Sudor Sudaca - Sueur de métèques

Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)

Sudor Sudaca (« Sueur de métèques ») est un recueil de courts récits parus dans A suivre au début des années 1980.


Auteurs argentins El Vibora Frigidaire Les années (A SUIVRE)

Fruit de la collaboration –déjà ancienne- de Muñoz et Sampayo, il propose un regard tout particulier, mais aussi juste que possible sur les Argentins d’aujourd’hui. 7 histoires courtes.

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Avril 1986
Statut histoire Histoires courtes 1 tome paru

Couverture de la série Sudor Sudaca - Sueur de métèques © Futuropolis 1986
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)
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15/03/2010 | Spooky
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L'avatar du posteur Noirdésir

Je ressors de ma lecture avec le même avis que Spooky, et ne vais pas franchement faire monter la note. J'ai eu du mal à entrer dans ces histoires, et n'ai finalement fini cet album que laborieusement, rien ne m'accrochant vraiment. Le dessin de Munoz d'abord, usant d'un Noir et Blanc gras et tranché, n'est pas de ceux qui me plaisent. En particulier les visages. De plus, sa manière de "barbouiller" ceux-ci de Noir, accentuant barbe, moustache ou autre ombre rend assez hideux et quelque peu ratés ces visages, comme s'il étaient peinturlurés. Les histoires de Sampayo ne sont pas non plus transcendante je trouve. Traitant de faits sociétaux, de l'immigration, de l'exil, etc, mais de façon trop plate et creuse à mon goût ( à moins que certaines choses m'aient échappé), ces histoires manquent singulièrement d'accroches. Bref, une lecture décevante me concernant.

14/06/2018 (modifier)
Par Spooky
Note: 2/5
L'avatar du posteur Spooky

Muñoz et Sampayo… Artistes majeurs de la diaspora argentine, à en croire les critiques… En ce qui me concerne, après la lecture de trois de leurs albums, je n’arrive toujours pas à accrocher. Pourtant ici c’est leur identité, ou plutôt la diversité qui fait leur identité (une diversité comparable à celle de la France, d’ailleurs) qui est au centre de ces récits. Tantôt il s'agira de la haine de la classe moyenne argentine, tantôt de la perte des repères de l'exilé, de la difficile question de l'identité déracinée, tantôt de souvenirs d'enfance mêlés à la réalité quotidienne... Las, l’hermétisme des histoires (il y en a même une qui extrêmement plate, ou alors avec un sous-texte très bien caché), allié au dessin toujours difficile à apprécier pour moi de Muñoz rendent l’ensemble vraiment inintéressant. Seule la dernière histoire, plus conséquente, présente un petit intérêt, mais pas vraiment d’un point de vue ethnologique.

15/03/2010 (modifier)