The Legend of Zelda - Majora's Mask (Zelda no densetsu)
Link, à la recherche de Navy, sa fée dont il a été séparé lors de son dernier combat contre Ganondorf, croise le chemin d'un curieux personnage masqué nommé Skullkid. Ce dernier sous l'emprise des pouvoirs de son masque risque de provoquer la destruction du monde. Link parviendra-t-il à stopper ce fléau ?
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Link, à la recherche de Navy, sa fée dont il a été séparé lors de son dernier combat contre Ganondorf, croise le chemin d'un curieux personnage masqué nommé Skullkid. Aidé par deux fées, Taya et son frère Tael, celui-ci subtilise l'Ocarina du Temps de Link ainsi que sa jument, Epona. Link décide de se lancer à sa poursuite et se retrouve dans un pays inconnu nommé Termina. Malheureusement, Skull Kid a lancé une malédiction sur Link et le monde. Link est devenu une peste Mojo, et une gigantesque lune au visage effrayant menace de s'écraser sur Termina dans 3 jours.
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Date de parution | 16 Décembre 2009 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
On peut toujours se complaire dans la médiocrité et aimer une daube. Il en faut pour tous les goûts. D'ailleurs, dans tous les domaines, la médiocrité règne. Il n'y a qu'à allumer la TV ou aller sur les sites d'information pour s'en convaincre. Cependant, le pire de la médiocrité, c'est de ne pas en avoir conscience. La véritable question serait comment en est-on arrivé là ? J'ai adoré joué au jeu vidéo Zelda sur Nintendo 64 lorsque j'étais plus jeune. Je connaissais bien l'univers de ce jeu vidéo qui m'avait tant fasciné par son graphisme et l'élaboration de son scénario assez ingénieux. En effet, celui-ci insistait sur retour continuel dans le temps afin de fuir une catastrophe qui serait fatale à l'humanité ainsi que sur l'utilisation de masques magiques qui confèrent des pouvoirs spéciaux à leurs porteurs. Je ne peux pas affirmer même sous la contrainte que ce manga réussit à retranscrire la même émotion. C'est pire encore que cela car on se perd complètement dans les méandres de l'intrigue avec ses incessants aller-retour en arrière. Ce nouveau volet "Majora's Mask" s'avère bien décevant et finalement très pauvre. L'adaptation n'est là que pour servir des intérêts bassement mercantiles. Bref, un amas d'images assez indigestes sans aucun intérêt. Il est clair qu'on se situe à mille lieux d'œuvres charismatiques comme Quartier lointain qui peuvent nous faire aimer le manga. C'est franchement très restreint mais comme l'a dit Henry Miller, "quand la merde vaudra de l'or, le cul des pauvres ne leur appartiendra plus !".
La suite de Zelda ! Cette BD est superbe, l'histoire est bien construite et les dessins sont magnifiques. L'humour y est également présent et on craque devant un Link transformé en adorable petit Mojo au début de l'histoire, et le Marchand de Masques est vraiment charismatique. On retrouve l'ambiance du jeu vidéo avec ses enquêtes, comme sur le couple Anju/Kafei. Bref fan de Zelda ou non, je le conseille à tout le monde, à tous les âges !
Je ne connaissais absolument pas le jeu vidéo "The Legend of Zelda: Majora's Mask" sorti sur Nintendo 64 en l'an 2000. Mais comme son histoire se situe tout juste après celle de The Legend of Zelda - Ocarina of time, je me suis dit que je ne devrais pas être trop dépaysé. On y retrouve le même héros, Link, lancé dans le même type d'aventure mais projeté cette fois dans un monde nouveau, celui de Termina, où les masques ont une grande importance et où un personnage mystérieux, Skull Kid, menace de détruire la capitale en y faisant s'écraser la lune. Link devra alors partir aux quatre coins du pays pour libérer les géants qui l'aideront à combattre le méchant. Je ne sais pas si le jeu est du même tonneau que son adaptation manga, mais il a l'air nettement moins intéressant que son prédécesseur, Ocarina of Time. L'histoire tient en un seul album et a l'air basique, enfantine et prévisible. Les personnages ont des comportements puérils, les séquences se suivent et se ressemblent : Link arrive dans un nouvel endroit, découvre un peu la situation et ses dangers, met un masque le transformant en gars du coin, débrouille la situation, combat le gros monstre et hop le géant est libéré. Et ça, quatre fois de suite. La fin diffère un peu mais n'est pas moins naïve et peu enthousiasmante. Heureusement, le dessin est plutôt bon et la narration fluide quoique condensée et dotée d'un rythme un peu trop rapide. Ca passe à toute vitesse, comme si l'auteur cherchait à se débarrasser de son récit pour voir rapidement arriver le mot fin. Pas terrible. Seuls ceux qui ont joué au jeu pourraient éventuellement être intéressés de voir cette adaptation, notamment parce qu'elle offre en épilogue une histoire indépendante racontant les origines du masque de Majora.
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