me permets de citer pol in corpore :" Au final, il reste ces jolis dessins que les fans d’aviations apprécieront à leur juste valeur. L’histoire elle se laisse lire si on n’en attend pas trop." Cette sentence garde ici tout son sens.

08/11/2010 (modifier)

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Durant la seconde guerre mondiale, dans le désert libyen, c’est l’histoire d’Ali, un jeune homme passionné d’aviation, qui rêve de devenir pilote à son tour, et qui en attendant se contente de s’entraîner sur un simulateur de fortune, construit à base de carcasses. La mise en image est soignée, un trait précis, un dessin réaliste, des couleurs claires judicieusement choisies. Tout ça donne de très belles scènes de voltige aérienne. Le scénario lui est trop simple et trop classique. Un fils en conflit avec son père qui s’opposent sur tout : son mariage, ses rêves de pilotes. Mais Ali est prêt à tout pour lui prouver de quoi il est capable. C’est un peu déjà vu. Sans compter que tout est bien trop facile pour le jeune héros. Alors qu’il n’a jamais fait que jouer avec des bouts d’épaves, à sa première tentative réelle il se révèle être un pilote de génie et en à peine 2 ou 3 vols il est simplement le meilleur militaire, non seulement habile avec le manche mais également avec la mitrailleuse… C’est un peu trop gros. Au final, il reste ces jolis dessins que les fans d’aviations apprécieront à leur juste valeur. L’histoire elle se laisse lire si on n’en attend pas trop.

14/11/2009 (modifier)

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