Jackals

Note: 1/5
(1/5 pour 2 avis)

"Alligator" Nichol est un jackal, un impitoyable tueur à gages.


Seinen Square Enix Tueurs à gages

Cicero city est une ville gangrénée par la criminalité. Deux gangs s’y affrontent farouchement : Gabriella, le gang dominant déjà bien implanté, et Tennouren, le gang montant, qui se développe depuis China town. Vu l’impuissance et à la corruption des services de police, le recours aux jackals était la seule alternative au chaos. Les jackals, ce sont des tueurs à gages sans pitié ni scrupules. Le héros de cette série est un de ces mercenaires. Il se prénomme Nichol mais est généralement appelé « Alligator », en référence au nom de son arme impressionnante. Le pauvre garçon se trouvera dans une bien mauvaise posture après avoir contrarié les gangs de la ville.

Scénario
Dessin
Traduction
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 11 Septembre 2008
Statut histoire Série terminée 7 tomes parus

Couverture de la série Jackals © Ki-oon 2008
Les notes
Note: 1/5
(1/5 pour 2 avis)
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17/05/2010 | Aurélien V
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Par Erik
Note: 1/5
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Voici un manga baston avec un scénario peu original et indigent. Le cadre sera celui de la guerre des gangs avec ses enchaînements de combats. On va avoir droit à une débauche de violence à la limite du gore et de la boucherie. Je n'ai pas aimé car ce récit n'est pas au service d'une intelligence digne de ce nom. Le final est pour autant dire ridicule si vous arrivez à suivre jusqu'au 7ème tome. Bref, rien ne vaut cette lecture.

23/11/2013 (modifier)

Cicero city est une ville gangrénée par la criminalité. Deux gangs s’y affrontent farouchement : Gabriella, le gang dominant déjà bien implanté, et Tennouren, le gang montant, qui se développe depuis China town. Vu l’impuissance et la corruption des services de police, le recours aux jackals était la seule alternative au chaos. Les jackals, ce sont des tueurs à gages sans pitié ni scrupules. Le héros de cette série est un de ces mercenaires. Il se prénomme Nichol mais est généralement appelé « Alligator », en référence au nom de son arme impressionnante. Le pauvre garçon se trouvera dans une bien mauvaise posture après avoir contrarié les gangs de la ville. Le scénario n’est finalement que prétexte à un enchaînement des combats dépourvus d’intérêt. Et ce ne sont pas les références systématiques et détaillées à l’organisation des différents gangs qui relèvent le niveau. Armer les différents protagonistes d’armes blanches démesurées n’a rien d’original. Ça rappelle trop Berserk (sauf que Berserk, ça, c’est cool ! ;)), ‘Final fantasy’, etc. L’apparence des personnages m’a semblé aussi puérile que le récit lui-même. Nichol et Foa, les deux personnages principaux, sont plus disproportionnés que sveltes et ils aiment visiblement tous les deux se balader avec un long manteau entrouvert, laissant ainsi entrevoir leur saillante musculature. À ce sujet, s’il y a bien une chose que ce dessinateur a du mal à représenter, ce sont les muscles. Ça , ça vaut peut-être le coup d’œil ! Une dernière chose agaçante : il n’y a pas de phylactère, mais seulement des bulles qui ne sont rattachées à aucun des personnages en présence. L’on comprend généralement qui parle d’après le contexte, mais cela demeure souvent confus. Le dessin et le scénario m’ont finalement semblé sans âme et je ne retire absolument rien de cette lecture. Bref, il ne s’agit pas d’une série indispensable. Loin s’en faut !

17/05/2010 (modifier)